« Les membres des groupuscules d’extrême droite collent les affiches du RN »

https://youtu.be/z_UyM4IBCxw?si=Ex7qBDOpudR4CFFG

Christophe-Cécil Garnier, rédacteur en chef adjoint du pôle enquête de StreetPress, est l’invité de LaMidinale

Facs, agressions et néonazis : on vous dit tout sur le retour du GUD | FACTS

Le GUD, c’est l’acronyme le plus célèbre de l’extrême droite étudiante.

Créé il y a 55 ans, le groupe est connu pour sa violence et ses liens avec le FN.

Reformé en 2022, composé de néonazis entraînés au combat, il défile dans les rues de Paris.

Rock identitaireFrancs-Tireurs Patriotes (FTP) : le retour des morts-vivants

Le groupe national-catholique Auctorum annonce un concert des Francs-Tireurs Patriotes demain samedi 18 juin à Versailles : ces ultimes rejetons du rock identitaire (qu’on espérait enterré) visiblement bougent encore…


Le groupe Francs-Tireurs Patriotes (FTP) apparaît en 2009, alors que les principaux groupes de rock identitaire (In Memoriam, qui s’est depuis reformé, Vae Victis ou Ile-de-France) mettaient fin à leurs carrières respectives (restées fort heureusement confidentielles), fermant ainsi la page de l’un des plus cinglants échecs culturels de l’extrême droite.

Le groupe en 2014 : FTP, un groupe de skins fafs assez conventionnelle dans le look.

Le nom du groupe peut surprendre, puisqu’il reprend (à un détail près quand même !) celui des Francs-tireurs partisans, résistants communistes, étrangers qui plus est, qui pratiquaient la lutte armée contre l’occupant nazi. Philippe, l’un des membres fondateurs du groupe, justifie ce travestissement comme « un doigt d’honneur fièrement brandi à destination des gauchistes. » De notre côté, on trouve que ça trahit surtout un manque cruel d’imagination !
Le principal animateur du groupe, qui écrit l’essentiel des paroles, est le chanteur Tanguy Eude, un skinhead néonazi plutôt porté sur la oi !

Tanguy en 2009 avec son t-shirt du groupe de RAC Lemovice aux couleurs de Blood & Honour. Les connaisseurs apprécieront la Totenkopf SS.

Il ne cache pas son admiration pour Léon Degrelle, fondateur du mouvement belge Rex, à l’origine proche des milieux catholiques qui devient pro-nazi durant la Seconde Guerre mondiale (Degrelle lui-même a rejoint les rangs de la SS) :

Mais pour monter un vrai groupe de rock (Tanguy se contente de chanter et Philippe joue de la guitare), ces deux Parisiens sont à la recherche d’un bassiste et d’un batteur. Pour tenir la basse, ils sont rejoint dans un premier temps rejoints par l’ancien leader d’Europa Nostra, un groupe créé en 2002 par des militants du FNJ tendance national-catholique sur Bourges, où il se font remarqué en se retrouvant impliqués dans une agression en mai 2003.

Et derrière la batterie vient prendre Colin, alias Fasc (une subtile abréviation de « fasciste », faut-il le préciser). Ce dernier avait débuté dans la musique d’extrême droite en faisant du rap (les FTP disent pourtant tout écouter sauf ce genre de musique) mais ouvertement néonazi : le titre de son album, « J’ai pas le Shoah », annonce déjà la couleur, tandis que les paroles de ses chansons sont sans ambiguïté : « Car ton honneur s’appelle fidélité / Bras tendu haut dans le ciel » (extrait de « Ton devoir c’est militer »), « Auschwitz serait-il devenu / Un véritable objet de culte / Exagéré pour qu’on accepte notre chute » (extrait de « Liberté d’expression »), etc.

Le logo de Fasc est directement inspiré de celui du Rexisme, le mouvement de Léon Degrelle (en médaillon). Remercions quand même Colin de ne pas avoir trop persévéré dans le rap, c’était gênant.

Pour l’anecdote, on peut signaler au passage un feat d’un autre rappeur d’extrême droite, Yves Alphé alias Goldofaf, sur le titre de Fasc « Atlantide », consacré au prétendu foyer de la société originelle des Aryens. Rien d’étonnant en soi, puisque le frère de Goldofaf, Viannet Alphé, est lui-même un bon copain des FTP.

Yves Alphé, alias Goldofaf, en train de faire la promo de FTP : normal, il a posé sa voix sur un morceau de Fasc, et son frère un ami du groupe…

Le négationnisme de Fasc se retrouve d’ailleurs dans une chanson des FTP,« Leçon d’histoire », qui commence par ces mots sarcastiques : « Françoise votre maîtresse vous a inculqué tant d’erreurs, Qu’elle cède sa place à Cohen ! » et qui évoque l’affaire Dreyfus et la Shoah sur le même ton… Philippe s’en explique dans une interview faite pour Rivarol en juin 2013 : « Cette chanson, « Leçon d’histoire », est emblématique de notre disque. (…) il est clair que le sujet de l’éducation “nationale” est connexe à beaucoup d’autres qui ont tous pour clé de voûte la domination du lobby qui n’existe pas… »

Le 1er mai 2015, Marion Maréchal Le Pen fait la promo d’un album des FTP, à la pochette pourtant sans aucune ambiguïté.

Les FTP sont le dernier groupe a être produit par Patriote production avec deux albums, l’un en 2010, l’autre en 2013. Ce label fait aussi de la vente par correspondance qui diffuse pour l’essentiel des groupes de rock identitaire français, mais aussi du matériel de propagande : des t-shirts en soutien au mouvement grec Aube dorée ou reprenant le logo de la division SS Charlemagne, des autocollants islamophobes, l’insigne du Parti franciste, etc.

Certains membres du groupe joignent aussi les actes à la parole, puisque Tanguy et Philippe se revendiquent sympathisants du Renouveau français (RF).

Le tout premier concert de FTP lors de l’université d’été du Renouveau français en 2009.

LE RF était un groupuscule directement issu de la Garde Franque (GF), un sous-marin de l’Œuvre française au sein du Front National de la Jeunesse (FNJ), la structure jeune du parti de Jean-Marie Le Pen, rassemblant des militants sur une ligne nationale-catholique réactionnaire. La volonté de Marine Le Pen de mettre sous contrôle le mouvement de jeunesse du FN, ainsi que des faits divers sordides poussent la GF s’auto-dissoudre en novembre 2005 pour mieux réapparaître un mois plus tard sous le nom Renouveau Français. Le Renouveau français va utiliser comme structure légale l’Association St Michel Archange, basée à Paris, qui publie la revue L’Héritage, dont la couverture du premier numéro annonce la couleur : elle reprend une affiche de la Légion française des Combattants, créée en août 1940 par le régime de Vichy ! À notez que dans le numéro suivant, on trouve un entretien de Patriote production, le label des FTP.

La couverture du premier numéro reprend une affiche de la Légion française des Combattants, créée en août 1940 par le régime de Vichy, dont l’historien Jean-Marie Guillon précise que « ses militants ont été les artisans les plus convaincus de la Révolution nationale ».

Mais l’une des particularité du RF est de revendiquer son racialisme, comme il s’en explique dans l’une de ses plaquettes de présentation : à propos de la défense de l’identité nationale, le RF précise que cette dernière est aussi « physique », en regrettant que « ce dernier point est l’un des plus délicats à aborder du fait du terrorisme intellectuel né de la révolution de 1945 » et que ce « critère ethnique » permet pour cette raison de distinguer « les véritables nationalistes » (comme le RF) des « nationaux-républicains » (comme Marine Le Pen).

Le RF prétend offrir une préparation intellectuelle aux cadres pour le mouvement nationaliste de demain, en particulier avec la mise en place d’universités d’été, mais c’est surtout par son activisme et parfois sa violence qu’il va séduire les jeunes nationalistes en mal d’action. Ainsi, dès 2006, le RF participe aux attaques menées par l’extrême droite contre des étudiants grévistes en 2006 à la Sorbonne lors du mouvement anti-CPE [1].
C’est surtout quelques années plus tard, lors du mouvement homophobe contre le mariage pour tous, que le RF va se faire remarquer dans les cortèges, pile au moment où les FTP connaissent leur période “faste” si l’on peu dire.
En 2015, on retrouve Tanguy des FTP au congrès du GUD, qui avait invité les néonazis grecs d’Aube dorée et belges de Nation, et les néofascistes italiens de Casapound.

Yves Alphé et les FTP, dits “les inséparables” au congrès du GUD en 2015.

Deux ans plus tard, il rencontre d’ailleurs Steven Bissuel, le patron du GUD de l’époque : les FTP annonce qu’une partie des recettes de leur concert du 23 septembre 2016 sera redistribué au [Bastion social que Bissuel vient de lancer.

Tanguy et Bissuel se tripotent les avant-bras en 2017.

Six mois plus tard, le groupe semble confirmer son engagement du côté nationalistes-révolutionnaire en étant à l’affiche d’un concert qui s’est déroulé le 7 octobre 2017 avec In Memoriam et ZetaZeroAlfa, dont nous vous avions parlé ici.

En 2018, rappelons-nous que les FTP affichent publiquement leur soutien aux responsables de la mort de notre camarade Clément Méric, les néonazis Esteban Morillo et Samuel Dufour, qui passent alors en procès.

Mais les FTP reviennent vite dans le giron national-catholique. La même année, pour la sortie de son troisième album, le groupe est invité par Thierry Bouzard, le référent anti-IVG de Civitas, dans son émission musicale sur TV LIbertés.

Thierry Bouzard fait la promo des FTP.

Deux ans plus tard, c’est justement à la “Marche pour la Vie” à Paris le 20 janvier 2019, une manif contre le droit des femmes à disposer de leur corps organisée chaque année à cette période, que les Francs-Tireurs Patriotes sont invités sur l’estrade installé au Trocadéro le temps de quelques chansons.

Malgré ce dernier mini-concert improvisé, le groupe semble à bout de souffle. Deux ans plus tard, en 2019, dans une interview pour le quotidien national-catholique Présent, le groupe annonce la sortie d’un nouvel album qui ne verra jamais le jour. Le groupe fait ensuite un concert lors de l’université d’été d’Academia Christiana, mais depuis deux ans, à notre connaissance, plus rien (en même temps le Covid est passé par là).
Ainsi, avec cette invitation d’Auctorum, le groupe fait son come-back : espérons que ce soit le dernier… Au moins pour nos oreilles !

La Horde

Night of Honour

https://lahorde.samizdat.net/encore-un-concert-neonazi-au-local-des-bikers-dayoub

Encore un concert néonazi au local des bikers d’Ayoub


Comme annoncé par le blog Anti Night of Honour, le concert néonazi de Black Métal « Night of Honour » du 18 février, dont le lieu a été tenu secret jusqu’au dernier moment, s’est bien déroulé au local des Black 7 France, le nouveau nom du club de motards de Serge Ayoub (anciennement Les Praetorians).

Ce local étant une valeur sûre pour l’organisation de concerts d’extrême droite radicale dans le nord de la France, sans risque d’interdiction pour les groupes qui s’y produisent et qui devient une référence pour les concerts d’extrême droite. Le Night of Honour est un rassemblement NSBM (National Socialist Black Metal) où se retrouve toute la scène Black métal néonazie européenne, avec un public qui est venu des quatre coins de l’hexagone et d’Europe. Ainsi après le concert NSBM en limousin au mois d’octobre, le Call of Terror en janvier en Rhône Alpes, c’est en Picardie à Berzy le Sec à coté de Soissons dans l’Aisne que s’est fait le Night of Honour, ces concerts néonazis se font plus régulièrement dans des lieux éloignés des agglomérations.

Malgré ses démêlés avec la justice, Serge Ayoub continue ses activités près de Soissons dans l’Aisne. Dans le local de son club de bikers, les rappeurs Kroc Blanc et Amalek, des rappeurs nationalistes comme ils se définissent (voir l’article des Inrocks à ce sujet), étaient venus se produire fin janvier. Amalek est un enfant de la région, puisque son père Lionel Payet était responsable du Front National de la Jeunesse de Picardie en 1974, avant de se présenter à différentes élections sous l’étiquette FN à Amiens. Lionel Payet est élu conseiller régional en 1986, puis conseiller municipal d’Amiens, ancien directeur de National Hebdo et journaliste dans ce même journal. Amalek donc, un enfant de la balle, qui s’est lancé dans le rap, mais qui n’a pas oublié de jouer la provoc, déjà condamné pour des histoires de quenelle. On a pu le voir à Calais lors d’une manif « anti-migrants » ou à l’église Ste Rita à Paris lorsque l’extrême droite occupait cette église.

L’an passé, pour la première édition du Night of Honour, les Black 7 avaient déjà accueilli des groupes comme Baise ma Hache , Nordçlanz (Allemagne), Stahlfront (Allemagne) et Blessed In Sin (France). Le Comité Antifasciste de Saint Etienne avait publié un dossier sur le groupe Baise ma Hache (le lien ici). Cette année se sont produits Der Sturmer, Dark Fury, Frangar et Sacrificia Mortuorum.
La Horde

Nous publions en partie l’article du blog Anti Night of Honour sur les différents groupes qui ont participé à cette seconde édition (voir ci-dessous).

« DER STURMER – NSDAP BLACK METAL DE GRECE AFFILIE AUBE DOREE :
Der Sturmer sous ce nom emprunté au journal antisémite nazi du 3e reich allemand d’Adolf Hitler, les membres de Der Sturmer sont des militants revendiqués de Aube Dorée, le parti nazi grec du XXIe siècle, le parti politique le plus black métal au monde aussi avec un député bassiste dans Naer Mataron (nsbm) entre autres.

FRANGAR – NSBM FASCISTE D’ITALIE :
Frangar est connu pour être affilié à la promotion et la propagande NSBM en Italie, via le rassemblement NSBM « Hot Shower » chaque mois d’avril à Milan, où déboulent 900 sympathisants et militants NSBM de toute l’Europe.

DARK FURY – NSBM DE POLOGNE :
Après avoir participé au rassemblement NSBM clandestin et DISCRET « Call of Terror » il y a quelques jours en Savoie en Rhône-Alpes avec Peste Noire + Goatmoon + Baise ma Hache, avec 500 militants et sympathisants NSBM sous la promotion de Blood and Honour & GUD, Dark Fury est de nouveau impliqué dans le rassemblement « night of honour 2 ». Dark Fury sont l’un des leaders de la mouvance NSBM de Pologne, des chapitres entiers sont consacrés à Dark Fury et à ses liens multiples avec l’idéologie néo-nazie, dans le livre “as wolves among the sheep“. Les membres du groupe font un groupe de RAC traditionnel appelé «  WHITE DEWILS  ». Les informations officielles sur DARK FURY peuvent être consultées via le site Web de la mouvance NSBM PAGAN FRONT. Le groupe existe depuis 1997 et a réussi à enregistrer sept albums. Un de ses albums porte le nom de la « Solution Finale », référence à l’Holocauste perpétré par les nazis du 3e reich allemand d’Adolf Hitler.
Leur album split avec le groupe Thors Hammer (NSBM polonais, fâcheusement réputé lui-aussi), orné d’une croix gammée et de croix celtique (également croix et runes de guerre allemande).

Extrait de leur album W.A.R. (acronyme de White Aryan Resistance ), la chanson du même nom, où vous entendez ces paroles ici traduites en français :

“Le bruit des corps déchiquetés d’ennemis
Dans la guerre de la race et de sang !
Sous la bannière du Soleil
Dans l’ombre des ailes d’aigles
Swastika notre enseigne
Une chanson sur nos lèvres
Tuer les maudits, tuer pour le sang
ou Que ce soit,
la guerre pour la blancheur la mort ne cesse pas !”

SACRIFICIA MORTUORUM – NSBM LOCAL DE LORRAINE :
Après avoir participé au rassemblement NSBM clandestin et DISCRET il y a quelques semaines, le 29 octobre en Limousin, avec Peste Noire sous la promotion des naziskins « Lemovice Crew » sous leur étiquette d’identitaires national-socialistes « Front des Patriotes », SACRIFICIA MORTUORUM s’affiche aussi avec son logo à croix celtique sur le tract et la propagande Night of Honour 2.

JEU DE PISTE NIGHT OF HONOUR 2 SAMEDI 18 FEVRIER 2017 :
les néonazis sont adeptes de “jeux de piste” pour éviter les opposants, les interdictions, et les conséquences pénales :
Jeu de piste avec Blood and Honour pour les combats de MMA, jeu de piste en Limousin avec Front des Patriotes, jeu de piste “Call of Terror” en Rhône Alpes, …

Premier indice : «  France, Paris area  » :
Le tract « Night of Honour 2 » d’appel à rassemblement le 18 février 2017 autours de l’idéologie-en-musique NSBM ne précise pas le lieu du rassemblement DISCRET et clandestin. Seule la mention « France, Paris area » donne le point de convergence du « jeu de piste ».
La première édition du rassemblement NSBM clandestin « Night of Honour » s’est déroulée DICRETEMENT il y a pile un an, en février 2016, à BERZY LE SEC, commune de l’Aisne (02) à coté de Soissons en Picardie, entre Reims & Compiègne. Le tract de propagande portait pourtant également la même mention imprécise « France, Paris area »

Second indice : «  North of France  » :
Une autre publication de Hendrick MOEBUS* publiée sur Facebook et sur le forum NWN au sujet des tickets de réservation en prévente pour l’édition d’avril 2017 du rassemblement NSBM de Milan, précise « North of France » comme indication.

Hendrick MOEBUS :
Actif depuis 25 ans, assassin néonazi allemand,qui a entrepris une cavale aux Etats-Unis où il s’est effectivement stratégiquement et idéologiquement formé auprès des réseaux et des figures white power américains, qu’il a initié en retour au black metal NS et métapolitique, figure NSBM avec son groupe fâcheusement célèbre “ABSURD”, producteur NSBM via son label « Darker Than Black », promoteur NSBM via son rassemblement « Hot Shower » [ndlr :traduction : « à la douche » référence aux chambres à gaz] à Milan en Italie chaque année au mois d’Avril, …).

RETOUR SUR LE JEU DE PISTE DE L’EDITION 2016 :
La première édition du rassemblement NSBM clandestin « Night of Honour » s’est déroulée DICRETEMENT à BERZY LE SEC, commune de l’Aisne (02) à coté de Soissons en Picardie, entre Reims & Compiègne, le tract de propagande portait pourtant également la même mention imprécise « France, Paris area », les militants et sympathisants ont participé à un « jeu de piste » pour pouvoir finalement se rassembler DISCRETEMENT au local du club de motards de Serge AYOUB dit « Batskin », à 50 minutes de Paris en voiture.

Plus simplement, taper Praétorians MC dans Google Maps :
A Soissons, prendre la route de Chateau-Thierry,
traverser Vignolles, à la sortie de Berzy-Le-Sec (gare), prendre à droite rue Mauricette Lepage (sur la D173) et faire 150m jusqu’à la salle associative à droite. »
Plus d’infos sur le blog Anti Night of Honour