Procès contre Neonazi Hendrik M’bus Chansons terminées par “Sieg Heil”

En tant que « satansmurderer von Sondershausen », Hendrik Màbus est tombé dans l’histoire du crime. À Berlin, les néonazis, qui entretiennent des relations avec l’environnement de la NSU, doivent maintenant répondre de la sédition, entre autres choses.
Das Foto zeigt den Rechtsextremisten Hendrik Möbus bei einem Prozess in Erfurt im Jahr 2003

La photo montre l’extrémiste de droite Hendrik Mubus lors d’un procès à Erfurt en 2003

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Martin-Schutt/image-alliance / dpa/dpaweb

Une “riche” doit être créée, “non démocratique, arde et magnifique”, dit les paroles que le procureur présente dans ses accusations devant le tribunal de district de Berlin-Tiergarten ce matin. Elle cite également : “La taille n’accepte pas la dégénérée.” Et : “La vie sans sennouille” devrait “remercier si l’occasion justifiait cela”. Les paroles d’une autre chanson se terminent par “Sieg Heil”.

Le titulaire de la sédition et de la répartition des caractéristiques des organisations inconstitutionnelles, Hendrik Mubus, doit répondre à la question de la sédition et de la répartition des caractéristiques des organisations anticonstitutionnelles. Il a l’air calme. Il n’est pas sur le banc des accusés pour la première fois. Il est considéré comme bien connecté dans la scène néonazie internationale. Il a une grande expérience de la justice. En tant que “tueur satanique von Sondershausen”, M’bus est entré dans l’histoire du crime à l’âge de 17 ans.

Selon les frais actuels, il aurait distribué un CD d’un groupe français à partir de la mi-juillet 2015 via un site web, dont les chansons comprendraient des textes pleins de haine et d’agitation antisémite. Le procureur donne lecture de trois paroles au tribunal dans l’original, puis les traduit en allemand. “Les Juifs sont accusés par les paroles d’escroquer et de manipuler leurs semblables”, déclare le procureur. “En outre, les membres de la foi juive sont appelés vies inférieures, faibles et insensées.”

Huit ans de peine de meurtre pour meurtre

D’octobre 2014 à novembre 2015, il est prévu de distribuer des T-shirts, des patchs, des CD et des LP avec des symboles nazis interdits à Berlin, puis en Thuringe via un magasin de vente par correspondance. Sur certains T-shirts SS-dead, sur d’autres croix celtiques auraient été montrées sous forme stylisée. Ces croix celtiques sont extrêmement populaires auprès des adeptes de la nsbm.

Le co-défendeur Christian Sch., âgé de 43 ans, aurait imprimé les T-shirts dans son appartement à l’époque à Berlin et l’avoir envoyé à des clients. En outre, il y aurait des patchs, des CD et des enregistrements sur lesquels des croix gammées et des runes SS ont été montrés.

En 1993, depuis qu’il a été assassiné à Sondershausen, en Thuringe, avec deux amis, Sandro Beyer, âgé de 15 ans. Il a été condamné à huit ans de peine pour mineurs, a été libéré plus tôt en probation et a commis les crimes suivants. Le jeune sataniste est devenu un néo-nazi qui a insulté la victime du meurtre dans une interview sous le titre “People’s Pest” et a montré l’accueil de l’Hitler lors d’un concert.

Il a échappé aux forces de l’ordre allemandes en 1999 en s’enfuyant aux États-Unis, où il était par l’extrémiste de droite William L. Pierce, fondateur de la « National Alliance », une organisation américaine d’extrême droite, et auteur des « agendas racistes » racistes ont été créés.

Le roman, interdit en Allemagne, promeut la terreur juste. Le livre est diffusé parmi les néonazis allemands, il a également été trouvé sur un support de données des terroristes de la NSU.

Munbus ne veut pas parler des charges retenues contre

Au cours de l’été 2000, M. ‘M’bus a finalement traqué les enquêteurs du Bureau de police criminelle de l’État de Thuringe aux États-Unis. La demande d’asile présentée par Munbus aux États-Unis a échoué. Tino Brandt, proche confident des membres de l’USN Beate Sch’pe, Uwe Mundlos et Uwe Bohnhardt et en même temps V-man de longue date de la loi de la Constitution thuringienne, avait précédemment tenté en vain de plaider M’bus aux États-Unis, comme le montre une lettre de la Protection constitutionnelle de Thuringe dans les dossiers de la NSU. Il est de nouveau envoyé en prison en Allemagne.

Depuis ce lundi, il a maintenant assumé sa propre responsabilité devant le tribunal de district de Berlin-Tiergarten. Le tribunal est composé d’un juge professionnel, d’un juge professionnel, d’un arbitre et d’un juge non professionnel.

Ce jour-là, Màbus laisse les discours à 135 le plus possible à son défenseur. Il ne dit que “l’exécutif” à la question du président du tribunal, M. Kleing.nther, selon sa profession. Christian Sch., qui est né à Iéna, a vécu à Berlin entre et aujourd’hui en Suisse, dit qu’il est jardinier après la même question.

Ensuite, le procureur lit les accusations. Munbus et le coaccusé Sch. ne veulent pas s’exprimer sur ces accusations. Au lieu de cela, le défenseur de Môbus, Arndt Hohnstôdter, présente un blâme.

Le tribunal de district de Berlin-Tiergarten n’est pas du tout responsable, dit l’avocat de Leipzig, du moins pas pour tous les points de l’accusation. Son client ne vit pas à Berlin depuis décembre 2014, mais en Thuringe, c’est pourquoi la place de la juridiction dans la plupart des cas, l’accusation n’est pas Berlin, mais la Thuringe. Hohnstadter demande la séparation de la procédure. Seuls les deux points de l’acte d’accusation concernant des allégations antérieures à décembre 2014 devraient être tenus à Berlin selon lesquelles les autres devaient être jugés en Thuringe.

Le juge Kleing’nther termine le jour du procès. Le conseil a été examiné par la plainte. Le 23 En mars, ça continue. Le président du tribunal indique de manière insistance aux deux accusés qu’ils doivent retourner à Berlin. Ne les obligent pas, elles ne seraient pas obligées d’autoriser le tribunal dans le besoin.