Le GUD, c’est l’acronyme le plus célèbre de l’extrême droite étudiante.
Créé il y a 55 ans, le groupe est connu pour sa violence et ses liens avec le FN.
Reformé en 2022, composé de néonazis entraînés au combat, il défile dans les rues de Paris.
Le GUD, c’est l’acronyme le plus célèbre de l’extrême droite étudiante.
Créé il y a 55 ans, le groupe est connu pour sa violence et ses liens avec le FN.
Reformé en 2022, composé de néonazis entraînés au combat, il défile dans les rues de Paris.
Das #Neonazi-Konzert “Night for the Blood” am 25.2. bei Saint Dié in #Frankreich mit Beteiligung der dt. #NS-Black Metal-Band #Stahlfront um Björn Eichhorn aus #Chemnitz & Paul Morgenstern aus #Zwickau wurde verboten. Behörden suchen nun den Auftrittsort.#NoNazis #NSBM #Sachsen https://t.co/Aq4X9OtOco pic.twitter.com/ySrvNVVQyL
— Afa Nord (@AfaNord) February 23, 2023
Le concert néo-nazi « Night for the Blood » le 25 février. à Saint Dié en France avec la participation du groupe de Black Metal NS allemand Stahlfront autour de Björn Eichhorn de Chemnitz & Paul Morgenstern de Zwickau a été interdit. Les autorités recherchent maintenant le lieu.
https://twitter.com/AfaNord/status/1628863899603804160
Le concert néo-nazi «Night for the Blood» dans le Vosges, interdit par le MI.
L’affiche du NSBM comporte plusieurs symboles qui choquent. Néanmoins, ces symboles sont utilisés par la grande majorité des groupuscules d’extrême droite en activité en 🇫🇷
Un 🧵pour savoir plus ⏬⏬ pic.twitter.com/SpxbDcOxdx
— Ricardo Parreira (@RicardParreir) February 22, 2023
3/9 L’edelweiss est le logo de Terre et Peuple, association française d’extrême droite fondée à Vial en novembre 1994, encore en activité. À Chambery, Edelweiss-Pays de Savoie, groupuscule néo-nazie, créé en 2013, utilise aussi cette plante comme logo. pic.twitter.com/4gjHg7SFNo
— Ricardo Parreira (@RicardParreir) February 22, 2023
5/9 L’aigle était le logo de la revue Notre Europe, des Jeunesses Nationalistes et Honneur&Nation. L’aigle avec l’acronyme romain SPQR, est également utilisé par des nationalistes et identitaires. Certains militaires, on fait des clichés où l’on pourrait identifier un aigle nazi. pic.twitter.com/LmQqQWFLGb
— Ricardo Parreira (@RicardParreir) February 22, 2023
7/9 Le crampon est souvent motif de tatouage pour les militants d’extrême droite et les hooligans. Le crampon fait partie du logo drapeau suprémaciste Defend Europe utilisé par les Offenders Strasbourg, OuestCasual et les identitaires l’utilisent aussi, via le bataillon d’AZOV. pic.twitter.com/4XEpusToVt
— Ricardo Parreira (@RicardParreir) February 22, 2023
9/9 Pour savoir plus sur NSBM par ici :https://t.co/zhGfX7cPvF
Et pour savoir plus sur la symbologie d’extrême droite visitez : https://t.co/jiFpNSyXRA
— Ricardo Parreira (@RicardParreir) February 22, 2023
Les Français ont qualifié au second tour Emmanuel Macron et Marine Le Pen. La candidate du Rassemblement national a comptabilisé près de 23% des suffrages au premier tour, une performance qui s’explique notamment par sa capacité à dédiaboliser son parti. Une normalisation de son image facilitée par la radicalité d’un Éric Zemmour. Mais derrière la façade plus ou moins institutionnalisée, l’extrême droite reste parcourue par des mouvements et des courants très radicaux et parfois violents. Des groupes toujours actifs, de plus en plus actifs. Aujourd’hui, Blast vous propose de faire la cartographie de ces mouvances très diverses. Lyon, Montpellier, Angers, Nantes, Toulouse et même des villes plus petites, un peu partout en France, des militants font le coup de poing contre leurs opposants. Un véritable maillage du territoire se dessine. Mais qui désigne-t-on sous ce terme de “groupuscule d’extrême droite” ? Comment s’organisent-ils ? Où sont-ils ? Y a-t-il des liens entre eux et le Rassemblement national et Reconquête ?
Une vidéo co-écrite avec Thierry Vincent, spécialiste de ces mouvances. Journalistes : Antoine Etcheto, Thierry Vincent Montage : Delfina de Oliveira Cézar Images : Arthur Frainet Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Adrien Colrat Diffusion : Maxime Hector Production : Thomas Bornot Direction des programmes : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/bas-rhin/strasbourg-0/strasbourg-ils-changent-nom-c-est-toujours-memes-ancien-bastion-social-inaugure-nouveau-local-1772513.html
Rebaptisé Vent d’Est, l’ancien Bastion social inaugure ce vendredi 10 janvier un nouveau local à Strasbourg. Si l’adresse n’est connue que des participants, les associations anti-fascistes organisent un rassemblement sur la place Kléber pour s’opposer au groupuscule identitaire dissous il y a un an.
Plus d’un an après la dissolution du Bastion social, le groupuscule identitaire, rebaptisé Vent d’Est, s’apprête à ouvrir un nouveau local ce vendredi 10 janvier à 19h45, selon une affiche relayée sur les réseaux sociaux. Pour s’opposer à cette nouvelle installation, plusieurs associations organisent un “contre-rassemblement” sur la place Kléber de Strasbourg à 18h.
Même avec un nouveau local et un nouveau nom, le groupe aux influences néo-fascistes reste inchangé pour Alexandra, membre de l’association D’ailleurs nous sommes d’ici 67. “Ils changent de nom mais c’est toujours les mêmes. On ne sait pas où se trouve l’adresse du nouveau local mais finalement, ce n’est pas ça qui compte, c’est le fait même d’ouvrir un local qui est gênant“, déclare Alexandra.
On doit leur montrer qu’ils n’ont pas leur place dans nos quartiers ni dans nos facs.
– Alexandra, membre de l’association D’ailleurs nous sommes d’ici 67
Mais cette recrudescence raciste et fasciste est déjà bien visible en Alsace, entre les profanations de cimetières et les tags haineux. “L’actualité a été impressionnante en l’espace d’un an mais on ne s’y attendait pas, c’est très surprenant d’entendre parler d’un nouveau local. On a appelé au rassemblement il y a deux heures seulement. Nous avons eu l’information hier mais on attendait de voir les premières réactions“, indique la bénévole.
Et ce n’est pas la première fois que le groupuscule d’extrême-droite fait parler de lui. Déjà en décembre 2018, le Bastion social avait dû fermer son local, l’Acardia, situé dans le quartier de l’Esplanade sous la pression du gouvernement, de la ville mais aussi des manifestants anti-fascistes. Quelques mois après l’ouverture de l’Arcadia, une motion demandant la dissolution du mouvement identitaire et sa fermeture avait été adoptée lors du conseil municipal de la ville.
En février 2019, le président Emmanuel Macron avait demandé la dissolution du Bastion social à la suite du dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), au lendemain de la profanation du cimetière juif de Quatzenheim. Et dans un dernier baroud d’honneur, le Bastion social avait tenté de reformer son local en investissant deux maisons alsaciennes situées à Entzheim (Bas-Rhin).
La chanteuse Audrey Sylvain, (nom de code : Sainte Audrey-Yolande de la Molteverge) est aussi victime de la mode de la quenelle antisémite
“”Requiem pour Nioka” est un hommage au berger-allemand d’Audrey qui est mort récemment. C’était vraiment un bon chien, il a mordu beaucoup d’étrangers vous savez…”
http://diabolicalconquest.com/interviews/peste_noire_french.htm
https://www.bilibili.com/video/BV19M411Y7wX/