REVUE DE PRESSE : 666≠88 Rassemblements Rac'NSbm clandestins. Figures NSBM völkisch. Stratégie métapolitique fasciste à posture apolitique de façade. Musée des horreurs White Power
Affichages “Social National Radical” à Chambéry.
Traduit en allemand :
“Radikal Nazional Socialist”.
En langage jeune ” Ultra-Nazi”.
Toujours pad de trouble à l’ordre public ? pic.twitter.com/qzG71Ks3wm
— Jean-François COULOMME – Député de la Savoie (@jfcoulomme) May 25, 2023
Jean-François COULOMME – Député de la Savoie @jfcoulomme
Siège à la Commission des Lois Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale Groupe La France Insoumise
Les concerts clandestins de RIF et de RAC se multiplient en ce moment en France. Dans un mois, le groupe néonazi Match Retour se produira près de Lyon, à l’invitation du groupuscule Division Gallia, pour célébrer le solstice d’été, une fête païenne teintée d’ésotérisme nazi. pic.twitter.com/nz4Kiz4Ysi
⚠️ Hier soir des milices d’extrême-droite ont paradé à Annecy en mode KuKluxKlan…
Ce sont les mêmes milices qui avaient agressé des supporters marocains & français qui faisaient la fête ensemble lors de leurs ratonnades anti-Maroc. pic.twitter.com/vKafvdd7vh
Défilé d'ultradroite à Annecy: "Il faut d'urgence engager une logique de démantèlement de ces réseaux" pour Marine Tondelier (EELV) pic.twitter.com/6usofliT5l
Défilé d'ultradroite à Annecy: "Dans ce pays, les néonazis peuvent manifester en toute impunité" pour Marine Tondelier (EELV) pic.twitter.com/R8WCsLidFT
La manifestation néo-nazie du samedi 6 mai à Paris a mis en lumière la présence de « gros bras » de Clermont-Ferrand assurant le service d’ordre. Ils appartiennent au groupe néofasciste Clermont non conforme, créé en mars 2023, dont le noyau dur est constitué d’anciens du Bastion Social, de Clermont-Ferrand Nationaliste et de Bordeaux nationaliste. Le collectif de lutte contre les extrêmes-droites du Puy-de-Dôme et des médias ont déjà communiqué sur la création du groupuscule tandis que la députée du Puy-de-Dôme Marianne Maximi (NUPES) en a demandé la dissolution. Arno Chotard, journaliste indépendant, spécialisé sur l’ultra-droite, a enquêté sur sa genèse, ses membres et ses réseaux. Mediacoop a décidé de diffuser son travail. Des jeunes responsables locaux de premier plan du Rassemblement national (branche jeunesse), de La Cocarde et de l’Action Française sont impliqués et ne cachent pas leur sympathie pour le néofascisme, bien loin de l’image de respectabilité que ces groupes tentent d’afficher publiquement.
Clermont Non Conforme est la branche clermontoise du mouvement « nationaliste révolutionnaire » qui connaît actuellement un succès grandissant et dont la structure souple et locale permet de limiter les effets d’une éventuelle dissolution. Sa première apparition publique est une « déambulation » surprise dans les rues de Clermont-Ferrand le soir du samedi 25 mars.
On y distingue déjà Mathieu Duarte (dit « Captain NR »), le multi-condamné Tristan Arnaud ou encore le remuant « Marceluss ». Marceluss est aussi très proche des Zouaves parisiens. Il apparaît dans de nombreux rassemblements. On le voit faire des saluts nazis comme le montrent nos photos.
Samedi 22 avril, une « rencontre militante », perturbée par des antifascistes locaux, s’est tenue au bar le Rimbaud sans en avertir le propriétaire. On y retrouve des militants bien connus de Clermont-Ferrand Nationaliste, comme « Marceluss », Arthur Guibert, employé chez Michelin sur le site Cataroux, et Roman Schmidt, ayant passé sa jeunesse dans le bas-Rhin.
Créé en janvier 2021, Clermont-Ferrand Nationaliste affichait sans trop de complexe ses références au IIIe Reich.
Il s’est donné pour but principal d’harceler, d’intimider voire de violenter des minorités et des opposants politiques.
Clermont-Ferrand Nationaliste jouait également le rôle de « bras armé » de La Cocarde Étudiante qui souhaitait se faire une place aux côtés du syndicat Unef (classé à gauche, aujourd’hui devenu « Union étudiante ») et de l’Uni (classé à la droite extrême). « Marceluss », « Clément », Roman Schmidt ou encore Arthur Guibert accompagnaient en effet les militants de la Cocarde Étudiante (comme Chloé Luginbuhl/Chevalier, ) lors des manifestations anti-pass, lors de la venue de l’ex-responsable lyonnais de La Cocarde, Sinisha Uros/Milinov ou pour permettre à une quinzaine d’adhérents de La Cocarde de participer à une conférence organisée par l’Unef dans la fac de droit (février 2022), en entrant armés de matraque dans l’enceinte de l’université.
Chloé Luginbuhl/Chevalier, étudiante en M2 Biologie sur le site des Cezeaux de Clermont-Ferrand et Jean Chevalier ont par ailleurs été aperçus à la manifestation parisienne du 6 mai.
Malgré leur recours fréquent à la violence et leurs références explicites au régime nazi, aucun des membres affichés de CLFN n’ont été poursuivis par la justice pour ces faits.
Déjà présent lors de l’installation du Bastion social à Clermont-Ferrand à l’été 2018, Tristan Arnaud, après avoir écopé d’une peine de prison ferme, était parti à Bordeaux fonder le groupe Bordeaux nationaliste, aujourd’hui dissous. Condamné à une interdiction de territoire lors de son procès en octobre 2018, Tristan s’est ostensiblement montré à Clermont-Ferrand depuis janvier 2022, allant même jusqu’à faire interruption dans le local de campagne de la NUPES le 4 juin 2022.
Ce naziskin s’est réinstallé dans la région avec sa compagne, (elle aussi militante à ses côtés), mais semble avoir emporté dans ses bagages plusieurs militants bien connus de Bordeaux Nationaliste, comme Alex Wulfaz (coach sportif, musicien du groupe néo-nazi Bunker84).
Il anime par ailleurs la Brigade Arverne, regroupement informel.
Une stratégie de recrutement axée sur les salles de sport et les stades
La présence remarquée de Mathieu Duarte à la manifestation du 6 mai ainsi que la photo de la rencontre militante du 22 avril montrent que ces militants néo-fascistes expérimentés ont réussi à recruter au-delà de leur petit milieu. La valorisation à outrance d’une fierté blanche, catholique et masculine, les promesses de bagarres et de sociabilité militante leur permettent ainsi de bénéficier de l’appui de plusieurs visages bien connus du monde des salles de sport et du hooliganisme.
Mathis Albessard, coach et préparateur physique sur Clermont-Ferrand et qui n’hésite pas à donner le coup de poing, utilise ainsi ses réseaux pour recruter. Proche de Mathieu Duarte, Mathis Albessard a également en charge la préparation physique de Luc Grandsaigne, « musculeux » comme les deux autres et actif au sein du groupe ultra « Sekta Pirata » du Clermont Foot 63.
S’il est trop tôt pour dire si la « Sekta Pirata » tolère ou non la présence de militants néofascistes dans ses rangs, des témoins nous confirment le travail d’influence de ces derniers au sein de ce groupe. Certains habitués du stade Gabriel Montpied comme Thomas Julhiard, hooligan passé par le Paris FC et ami de Adrien Méné, ou Luc Grandsaigne sont proches de Clermont non conforme .
Des liens étroits avec une grande partie de l’extrême-droite locale
Notre enquête révèle que Julien Chmielewski, responsable à ce jour du Rassemblement national de la Jeunesse du Puy-de-Dôme et de La Cocarde Clermont-Ferrand, est membre à part entière du groupuscule néofasciste Clermont non conforme. On peut ainsi observer la montre de cet étudiant en droit, issu des classes préparatoires littéraires du lycée privé Fénelon de Clermont-Ferrand, sur une opération de « stickage » de Clermont non conforme en avril 2023. Autre « fâcheuse » coïncidence, la présence de Julien Chmielewski au colloque de l’Institut Illiade le 15 avril à Paris et celle d’un membre de Clermont non conforme… qui n’est d’autre que lui (Voir la photo) . Sa radicalisation vers des positions de plus en plus « nationalistes révolutionnaires » est par ailleurs visible sur les réseaux sociaux (nous avons pris soin d’effectuer des copies d’écran de cette évolution idéologique). Les responsabilités de Julien Chmielewski au sein du RNJ63 et de La Cocarde étudianteClermont Auvergne compromettent ces deux structures avec les militants les plus « néo-nazis » et violents de Clermont-Ferrand.
Ce n’est toutefois pas nouveau que ces structures locales qui ont pignon sur rue se lient d’amitié avec cette mouvance, comme nous l’avons montré entre CLFN et La Cocarde. Par le passé, le Rassemblement national 63 dirigé par Anne Biscos avait ouvertement affiché son soutien au Bastion social. Plus récemment, Kévin Blancard (dit « nounours »), ex du Bastion social et particulièrement « bavard » durant les auditions du procès de Quentin Gimel et Tristan Arnaud, s’était affiché à de nombreuses reprises dans des actions du RN63, avant d’être subitement effacé des archives suite à une dénonciation de l’Action antifasciste Auvergne.
Loin d’être gênée par de telles fréquentations, c’est toute une jeunesse « patriote » clermontoise qui s’encanaille depuis plusieurs années avec tout ce que Clermont-Ferrand compte de néo-nazis. Grand ami de Chloé Luginbuhl/Chevalier et de Jean Chevalier, Louis Boudon est le symbole de la force d’attractivité que peut posséder un groupe comme Clermont non conforme. Ayant grandi dans une commune de Haute-Loire, Louis Boudon s’est vite passionné pour des reconstitutions historiques et notamment portant sur la résistance française pendant l’occupation allemande.
Membre fondateur de La Cocarde sur Clermont-Ferrand, cet étudiant en histoire s’est rapidement tourné, sans succès, vers une formation militaire. Aujourd’hui militant à l’Action Française, il s’est affiché à plusieurs reprises avec des militants de CLFN pour « chasser du rouge ».
Titouan Lafforgue, étudiant en L2 d’Histoire à l’université de Clermont-Ferrand, membre de La Cocarde et fils d’une dynastie de militaires, est également connu pour ses liens étroits avec « Clément », ancien membre de La Cocarde et de Clermont Ferrand Nationaliste et aujourd’hui au parti pétainiste Les Nationalistes (« Bourbonnais nationaliste »). Titouan est animé de volontés toujours plus fortes d’en découdre avec les étudiants de gauche. Il persécute régulièrement les militants de l’UNEF et de leurs proches.
Maixent Broussou, frère de la militante de La Cocarde Sybille Broussou, est également un adepte de la provocation vis-à-vis de militants de gauche. Fabien Ennis, étudiant en M1 MEEF à l’Inspé de Clermont-Ferrand et qui envisage de devenir professeur de mathématiques, membre revendiqué de La Cocarde, est quant à lui un antisémite féroce. Peu attirés par la violence politique, d’autres militants connus côtoient cette nébuleuse fascisante comme Théo Bonnet, Antonin Artero, Antonin Tancogne qu’on retrouve dans des mêmes réunions, en compagnie du néo-nazi « Clément » ou bien de Sinisha Uros.
Comme dans d’autres villes, une division du travail militant s’est ainsi installé dans la mouvance néofasciste clermontoise : la conquête électorale pour le RN (et dans une moindre mesure Reconquête63, avec pour président l’islamophobe et le sympathisant royaliste Aurélien Chabrier), l’activisme étudiant et le recrutement des jeunes pour la Cocarde, la formation intellectuelle et le culte de la mémoire pour l’Action française et la milice violente (en théorie peu fréquentable) chargée d’intimider les opposants (Clermont Non Conforme aujourd’hui, Clermont-Ferrand Nationaliste hier). Toutes ces structures sont imbriquées et semblent avoir conscience de leur complémentarité, comme le prouve notre enquête, et mettent à mal le discours de « dédiabolisation » que souhaite afficher l’extrême-droite électoraliste.
Vers la fin de l’impunité de l’extrême-droite à Clermont-Ferrand ?
Après la dissolution du Bastion social en septembre 2018, Clermont-Ferrand avait connu une forme d’accalmie vis-à-vis de la menace néofasciste jusqu’en janvier 2021 au moment de la création de Clermont-Ferrand Nationaliste. Celle-ci avait engendré un regain des violences d’extrême droite à l’encontre des minorités, des organisations militantes de gauche et de leurs locaux, en particulier à l’université. L’impunité dont bénéficient jusqu’à présent les auteurs de ces violences a sans doute pu laisser croire que Clermont-Ferrand était une terre d’accueil ou de repli pour un ensemble de militants néofascistes.
La création de Clermont non conforme risque fortement d’engendrer à nouveau un cycle de violences d’extrême droite sur Clermont-Ferrand et sa région, si une réaction ne se fait pas rapidement. Cette dynamique n’est pas spécifique à l’Auvergne puisque que cette mouvance se développe nationalement et sur tout le territoire.
Tristan Arnaud, est, par exemple, poursuivi pour des faits de violences à Toulouse. D’autres membres de Clermont Non Conforme sont sous le joug de la justice après des violences au Puy, lors de la venue d’Hilda Lefort (anagramme de Adolf Hitler) dans une librairie qui propose des écrits interdits à la vente comme « l’ordre SS, éthique, et idéologie » d’Edwige Thibaut. Ce jour-là, les militants clermontois frappent des passants : Roman Schmidt, Arthur Guibert et « Marceluss » étaient présents. L’homme porte un t-shirt de l’équipe du FC Sankt Pauli, club sportif antifasciste. La victime a porté plainte. D’autres plaintes sont en cours sur Clermont-Ferrand, après différentes agressions, notamment au sein de l’université. Affaire à suivre donc…
Mediacoop a décidé de mettre en ligne l'enquête d'Arno Chotard, journaliste spécialisé dans l'ultra-droite. Il a suivi tout l'historique de l'ultra-droite clermontoise. https://t.co/zgpXKUtqoN
… Le gendarme met à disposition son savoir-faire et ses armes : deux kalachnikovs, un fusil à pompe et un pistolet semi-automatique. Tous s’entraînent au tir sur fond de musique métal entre deux saluts nazis, cagoulés et armés devant l’objectif. Excité, Julien propose à Alexandre un drive by shooting (fusillade au volant). Le gendarme décline. Ensemble, ils prévoient cependant d’aller en Ukraine chercher des mitrailleuses, qui tirent en rafale.
… Dans un second manifeste intitulé « Reconquista Europa – opération croisée – communiqué de guerre », flanqué du symbole nazi du soleil noir, le militaire l’annonce : « Le vendredi 13 novembre, une opération spéciale de représailles va être appliquée pour venger les victimes des attentats islamiques [sic]. Le Templier utilisera fusils d’assaut, explosifs et n’aura absolument aucune pitié contre ces chiens qui détruisent l’Europe. » Se revendiquant d’un « nationalisme encore plus violent que celui de Hitler », il met dans son viseur les communautés musulmane et juive, mais aussi « les traîtres marxistes communistes ».
…
Nous voici donc au procès d’assises de l’affaire #Waffenkraft que je vais suivre en live ci-dessous👇🏼
Pour rappel, quatre personnes dont un ancien gendarme – qui comparaît détenu – sont accusées d’association de malfaiteurs terroriste en lien avec l’extrême droite. https://t.co/PJ469aBR35
A l’ouverture du premier procès aux assises pour terrorisme d’ultradroite, l’un des principaux accusés a reconnu lundi avoir “envisagé des projets de violence”, tout en assurant qu’il n’aurait pas été capable de “passer à l’acte”. Quatre hommes de la mouvance néonazie âgés de 22 à 28 ans sont jugés par la cour d’assises des mineurs de Paris – l’un d’entre était mineur au moment des faits – pour association de malfaiteurs terroriste.
2/10 – L’Active club France est inspiré des America’s White Supremacist Fight Clubs. Leurs membres se considèrent comme des soldats justiciers qui montent la garde contre une menace existentielle perçue pour leur « avenir blanc ». pic.twitter.com/idVZ8ruhzq
3/10-Motivés par la philosophie suprémaciste blanche du «grand remplacement», ces groupes se préparent physiquement à lutter contre un «monde moderne» corrompu par les «influences culturelles destructrices» des libéraux, des juifs, des musulmans et des immigrés non blancs. pic.twitter.com/V17rRPuqNY
4/10 – La croix celtique fait partie de leur logo, car celle-ci renvoie au “white power”, dont la race aryenne issue des peuples celtiques et nordiques. On peut identifier également la fleur de lys et le heaume, symboles qui font référence à la royauté et les reconquêtes. pic.twitter.com/X5j18wrvod
5/10 – Dans leurs posts on identifie souvent le symbole de l’online shop “will to rise”. Un site de vente de vêtements et équipement MMA suprémaciste blanc, fasciste/nazi, raciste, comme “pride france” ou “white rex. pic.twitter.com/m5pyOzLP9z
6/10 – Le canal Telegram Active Clubs France est créé en avril 2022, à priori par des militants issues du groupuscule Le Mora et Les Normaux, qui postent les premiers messages sur le canal. pic.twitter.com/VMiUUqv3vL
7/10 – Initialement, on voit apparaître des groupes en Normandie, Paris/Ile-de-France, Nîmes, Grenoble, Franche-Comté, Saône-et-Loire, Clermont-Ferrand, Le Gard, L’Hérault et Valence. pic.twitter.com/3kdKl6rclh
8/10 – Aujourd’hui, existent plus d’une vingtaine de micro Actives clubs en France. Les Actives Clubs véhiculent des idéologies nationalistes blanches (suprémacistes blanches), néo-nazis et néo-fascistes.
9/10 – Vu que leurs militants sont issus de plusieurs groupuscules d’extrême droite déjà existants en France, on voit aussi affleurer du royalisme, du hooliganisme et des propos islamophobes, homophobes ou anti-migration. pic.twitter.com/V9EGT6hBdx
Le soleil noir flotte en filigrane dégradé au-dessus des logos typiquement NSBM & NSDAP METAL : lettrages gothiques, écussons waffen, runes, … ça fait beaucoup.
Le visuel promotionnel ainsi que l’intitulé “Night for the Blood” sont proches des visuels promotionnels “Night of Honour” dont je jeu de piste conduit chez Batskin.
Les scénographies proposées : Un trio suisse crane rasé patché nsbm déjà affiché en cercle de torches autours d’un feu. Un autre groupe propose sa mise en scène autoritaire figurée par un orateur en uniforme militaire derrière un pupitre … etc.
Le soleil noir qui domine le visuel rappelle le demi-soleil noir affiché par le crew promoteur du rac torché à ste croix aux mines, également dans les Vosges alsaciennes, à quelques kilomètres seulement de Ste Marguerite.
Ste Marguerite est aussi localisation connue de figures nsbm vosgiennes qui affichent la croix celtique dans leur logo et qui se produisent exclusivement dans les rassemblements RAC x NSBM clandestins produits secrètement par des crews territoriaux locaux en Limousin en 2016 puis en Rhones Alpes en 2020.