REVUE DE PRESSE : 666≠88 Rassemblements Rac'NSbm clandestins. Figures NSBM völkisch. Stratégie métapolitique fasciste à posture apolitique de façade. Musée des horreurs White Power
je rapelle la présence de personnes armées,
boucliers, lames, épées, dagues, sabres, couteaux, armures, casques, masques de combat, heaumes, haches, lances,
masses d’armes, … dans le cadre des “sports de combats” médiévaux. plusieurs “troupes” sont prévues dont des “troupes” ukrainiennes.
“Nous avons mis sur pied une collaboration avec l’ambassade d’Ukraine
car il s’agira de faire venir en France pas loin d’une centaine de personnes d’Ukraine
entre musiciens, artisans, accompagnants
et troupes.
Hors les musiciens, tous vont voyager en bus pour nous rejoindre.” intw
En prévision, la dimension cosplay est en partie incarnée par la troupe “les loups de fenrir” de besançon
dont l’emblème est une croix gammée stylisée ronde, dite “swastika”
croix gammée stylisée ronde / swastika comme celle de l’Ordre de Thulé, s’intéressant tout spécialement à l’Antiquité germanique et au pangermanisme aryen. Ses mythes racistes et occultistes inspirèrent le mysticisme nazi et sont à l’origine de l’idéologie nazie / nationale socialiste.
ou comme la croix gammée stylisée ronde / swastika
présente sur la pochette l’album Aryan Terrorism – W.A.R (acronyme de White Aryan Resistance ) groupe national-socialist black metal (nsbm),
projet de Eugeny Gapon alias K.V leader de Nokturnal Mortum, groupe mis à l’honneur pour la « before party » du ragnard rock fest et sa thématique ukrainienne.
la promotion du festival et le visuel présentant le programme du festival est lui-même une croix gammée stylisée swastika
Il était occultiste, théoricien de l’armanisme intégral (forme d’aryanisme),
auteur d’ouvrages romanesques sur fond de néopaganisme germanique,
et à l’origine de l’ésotérisme nazi, cher à Himmler.
L’alphabet à 18 runes qu’il va inventer, se basant sur les futhark récents, a servi de base pour tous les symboles du nazisme (symbols des divisions SS, etc.)
Il est également à la base de l’idéologie raciale nazie, plaçant les aryens au-dessus des autres peuples.
le von ayant été ajouté pour marquer l’appartenance à la “classe dominante aryenne“.
À travers ses écrits prolifiques, celui-ci s’était imposé comme le gourou des adeptes de la supériorité de la race allemande aryenne destinée à dominer le monde. List avait contribué à faire connaître le svastika : symbole du soleil chez les anciens germains, mais dont il fit l’insigne de l'”Indomptable”, du “Héros germanique”, du “Fort d’en haut”. Qu’Adolf Hitler ait connu les idées de List, on ne saurait en douter. »2
la Société Guido von List, créée en 1908, est parfois confondue avec de la Société Thulé, dont il aurait aussi été membre.
Fondé en 1998, Pagan Front réseaunéo-naziinternationalspécialisé NSBM (& folkish ndlr). Ilréunit groupes, labels, desfanzines, des graphistes, des concerts, …
Le Pagan Front a été fondé par :
– RoneReHal(lelabel américainDungeonof DarknessRecords), – HendrikMÖBUS, – WitekSlusarz(label polonaisDead Christ Commune)
– “Aranath” de Swastyka – IlliaBABIN(Russie“Stellar Winter“) et d’autres, …
Dans une publication de 2002 (Heathen Pride), Pagan Fronta déclaré dansun éditorial :
“Nous finançons la guerre, il est à propos dela survie de notreRace, notre patrimoine etnotre culture. […] seule laNSBMincarne lablanche–puissance dans cette scène musicale composée de déchets.”
Le « Pagan Front » fédère historiquement les groupes slaves tels que Graveland, Nokturnal Mortum ou Kroda, et la scène grecque radicale, via Der Sturmer, groupe de NSBM de Georgios Germinis. Son album culte, « The Blood Calls for W.A.R. » comporte l’acronyme assumé de « White Aryan Race ». Le « Pagan Front » permet de rassembler skinheads Volkisch et NSBM, afin d’en assurer la publicité et la diffusion.
Flyer du Pagan Front militant pour la libération de Hendrik Mobus.
« nous comprenons notre musique comme un moyen adapté de transmettre un message qui peut aller au-delà du simple plaisir esthétique. L’auditeur devrait être encouragé à penser. Nous voudrions qu’il se réfère au paganisme, entendu et compris comme nous l’entendons et le comprenons. Et c’est pour cela que nous cherchons à motiver nos compagnons et nos fans sur l’activisme politique » (Pagan front, Ablaze n°4, mai/juin 2008)
Le Pagan Front a publié une série d’anthologies-manifeste qui, avec ses trois volumes (1999, 2003, 2007) définit ouvertement les bases du mouvement :
Le premier de ces disques a en partie officialisé le terme de « National Socialist Black Metal »
Le deuxième a précisé les intentions et les origines à travers l’article reproduit à l’intérieur (intitulé : the Pagan Front – Return of the Iron Reich of Black Metal)
Le troisième est accompagné d’une liste de « commandements » : « Fiers Nationaux-Socialistes, Contre toute influence judéo-chrétienne, Tolérance zéro pour les ennemis de notre race, Unissons-nous sous le vaisseau du svastika, et ainsi de suite, pour poser les fondements idéologico-politiques qui sont à la base de l’organisation et que les groupes affiliés supportent ».
La stratégie du mouvement païen Odaliste via le Pagan Front pour s’élargir est métapolitique. Il s’agit d’investir les domaines idéologiques et culturels (notamment la musique), en partant du « peuple », avant de pouvoir à terme influencer naturellement les sphères du pouvoir à présenter une élite blanche ultra-nationaliste. L’objectif n’est pas à priori politique, mais cherche à influencer le peuple pour un retour des valeurs polythéistes pré-chrétiennes.
berceau du paganisme le plus militant et éprouvant de l’aversion pour la triade monothéiste, christianisme, judaïsme et islamisme, la pagan front est une organisation qui exerce un rôle clef dans la diffusion et le soutien des phénomènes Völkisch metal, NSBM et affiliés. Il s’agit en substance du plus grand réseau international de groupes, créateurs, maisons de disques, distributeurs, publications (Heaten Pride, Wotanjungend,… ) et graphistes, qui ont comme dénominateur commun un sentiment identitaire et paneuropéen, promu principalement, à travers la musique extrême. Une « armée du Métal Païen » ; sous cette aile protectrice, se sont réfugiés, rapidement, ou plus tardivement, pratiquement tous les grands noms affiliés au métal raciste au-delà des franges NSBM & FOLKISH ᛟ à proprement dit
« cette subculture de la jeunesse blanche est réellement sortie de l’écho du sang aryen brimé et occulté, une subculture née et forgée dans la lueur des églises en flammes et dans le sang des sous-humains assassinés. Le premier vrai groupe black metal national-socialiste a été Burzum. Les pseudos « premiers utilisateurs » du terme « black metal » venom ( et tout les autres imitateurs comme hellhammer, bathory, ou mayhem) n’ont jamais rien fait de sérieux. » (the pagan front – return of the iron reich of black metal. Extrait des notes du livret du second volume de la compilation the Night and the Fog)
pour comprendre l’importance du pagan front dans le circuit black metal, il suffit de penser que parmi ses membres importants nous notons la présence de du triumvirat formé de Graveland, Absurd et Der Stürmer, reconnus unanimement comme le fer de lance de la scène NSBM & dérivés folkisch, mondiale. A ceux-ci suivent, dans le désordre, les noms de Stormheit, Kataxu, Pantheon, Dark Fury, Xenophobia, Disiplin, Widulf, Bilskirnir, Temnozob, et beaucoup d’autres, comme preuve de l’immensité et de la capillarité du réseau.
(flyer du pagan front militant pour la libération de Hendrik Mobus)
« nous comprenons notre musique comme un moyen adapté de transmettre un message qui peut aller au-delà du simple plaisir esthétique. L’auditeur devrait être encouragé à penser. Nous voudrions qu’il se réfère au paganisme, entendu et compris comme nous l’entendons et le comprenons . Et c’est pour cela que nous cherchons à motiver nos compagnons et nos fans sur l’activisme politique » (pagan front, ablaze n°4, mai/juin 2008)
Mais cette organisation n’est pas un cas isolé. En principe – nous parlons de la seconde moitié des années 90 – il y eu d’autres expériences de « revival atavique » sur le même mode et dont le Pagan Front a effectivement révisé certaines caractéristiques idéologiques et attitudes. Nous pensons par exemple au Heaten Front et, spécifiquement, à son détachement allemand, le Deutsche Heidnosche Front, fondé par Hendrik Moebus de Absurd. Dans le cas présent, le Pagan Front en a récupéré l’aspect religieux de manière radicale, à la voelkisch, en mettant toutes ses cartes sur la propagande en musique. Ce n’est pas un hasard s’il est un des systèmes les plus fructueux et efficaces pour divulguer la doctrine belliqueuse que partagent ces nouveaux héritiers d’Odin dispersés sur le globe. Un paganisme, il est nécessaire de le clarifier, qui n’a pas grand-chose à voir avec le syncrétisme New Age et ses références aux concepts comme la tolérance, l’égalité, la liberté, la coexistante, et la démocratie. Complètement différent.
« Ce pseudo-paganisme, qui ne voudrait offenser personne et qui voudrait être d’accord avec tous, si nous le comparons avec le paganisme authentique, il apparaît comme un petit chien castré à coté d’un loup sauvage. » (ibid)
Vers la fin du millénaire qui vient de passer, le Pagan Front a commencé à faire parler de lui par le biais d’une série d’anthologies-manifeste titrée the night and the fog, qui, avec ses trois volumes (1999, 2003, 2007) a contribué a définir les bases du mouvement dont il se fait le porte-drapeau. Le premier de ces disques a en partie officialisé le terme de « National Socialist Black Metal », le deuxième a précisé les intentions et les origines à travers l’article reproduit à l’intérieur (intitulé : the Pagan Front – Return of the Iron Reich of Black Metal), alors que la troisième sortie est accompagnée d’un véritable manifeste de l’organisation pan-aryenne – une liste de douze « commandements » au titre les plus explicite : Fiers Nationaux-Socialistes, Contre toute influence judéo-chrétienne, Tolérance zéro pour les ennemis de notre race, Unissons-nous sous le vaisseau du svastika, et ainsi de suite, pour poser les fondements idéologico-politiques qui sont à la base de l’organisation et que les groupes affiliés supportent.
Bien qu’entouré d’un halo de mystère, à ce jour le Pagan Front prouve qu’il est une machine de publicité et de propagande autant préoccupante que bien strucurée. Un réseau capable de faire grandir son influence au niveau mondiale et de coopter dans ses rangs des projets venant des quatre coins du globe, devenant enn tout et pour tout un circuit producteur / distributeur alternatif à l’officiel capable d’utiliser le progres technologique pour consolider sa présence
(p221-225, As Wolves Among the Sheeps, La saga Funeste du National Socialist Black Metal de Max Ribaric & Davide Maspero, 900 pages)
2007
2008
2012
2016
Le logo officiel Pagan Front est affiché comme label par le home studio de microédition NSBM française Honour and Hate FdF circ. qui a produit et diffusé ses 5 disques Elitism + 12 autres propositions NSBm dont Vermine, entre 2012 et 2023.
EN 2016 PESTE NOIRE DECLARE NE PAS ETRE NAZI DU IIIe REICH ALLEMAND !
LE PROBLÈME EST QUE LA LECTURE VOLONTAIREMENT BINAIRE "NAZI / PAS NAZI" DE LA POSTURE DE PESTE NOIRE OCCULTE LES FAITS PAR MANQUE DE NUANCE ET DE PRECISION
PESTE NOIRE ONT DES LIENS MULTIPLES AVEC L’IDÉOLOGIE NÉO-NAZIE,
MAIS ON AURAIT TORT DE DE LES CONSIDÉRER COMME DE SIMPLES ADMIRATEURS D'HITLER
Peste Noire, de France, diffuse son idéologie-en-musique depuis 2001, aux marges et en avant-garde de la mouvance NSBM (national socialist black metal), inédit en concert depuis une dizaine d'années, prévoit une petite série de concerts de octobre 2016 à mai 2017, en France et en Europe, programmé en groupe vedette et inédit, parfois parmi des groupes célèbres de la musique metal, mais aussi avec des figures NSBM, au sein de festival généralistes metal, black metal ou de rassemblements simplement NSBM, alors que le le groupe inexpérimenté à la scène et effectivement boycotté n'a donné que quelques concerts (moins de 10 en france, 7 au canada, il y 10 ans) en grande partie aussi en raison de l'instabilité du line-up . La formation live actuelle intègre plusieurs membres de groupes de RAC/Oï! boneheads militants ultranationalistes-radicaux, et plusieurs membres de groupes NSBM. Il y a beaucoup à dire sur les liens multiples entre l'idéologie-en-musique de Peste-Noire et l'idéologie antisémite néo-nazie, mais on aurait tort de les considérer comme de simples admirateurs d'Hitler.
Planning prévisionnel des concerts de Peste Noire 2016-2017
29 octobre : FRANCE / LIMOUSIN
Peste Noire prévoit un premier rassemblement,
auto-produit discrètement
pour diffuser son idéologie-en-musique
le lieu n'est pas annoncé
l'adresse du rassemblement (capacité 500 places) est gardée confidentielle,
et sera envoyée aux acheteurs de tickets
(infoline :retourdelapeste@gmail.com)
à l'image des rassemblements RAC/Oi clandestins
(voir le dossier antifa(pdf) sur les limousins Front des Patriotes + Lemovice)
et des free-parties (mais là c'est 25 euros !)
le 29 octobre 2016,
rassemblement NSBM inédit, 500 "militants" de toute la France.
Le "premier" rassemblement prévu dans le Limousin.
le prospectus idéologique
et l'affiche promotionnelle
sont ornés de
l'écusson KPN / White Aryan Resistance.
et du logo du groupe NSBM Sacrificia Mortum figurant une croix celtique.Devilspit (Fr) est aussi prévu.
FB
PESTE NOIRE ONT DES LIENS MULTIPLES AVEC L’IDÉOLOGIE NÉO-NAZIE,
MAIS ON AURAIT TORT DE DE LES CONSIDÉRER COMME DE SIMPLES ADMIRATEURS D'HITLER
19-20 novembre : speyer allemagne
en aout la presse locale allemande dénonce l’accueil de kpn
et dresse le portrait de Schork, l'organisateur de rassemblements NSBM polémiques
et cracheur de feu pour Graveland au Ragnard Rock Festen septembre,
schork, l'organisateur sinister howling
semble chercher un autre lieu de rassemblement nsbm pour Peste Noire.octobre - "ablaze magazin" annonce publiquement l'annulation de peste-noire (a confirmer ...)MAJ : post intox-troll de Hendrik Möbus (Ablaze) en concurrence car producteur de peste noire pour avril 2017 a l'est de l’Allemagne
la citation est un copié collé d'un vieux message de l'organisateur de Speyer qui a annulé son concert nsbm de Celestia il y a quelques années. Möbus intoxique et estime que peste noire sera annulé au moment ou les tickets de concerts auront été vendus ...Annulé
15 AVRIL 2017 :
rassemblement NSBM en Allemagne
avec peste noire prévu le 15 avril 2017,
en région à l'est de l'Allemagne "Return of the Plague"
Gegen bauerntrampel okkulte nationalsozialismus schwarz metal
18 decembre : Kiev, Ukraine
rassemblement NSBM wotan jungend / militant zone, avec
kroda,
nokturnal mortum,
m8l8th,
"le 18/12/16, Peste Noire jouera à Kiev au Asgardsrei avec d’autres groupes NSBM. Ce festival a un fond clairement fasciste. Les organisateurs de l’Asgardsrei exigent dans leur manifeste qu’on refasse vivre les notions qui selon eux sont devenues des coquilles vides dans le Black Metal, à savoir la mort, la guerre et le sacrifice de soi. Ces mots doivent avoir un sens « authentique » et « sacré » et doivent être exécutés dans un nouveau Black Metal militant pour faire renaître les « Purs ». Ceci signifie donc que pour l’organisateur il ne faut pas juste chanter à propos de la mort, mais qu’il faut également tuer. Cette Video nous livre quelques impressions à propos de la scène à un tel concert en Ukraine, montrant la prestation du groupe M8L8TH à ce même festival l’an dernier, et au cours duquel le public ne cesse de faire des saluts nazis. Comme déjà évoqué précédemment, Famine est un fan de M8L8TH et va se produire avec ses idoles à ce même festival cette année."
(article source)
PESTE NOIRE ONT DES LIENS MULTIPLES AVEC L'IDEOLOGIE NEO-NAZIE,
MAIS ON AURAIT TORT DE DE LES CONSIDERER COMME DE SIMPLES ADMIRATEURS D'HITLER
28 janvier 2017 : Rassemblement NSBM en Rhones AlpesPeste Noire annonce un second rassemblement NSBM en France,
après le Limousin, c'est la Région RHONES ALPES qui va accueillir l'élite de l'idéologie-en-musique NSBM le 28 janvier 2017
DARK FURY NSBM de Pologne
GOATMOON NSBM de Finlande
BAISE MA HACHE NSBM de Savoie en France
KOMMANDO PESTE NOIRE NSBM de France
Dark Fury sont l'un des leaders de la mouvance NSBM de Pologne, des chapitres entiers sont consacrés à Dark Fury et à ses liens multiples avec l'idéologie néo-nazie, dans le livre "as wolves among the sheep".
Goatmoon est l'un des leaders de la mouvance NSBM de Finlande, des chapitres entiers sont consacrés à GoatMoon et à ses liens multiples avec l'idéologie néo-nazie dans le livre "as wolves among the sheep"
BAISE MA HACHE a déjà été interdit en France et a participé à un rassemblement NSBM avec Dark Fury en Italie. Le chanteur de BMH est aussi vocaliste dans KPN.
le 29 janvier Famine est invité par le GUD Lyon pour une "rencontre"
29 janvier 2017 : "rencontre avec Famine de peste noire dans le local du gud à Lyon :
Après la production par Front des Patriotes, c’est au tour du GUD d’annoncer une “rencontre” avec le chef-de-bande de Peste Noire, au sein du “Pavillon Noir” (ne pas confondre avec le collectif NSBM occulte parisien homonyme, Pavillon Noir Asso – PNA – PN asso) local du GUD à Lyon, le 29 janvier 2016.
Cette “rencontre” est prévue le lendemain du rassemblement NSBM “secret” et clandestin “Call of Terror” avec Goatmoon, Dark Fury, Baise ma Hache, autours de l’idéologie-en-musique de Peste Noire, organisé par Blood and Honor Hexagone en Rhône-Alpes prévu la veille, le 28 janvier 2016.
Peste noire en “rencontre” au sein du “Pavillon Noir”, local du GUD à Lyon le 29 janvier 2017
22-25 FEVRIER 2017 : BLAST FEST Norvege
Napalm Death (grindcore godfathers – UK) a annulé sa participation suite à la confirmation de Peste Noire.
En plus de Peste-Noire / KPN,
le festival produit les goupes NSBM occultes
Horna (finlande),
BATUSHKA (Pologne – avec des membres de Mglà, affiliés au label NSBM finlandais Northern Heritage, dont le batteur Kriegsmachine / Maciej Kowalski)
A noter, la présence du groupe Scour (usa) de Phil ANSELMO, le vocaliste de Pantera, Down, qui a été au centre de la polémique pour avoir fait le salut nazi sur scène, puis par ses justifications douteuses, alcoolémie en prétexte.
En France des associations anti-racistes se sont manifestées et l’Etat a retiré la subvention au festival Hell-Fest qui a maintenu sa programmation et soutenu et produit quand-même le groupe Down dont Phil Anselmo est le vocaliste.
Phil Anselmo a depuis multiplié les excuses publiques et les gestes ouvertement anti-racistes ; Mais sa sélection en artiste vedette parmi des groupes polémiques est-il une provocation assumée ou un manque de vigilance ?
Blast-Fest produit aussi des pointures du métal contemporain : Dying Fetus, Devin Townsend,
ou les groupes locaux français :
Benighted, (https://www.facebook.com/brutalbenighted/),
Regarde les Hommes Tomber,
qui eux ne boycottent pas (à l’heure actuelle) ni le festival, ni la présence de Peste-Noire en tête à l’affiche à leur cotés.
Blastfest est soutenu par une quarantaine de sponsors et partenaires locaux et internationaux, médiatiques, et logistiques : plusieurs marques célèbres de matériel et d’instruments de musique, des commerces locaux, presse spécialisée, tourisme, …
liste des partenaires et sponsors : http://blastfestnorway.no/?page_id=146producteur blastfest : https://www.facebook.com/YngveChristiansen
Booked by ARCTO PROMO who booked Death in June en 2013.
логотип “Peste Noire”, кран в гербе идентична логотипом неонацистского движения “White Aryan Resistance”
трейлер концерта “Peste Noire” Москва является антисемитской речи, произнесенной в 1941 году Дорио и Пьер Клементи, французскихдеятелейсотрудничества с нацистами, совершенные СС в Wechmacht.
peste noire про-украинский активист и поддержки полкаАзове
формирование концерта “Peste Noire” включает в себя boneheads члены “lemovice” и “Wolfangel” (rac/oï!) активиста front des patriotes
soundtrack for the video trailer for the moscow show is based on the introduction track of “Peste Noire ” LP album.
The introduction is based the ideology on a sample from a speech (8.7.1941)pronouced by LVF antisemitic & collaborationnist figures “jacques doriot” and ” pierre clementi” who joined the SS & Wechmacht, honored by Peste Noire. First sentence is ” “ce n’est pas la france qui a ete battu, ce n’est pas le peuple français, c’est la bande de JUIFS de salauds de capitalistes qui nous dirigaient” ” it is not france which was defeated, it is not french volk defeat, it is defeat of coward jewish gang of capitalists that controlled us” (the BIP sound occults the term “juif” (jew) this is not self-censorship, this is subtile & arty occult expression. There are other examples in peste noire fake-self-censorship art)
La bande-annonce vidéo pour le concert de Moscou reprend l’introduction du CD éponyme “Peste Noire”,
un discours ouvertement antisémite.
L’introduction du disque « Peste Noire »
met à l’honneur les paroles d’un discours
de la LVF des figures antisémites de la collaboration,
“Jacques Doriot”
et “Pierre Clementi”,
engagés dans l’armée nazi, la werchmarcht, au sein de la “SS”,
discours prononcé dans le contexte du 8 juillet 1941.
La première phrase en est :
“ce n’est pas la france qui a ete battu, ce n’est pas le peuple français, c’est la bande de JUIFS de salauds de capitalistes qui nous dirigaient“
L’effort de reproduction de ce discours,
mis en musique
pour introduire un album complet,
est sans ambiguïté .
De plus, Peste noire joue des effets victimaires,
un parasite sonore efficace caricature l’autocensure
à la 9e seconde de l’introduction de l’album, le ton est donné.
Peste noire déclare qu’il est question de race, de certaines valeurs
et points de vue sur un prétendu complot.
PESTE NOIRE ONT DES LIENS MULTIPLES AVEC L’IDEOLOGIE NEO-NAZIE, MAIS ON AURAIT TORT DE DE LES CONSIDERER COMME DE SIMPLES ADMIRATEURS D’HITLER
1er avril hot shower (north) italia
Hot Shower VI – Al Dente Edizione with
SPEAR OF LONGINUS (Oz), NAER MATARON (GRC),
PESTE NOIRE (FRA),
SIELUNVIHOLLINEN (FIN),
VIA DOLOROSA (ITA),
DREADFUL RELIC (GRC).
Hot Shower est un rassemblement nsbm sous forme de festival national socialiste de black metal (NSBM)
cette année, le ticket de prévente et de réservation représente un dessin
figurant un personnage capuchonné type ku-klux-klan.
PESTE NOIRE ONT DES LIENS MULTIPLES AVEC L’IDEOLOGIE NEO-NAZIE, MAIS ON AURAIT TORT DE DE LES CONSIDERER COMME DE SIMPLES ADMIRATEURS D’HITLER
15 AVRIL 2017 : rassemblement NSBM allemand avec peste noire prévu le 15 avril 2017, en région à l’est de l’Allemagne “Return of the Plague”
Narwahajan est affilié au réseau néo-nazi & NSBM allemand,
en y apportant sa nuance païenne occulte
et bien qu’actif seulement depuis 2011
a déjà fait couler de l’encre
de la part des antifascistes vigilants en Europe de l’est.
thème des paroles : Dark Germanic Heathenism,
c’est à dire la religion païenne ancestrale à portée germanique identitaire (völkisch) dans le sillage de l’organisation “heathen front” (front païen, Pagan Front) développée dans leurs prisons respectives par les meurtriers néo-nazi Hendick MOEBUS du groupe NSBM Absurd en Allemagne et Kristain “Varg” VIKERNES connu pour son groupe one-man-band NSBM BURZUM, dans les années 1990.
19-20 mai 2017 steelfest finland
L’affiche met le blason white aryan resistance encollé du nom de Peste-Noire en vedette, au centre de grosses têtes d’affiche comme Marduk (Suède).
et des figures NSBM polémiques
– Mglà (Pologne),
– Night Bringer (usa, Colorado) dans lequel joue le finlandais Shatraug de Horna & co, figure NSBM ou jouait Acherontas de Grèce, autre figure NSBM.
Depuis 2013, le Steelfest programme chaque année des groupes black metal dont toujours des groupes affiliés aux mouvances nationales-socialistes du black metal (NSBM) plus ou moins occultes :
– Graveland , de Pologne, dont le site officiel archive les interviews aux propos antisémites du leader Rob Darken,
-Batushka (Pol.) membre de Mglà
– Kroda, Nokturnal Mortum, d’Ukraine,
– Temnozob de Russie
– Horna, Satanic Warmaster, Sargeist, Goatmoon, de Finlande
PESTE NOIRE ONT DES LIENS MULTIPLES AVEC L’IDEOLOGIE NEO-NAZIE, MAIS ON AURAIT TORT DE DE LES CONSIDERER COMME DE SIMPLES ADMIRATEURS D’HITLER
13 JUILLET 1994
MEURTRE DE IDRISSA DIARRA
PAR 7 JEUNES RACISTES
UN SOIR DE CONCERT AU GIBUS
Des racistes condamnés, mais ceux qui ont armé leur bras n’ont pas été jugés
Le 28 novembre dernier, une peine de prison de 12 ans a été prononcée contre les trois hommes qui avaient commis un crime raciste à Paris le 13 juillet 1994. Ce jour-là, un Malien de 42 ans, Idrissa Diara, dormait paisiblement sur un banc quand il a été lâchement agressé par un groupe de jeunes gens qui l’ont précipité dans le canal Saint-Martin, sachant pertinemment qu’il ne savait pas nager, ce que la victime criait. Au procès, un avocat de la défense a nié le contenu raciste de l’acte des assassins. Selon lui, ” ce n’était pas une chasse à l’homme mais une plaisanterie stupide, imbécile “. Un autre a protesté contre la présence au procès des organisations anti-racistes, Sos-Racisme, le MRAP et la LICRA, qui se sont portées parties civiles, déclarant : ” c’est parce que ces associations sont là que l’affaire a pris un caractère raciste “. Le fils de la victime, âgé de 12 ans, est venu dire au procès qu’il était fier de son père, ” il n’a assassiné personne, je n’ai pas de haine, je veux que justice soit faite “. Pour une fois, le caractère raciste de ce crime a été reconnu, malgré les dénégations des avocats des auteurs de l’agression. Les trois responsables, âgés de 21 à 24 ans, sont passés aux actes, délibérément.
Ils ont commis ce crime parce qu’ils se sont sentis encouragés par tous ceux qui, propageant le racisme et le nationalisme, arment le bras des plus faibles qui se sentent supérieurs du seul fait qu’ils sont ” nés quelque part “. La propagande chauvine, xénophobe, du Front national est relayée par celle des partis de droite qui défendent les mêmes préjugés moyenâgeux sur la ” chance d’être français “. Ces politiciens ne seront évidemment pas condamnés mais ce sont eux les responsables.
Jugement des cinq jeunes adultes accusés du meurtre d’Idrissa Diarra, un Malien de 42 ans (deux mineurs avaient déjà été jugés par le tribunal pour enfants de Paris). En juillet 1994, après un concert au Gibus, près de la place de la République (Paris), le groupe avait décidé de «se payer un Noir ou un Arabe», «la racaille HLM», de faire «une ratonnade». Rencontrant Idrissa Diarra, qui dormait sur un banc près du canal Saint-Martin, ils simulent un premier lancement à l’eau. Celui-ci explique qu’il ne sait pas nager. La seconde fois, l’homme est réellement jeté à l’eau… il y meurt noyé.
Douze ans de réclusion criminelle pour Chun Cheng, James Leclerc et Johann Tatard. Trois ans de prison avec sursis pour Stéphane Groise. Acquittement pour le dernier.
«Jeter un Black dans l’eau, une plaisanterie». Quatre jeunes jugés pour la mort d’un homme qu’ils ont poussé dans le canal Saint-Martin. 27 novembre 1997
http://www.liberation.fr/societe/1997/11/27/jeter-un-black-dans-l-eau-une-plaisanterie-quatre-jeunes-juges-pour-la-mort-d-un-homme-qu-ils-ont-po_220908
Idrissa Diara avait 42 ans, son tort fut de dormir sur un banc.
[…] Ce soir-là, au Gibus, après le concert, quelqu’un propose de sortir «se battre avec de la racaille, plus spécialement des Noirs et des Arabes». Qui a cette idée de «ratonnade à mort»? Personne ne se souvient. «Chun m’a demandé si j’en avais pas marre avec les étrangers qui agressent les gens», indique Johann Tatard. Chun réplique: «On sortait d’abord pour prendre l’air. Il faisait très chaud.» Les sept hardos traînent dans la ville, finissent par tomber sur le canal. Deux cinéastes tournent une scène où il s’agit de jeter des pierres dans l’eau. Quelqu’un, dans les sept, propose de jeter les cinéastes à l’eau, mais «pour rigoler». Puis ils avisent le «Black», sur le banc. Le réveillent. Idrissa est très poli. «S’il a été si sympathique avec nous, c’est qu’il devait avoir peur», analyse X. Donc, l’ambiance est bonne. Idrissa demande une cigarette. On lui donne. On rigole: «La cigarette du condamné.» Peut-être qu’Idrissa rigole aussi.«J’étais jeune.» Qui a l’idée de le jeter? «Si c’est moi, c’était stupide. Mais j’étais jeune», dit X. Une première fois, on le saisit par les jambes et les bras, on simule de le projeter dans l’eau. Johann: «Il disait “arrêtez, c’est pas drôle.» Idrissa dit qu’il ne sait pas nager. On le rassied. On rigole encore. Certains ont un peu bu, personne n’est vraiment ivre. «Il a vu qu’on n’était pas agressifs», dit Johann.
On discute. «Chun m’a demandé si on devait se le faire, en représailles pour sa couleur, expliquera James. J’ai proposé de lui faire uniquement peur, parce qu’il était vieux.» C’est vrai qu’on est loin de la «racaille» et des «Zoulous» officiellement recherchés. «Le racisme n’existait plus à ce moment-là», jure X. Juste la blague. Ensuite? Johann raconte: «Le Noir a dit “je savais que vous alliez pas me jeter à l’eau. Le Chinois (Chun, ndlr) a pris ça comme un défi, lui a saisi la jambe, et tout le monde a suivi.» Idrissa est maintenant au-dessus du canal, on le balance. «Personne n’a dit “on le lâche», assure Johann. «Ça part avec l’élan, explique James. M. Diara a glissé des mains.» Idrissa ne pèse pourtant que 67 kilos. «Mais d’un seul coup, c’est devenu lourd», dit X.
Idrissa tombe-t-il dans l’eau tout de suite? Ou y a-t-il un dernier coup de pied pour l’envoyer valdinguer? Ça s’est dit. Mais devant les assises, les souvenirs se brouillent. Non, juste un «accident». Il y a même des marques au poignet d’Idrissa, glisse un avocat: ça montre que James a cherché à le retenir, non? De la berge, Johann lui tend bien la main, sans succès. «On lui disait “reviens», assure X. Mais Idrissa ne revient pas. Sacré blagueur. Tellement blagueur, d’ailleurs, que «dans un premier temps, les quatre (Chun, X, James et Johann, ndlr) ont ri», assure Nikola Kerkez Plavsic, l’un des sept accusés. «James et le Chinois nous ont demandé si on voulait recommencer, indique Johann. Mais ça suffisait.»
Concert de hard-rock à la boîte de nuit le Gibus,
toute proche de la place de la République,
ce soir de juillet.
Sept jeunes, âgés de quinze à vingt ans,
en sortent vers 3 heures du matin,
avec l’envie de se battre, l’envie de «casser de la racaille des cités HLM»,
si possible «un Noir ou un Arabe»,
avoueront-ils six mois plus tard aux policiers de la brigade criminelle de Paris.
James, Stéphane, Chun et les autres errent dans le quartier du Gibus. Sur les quais du canal Saint-Martin, la bande accoste d’abord deux étudiants en cinéma filmant des pierres jetées dans l’eau.
La scène inspire leur macabre scénario.
Un Malien tiendra le rôle de la pierre.
Il se nomme Idrissa Diarra et somnole un peu plus loin sur un banc. Les hard-rockers réveillent l’homme un peu ivre,
engagent la conversation,
le chahutent et font mine de le jeter à l’eau.
La victime indique qu’elle ne sait pas nager.
Le groupe le pousse,
pour de bon cette fois,
dans le canal.
Idrissa, quarante-trois ans, ouvrier en maroquinerie,
un gars «un peu bohème» selon ses proches,
coule à pic.
Des témoins préviennent les secours mais en vain. L’homme décède à 9 heures du matin des suites de sa noyade.
les sept garçons accusés se renvoient la balle http://www.humanite.fr/node/171469
Le Monde
SAMEDI 14 JANVIER 1995
Des jeunes avouent le meurtre d’un Malien
La bande de sept ” hard rockers ” disait vouloir ” se payer un Noir ”
Cela aurait pu rester le mystère du canal Saint-Martin, la mort inexpliquée d’un homme jeté à l’eau par une bande d’assassins dont la trace aurait été à jamais perdue. Le 13 juillet 1994 à 3 heures du matin, un Noir avait été volontairement poussé dans ce canal du dixième arrondissement parisien. Mort par noyade. De rares témoins avaient observé la scène de loin : sept jeunes aux cheveux longs et à la panoplie de hard rocker – blousons noirs élimés avec des noms de groupes peints sur le cuir, vieux jeans délavés à l’eau de Javel et paire de rangers – avaient chahuté l’homme en faisant mine de le balancer à l’eau.
“Je ne sais pas nager “, avait-il crié. Après lui avoir offert une cigarette – “la dernière, celle du condamné “, avait ricané l’un des jeunes-, l’homme avait été jeté dans le canal. Il a coulé à pic. Sept inconnus pour un cadavre. Un maigre indice, dans l’une des poches du noyé : une carte orange, portant un nom à moitié effacé. La prestigieuse brigade criminelle avait été saisie du dossier. (Le Monde du l5 juillet 1994). Après six mois d’enquête, “la crim’ “a reconstitué le fait-divers et interpellé les sept suspects.
A LA SORTIE D’UN CONCERT
La petite bande avait passé la soirée au Gibus Rock Club, une boîte de nuit de la rue du Faubourg-du-Temple. Ce soir-là, l’ambiance était au “hard” : un groupe connu des seuls initiés avait déversé ses lourds décibels sur ses fidèles. A la sortie du concert, les sept fans avaient d’abord discuté avec des étudiants en cinéma qui, sur le quai de Valmy, filmaient des cailloux jetés dans l’eau. Un peu plus loin, le groupe – un collégien et deux lycéens, un maçon, un garçon de café, deux sans-profession, tous âgés de quinze à vingt ans- avait repéré l’homme assoupi.
Aux policiers qui les ont interrogés, les uns ont dit avoir voulu “faire une ratonnade et se payer un Noir ou un Arabe “. Les autres ont avoué vouloir “casser la racaille des cités HLM “. Ils se sont présentés comme des “hardos “, amateurs de rock dur, se croisant souvent dans des concerts ou devant le magasin Virgin Megastore des Champs-Elysées. Ces deux mineurs et cinq majeurs, tous Français, ne se connaissaient pas davantage. A part un mineur, qui s’est vaguement dit “nationaliste “, et une haine déclarée pour les “rappeurs”, ils n’ont pas donné aux enquêteurs l’impression d’être mus par une idéologie répertoriée. Des simples d’esprit “, commente un policier.
Diera Idrissa, un Malien de trente-cinq ans, en est mort. ” Un marginal en voie de clochardisation “, selon la police judiciaire. Une victime sans domicile fixe, qui se faisait héberger chez des amis. Dans la chaleur d’une nuit d’été, il avait décidé de dormir au bord dans l’eau d’un canal. Son identification été simple : le nom de la carte orange empruntée à un proche a permis de découvrir son identité.
Les ” hardos” ont été retrouvés grâce aux témoignages décrivant un jeune de type asiatique dans leurs rangs et à un renseignement décisif et anonyme parvenu in extremis aux enquêteurs. Les sept suspects ont été interpellés en cascade, du 9 au 11 janvier. Ils ont reconnu avoir poussé celui qui disait ne pas savoir nager, mais s’en renvoient la responsabilité. Quatre d’entre eux ont été écroués pour homicide volontaire par le juge d’instruction Olivier Deparis, jeudi 12 janvier, les trois autres restant en liberté sous contrôle judiciaire. Le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP) s’est constitué partie civile dans la procédure. Erich Indyan
nouvelle inspirée du meurtre :
Cette nouvelle est inspirée d’un fait réel qui s’est passé dans la nuit du 13 au 14 juillet 1994. Les criminels ont été retrouvés en janvier 1995. Nous vous invitons à lire l’article du journal Le Monde relatant l’événement. (14 janvier 1995)
14 Juillet !
Les deux jeunes lycéens avaient décidé de se retrouver au Gibus, une boîte de nuit branchée hard rock de la rue du Faubourg du Temple où ils avaient l’habitude d’assister à des concerts. Ce soir-là, l’ambiance n’était pas terrible et, comme leurs voisins, ils manifestaient leur mécontentement. Parmi ceux-ci, l’un d’entre eux, une véritable armoire à glace, se distinguait par sa violence et sa hargne.
C’était un de ces jeunes que tout le monde fuyait. Il n’était âgé que de vingt ans mais en paraissait vingt-cinq. Une stature imposante, des épaules larges, un buste bien développé, des muscles qu’il aimait faire jouer. “1,90 mètres, 80 kg.” comme il aimait à le préciser fièrement Des cheveux longs et sales, un regard si clair et si fixe qu’on l’aurait dit métallique, avec une petite cicatrice au coin de l’oeil gauche. Sur l’épaule droite, un scorpion, le dard dressé, tatoué.
Cette apparence physique, qui n’avait rien pour rassurer, était complétée par un blouson noir élimé, avec des noms de groupes de rock cousus dans le dos et des croix gammées dessinées sur les avant-bras. Un tee-shirt qui avait sûrement dû être blanc, de vieux jeans délavés à l’eau de Javel et des grosses rangers noires avec des semelles cloutées.
C’était un des habitués du Gibus Club Rock, où on aurait pu le trouver à toute heure du jour et de la nuit, si le Gibus avait été ouvert 24 heures sur 24. Avec quatre autres semblables, il avait fini par se constituer une petite bande qui, régulièrement, se donnait rendez-vous dans des boîtes qui ressemblaient, de loin comme de près, à des repères de malfrats. Ce soir-là, ils étaient venus, tous les cinq, assister à ce concert au Gibus, et, déçus, frustrés comme les deux lycéens qu’ils entraînèrent à leur suite, ils allaient en sortir avec la ferme intention de ” s’amuser ” ailleurs.
S’amuser…il y a bien longtemps qu’Idrissa ne savait plus ce que ces mots voulaient dire… Il venait de quitter ses amis qui l’avaient hébergé une semaine durant.
Cette nuit était si chaude qu’il décida de dormir sur les berges du canal Saint Martin après avoir fait une promenade dans le quartier. Il quitta donc la rue de La Pierre Levée et prit la rue de La Fontaine au Roi, son itinéraire des soirs d’été. Arrivé quai de Valmy, il fit encore quelques pas avant de s’étendre à même le sol après avoir roulé sa veste en guise d’oreiller.
La tête posée sur cet oreiller de fortune, Idrissa tomba dans un profond sommeil et il rêva à son pays, le Mali, qu’il avait quitté à 18 ans pour tenter sa chance à Paris. Lors de son départ pour la France, il avait laissé sa famille dans la misère. Ils habitaient des maisons de terre dans un petit village non loin de Gao. Bien souvent, il avait pensé à un éventuel retour au pays, mais l’argent lui faisait cruellement défaut.
Idrissa rêve. Il revoit son village, une femme allant chercher de l’eau au puits. Mais oui, c’est sa mère. Ses rêves sont confus. Il croit entendre le bruit caractéristique du fleuve Niger, mais en fait ce n’est que celui des pales charriant l’eau du canal.
Réveillé par une énorme péniche, il essaye vainement de se rendormir. Les souvenirs de son passé se bousculent dans sa tête. Pourquoi avait-il quitté son pays ? Il se revoyait jouant au foot avec les jeunes du village tandis que sa mère, au bord du fleuve, lavait le linge. Son père, lui, travaillait à Gao toute la journée. Le soir, il lui parlait de la France. Il lui en avait parlé si souvent comme d’un pays de rêve, d’un Eldorado, qu’il avait fini par y débarquer, par un bel après-midi de l’automne 1977.
Après leur soirée passée au Gibus Club, les sept jeunes ” hardos ” décidèrent de prendre l’air. Direction, La République où l’ambiance était peut-être plus “intéressante”. Mais, arrivés à hauteur du canal Saint-Martin, ils changèrent d’avis et décidèrent de longer le canal.
Ils rencontrèrent un groupe de jeunes avec une caméra. L’un des rockers leur demanda :
– Vous faites quoi là ?
– Un court métrage.
– C’est quoi ça ?
– Ben un film…, avança celui qui passait pour l’intellectuel de la bande.
– Ah oui ? Et ils sont où vos acteurs ?
– Il n’y a pas d’acteurs. Nous filmons la chute des cailloux pour un centre d’art et d’essai.
– Oh ! Les tocards ! Ils filment des cailloux et ils se prennent pour Spielberg ! Allez on se casse.
Ils partirent, mais après quelques mètres rencontrèrent Idrissa, toujours allongé par terre, et dormant paisiblement. Ils s’approchèrent et virent que l’homme était noir.
– Visez le négro, là !
– Vous pensez ce que je pense ?
– Ouais ! P’t-être qui fait des ronds dans l’eau, lui aussi ?
– Allez, on se le fait?
– Ouais… On se fume un bamboula !
La bande s’approcha de l’Africain et lui proposa une cigarette.
– Eh, mon pote, une cigarette, ça te branche ?
– Non,… merci, répondit Idrissa, d’une voix peu rassurée.
– Allez ! Fume ta cigarette ! On n’a pas que ça à faire !
– La dernière, celle du condamné….reprit un autre en ricanant.
– Fume ! Et après on va te fumer !
A ces mots Idrissa se dressa pour tenter de fuir, mais les sept rockers l’encerclaient.
Deux d’entre eux l’empoignèrent et le jetèrent dans le canal.
– Je ne sais pas nager ! cria Idrissa avant de toucher la surface de l’eau.
Celle-ci fut un instant troublée, puis elle redevint lisse et calme, comme si rien ne s’était passé.
Les 3°2 du Collège Georges Méliès.(Avril- Mai 1995)
12 à 15 ans requis dans le meurtre du canal Saint-Martin. http://www.liberation.fr/societe/1997/11/28/12-a-15-ans-requis-dans-le-meurtre-du-canal-saint-martin_220993 L’avocate générale Evelyne Lesueur a requis hier des peines de douze à quinze ans de réclusion contre trois jeunes gens accusés d’avoir noyé Idrissa Diara, un Malien de 42 ans, en le jetant dans le canal Saint-Martin à Paris, le 13 juillet 1994. Quinze ans de prison ont été requis contre Chun Cheng, 22 ans, treize contre James Leclerc, 23 ans, et douze contre Johann Tatard, 21 ans. Pour le quatrième accusé, Nikola Kerkez Plavsic, 22 ans, l’avocate générale a laissé la cour décider de son sort, car rien n’indique qu’il ait aidé à jeter à l’eau cet homme, dont le seul tort était d’être noir et de dormir sur un banc (Libération d’hier). Enfin, trois ans avec sursis ont été requis contre Stéphane Groise, 23 ans, poursuivi pour non-assistance à personne en danger. Verdict aujourd’hui.
Noyade du canal Saint-Martin: douze ans de réclusion.
La cour d’assises de Paris a condamné vendredi à des peines de 12
ans de réclusion criminelle Chun Cheng, James Leclerc et Johan Tatard. Ils étaient accusés d’avoir noyé un Malien, Idrissa Diarra, le 13 juillet 1994, en le jetant dans le canal Saint-Martin. Les jurés ont acquitté Nikolas Kerkez-Plavsic.
Des amateurs de Black-Métal, fatigués de voir leur scène gangrenée par l’émergence NSBM alertent au sujet du festival de black métal “Forest Fest.”
Sont invités, entre autres, les groupes tchèques SEKHMET& INFERNO NSBM de Karviná, qui ont déjà fait couler beaucoup d’encre en europe de l’est. (1)(2)
Prévu en Suisse, les vendredi 8 et samedi 9 Juillet 2016
organisé par des français “la Horde Séquane” “Organisation de concerts Black Metal en Franche Comté.” Le festival a lieu à la cabane forestière de Chevenez (Suisse, à 10 minutes de la frontière Française)
Du 21 au 24 juillet 2016, le petit village de Simandre sur Suran dans l’Ain accueille pour la 2ème année consécutive le « festival viking » Ragnard Rock Fest.
Au-delà des excès d’hydromels, de l’artisanat régionaliste, ou encore des animations folkloriques costumées (troupes slaves, barbares belligérants, armureries artisanales de lances, d’épées, de boucliers, masse, hachettes, …), assez douteuses, la presse locale s’interroge timidement sur la présence du groupe ukrainien Nokturnal Mortum qui affichait il y a quelques années ses sympathies pour le IIIème Reich. Quels sont actuellement les liens entre musique viking, fascisme, et nazisme ?
Le site de la revue ProChoix publie une enquête sur le « festival viking » Ragnard Fest qui se déroulera du 21 au 24 juillet 2016 dans le petit village de Simandre-sur-Suran dans l’Ain, à quelques kilomètres de Bourg-en-Bresse, pour la 2e année consécutive.
Des amateurs de Black-Métal, fatigués de voir leur scène gangrené par l’extrême-droite, ont décidé de se prendre en main et ont publié sur un blog les preuves de l’engagement militant des membres du groupe Peste Noire au sein de l’extrême droite radicale française. Des informations intéressantes, qui permettent de voir également que ce groupe lié aux groupes RAC Lemovice et Wolfsangel, Le batteur de Peste Noire jouant avec le groupe de RAC Lemovice, et qu’il gravite à proximité du groupuscule Le Front des Patriotes.
Alerte INFERNO, groupe national socialist black metal (nsbm) tchèque, identitaire slave & pagan tendance occulte qui a déjà fait couler l’encre en Europe de l’est.
Alerte NAWAHARJAN dont le logo occulte une croix gammée à 3 branche stylisée derrière un guerrier. Profitant de la confusion, le concert est organisé par PNA qui s’est déjà illustré par la diffusion de son interview de peste noire, son concert de sale freux, son interdiction à la miroiterie, son logo a fleur de lys, son créateur adepte du geste de la quenelle antisémite chère a Dieudonné, priche des “dissidents”, des “anti-système”, des “identitaires”, des “révionnistes”…
Ce concert PNA est prévu au Gibus Club Live, célèbre club LGBT au pied d’une Place de la République qui nous appartient à tous, où nous avons nos bougies de deuil, dans le quartier du Bataclan, et de Charlie Hebdo, et qui n’a pas à être récupérée par quelques identitaires …
A la mémoire de Idrissa DIARRA, assassiné le 13 juillet 1994 lors de la soirée concert au GIBUS d’où une bandes de jeunes racistes se réunirent, se rencontrèrent pour certains, s’enivrèrent, basculèrent dans la violence meurtrière, puis s’y réfugièrent.
PNA (Pavillon Noir Asso.) actif dans le secteur de la musique alternative “metal extreme” tendance black métal occulte & NSBM (National Socialist Black Metal) prévoit un concert NSBM au GIBUS CLUB à Paris le vendredi 13 mai 2016, avec INFERNO NSBM de République Tchèque, NAWAHARJAN NSBM d’Allemagne, … concert en partenariat avec Altered Minds Productions, pour les tournées en France, le management et la production d’événements de musique électronique / gothique.
NON A LA BANALISATION
Après des dates avec Mgla (nsbm occulte de Wroclaw-Pologne), Sale Freux (groupe produit par la Mesnie Herlequin, label de Peste Noire) puis des concerts dans diverses salles, le Klub, le Cirque Electrique, … voire même la production d’artistes de musique “électro” (perturbator, Hocico, …)
ce concert PNA est prévu au Gibus Club Live, célèbre club LGBT au pied d’une Place de la République qui nous appartient à tous, où nous avons nos bougies de deuil, et qui n’a pas à être récupérée par quelques identitaires …
Les organisateurs tentent de banaliser discrètement les concerts NSBM, ne les laissons pas faire.
CONFUSIONNISME
A l’image d’une certaine extrême droite confusionniste et nationaliste radicale, le pavillon noir revendiqué par PNA n’est pas à confondre avec le drapeau noir anarchiste,
noir de la peine de la Machnovstina ukrainienne,
mais est bien une tentative d’approche confusionniste de flibustier afin de pirater & détourner un symbole antifasciste au profit d’une vision ethno-différencialiste et identitaire, dissidente et & anti-système,
“pavillon noir” pas du tout anarchiste, pas du tout “drapeau noir”
Leur sigle PNA est bien entourée de la fleur de lys,
comme le logo de L’action Française royaliste célebre pour les actions radicales de ses camelots du roy, entre-autres.
ENTRISME OU PIRATERIE ?
Déjà en 2011, PNA a déjà tenté de se faire une place dans l’underground en essayant de faire un concert au squat de la Miroiterie,
en se revendiquant du groupe de grindcore Desecrator qui n’était pas informé du projet,
les membres de Desecrator ne connaissant pas cette association “Pavillon Noir Asso / PNA”.
Les responsables vigilants de la Miroiterie étonnés de la démarche de PNA et du ton de la demande
ont envoyé chier ce projet et de concert ainsi que ces méthodes
et ont alerté l’underground parisien.
PNA s’est fait discret, cherchant des salles qui méconnaissent l’underground, PNA a collaboré avec le cabaret l’Auberge du Cheval Blanc dans le 13e arrondissement de Parsi, jusquà la fermeture de cette salle (avis aux squatteurs) AFFAIRE PNA CONTRE LA MIROITERIE & DESECRATOR
Planifié en tête d’affiche au squat à son insu,
le groupe de grindcore Desecrator
particulièrement sensible à son indépendance et à son autonomie
ainsi qu’investit dans l’anti-racisme,
devait servir de caution morale, ou “d’idiot-utile”,
a directement contacté PNA une seule fois
pour clairement rejeter ce projet malvenu
et exiger a être effacé de toute promotion
et de ne pas être cité ni nommé par PNA
pour se distancer et ne pas être affilié par aucun moyen.
Pour se venger
de s’être fait envoyer chier par la miroiterie
et par le groupe de grind Desecrator,
PNA a prétendu et répandu la rumeur que c’est à cause du groupe de grindcore “capricieux” que le concert n’a pas eu lieu, retournant la faute sur autrui, cachant mal son animosité.
Par la suite, l’un des membres de Desecrator a subit des harcèlements de la part de 3 associés de PNA lors du concert de Alice Cooper au parc des Noues le 10 juin 2011 à Montereau-Fault-Yonne dans le 77.
INTERVIEW DE PESTE NOIRE
Depuis 2011, le principe de précaution de ne pas produire PNA est basé sur l’antiracisme, ne pas cautionner, ni aider à produire ni financer le racisme, sans complaisance, sous aucune forme.
Les responsables de la Miroiterie sont effectivement directement tombés sur un interview de Peste Noire (groupe raciste) ostensiblement réalisé & difusé par PNA dans son optique de “fanzine”.
Digne du meneur,
Ludovic, alias “Famine” de KPN (pour Komando Peste Noire)
l’interview est un long ramassis de propos identitaires,
typiques de l’extrême droite dissidente et anti-système décomplexée, bien de chez nous …
CAPITAINE & PRESIDENT
le fondateur de PNA surnommé “Capitaine”
alias ” Jean LAGARDE” sur FB, tatoué d’un “soleil noir” (“schwarse sonne” symbolique nazi ) sur l’épaule est aussi adepte du geste de la quenelle antisémite chère a Dieudonné.
Barbecue leucoderme, masculin, hétéro et spéciste non-mixte.
mise à jour octobre 2016
appel à rassemblement ouvertement raciste, sexiste, … dans un parc public de la ville de Paris
La Mairie di XVIIe arrondissement de Paris en charge du Parc Monceau a été alertée, puis le secrétariat du maire a alerté les services de police compétents. Une alerte interne a été émise pour rassemblement trouble à l’ordre public sur le serveur interne de la préfecture de police et du ministère de l’Intérieur. Il a été surprenant de voir rapidement circuler sur Facebook une capture d’écran du serveur interne du ministère de l’intérieur publiée par un participant au rassemblement pour renseigner l’organisateur Jean Lagarde que son appel a rassemblement bénéficie d’une fiche de la part des services de police et de renseignements concernés.
Des collectifs féministes ont également dénoncés et alertés au sujet de cet appel à rassemblement puis la page event Facebook a été supprimée par sûrement a cause des signalements ou à la demande des autorités …
1OCT Barbecue leucoderme, masculin, hétéro et spéciste non-mixte.
« Nous luttons contre la leucodermophobie, l’hétérophobie, l’anti-spécisme et la misandrie sauvage d’état ! Allons ensemble rendre publiques les discriminations privées et occultées ! Nous les leucodermes masculins, hétérosexuels et carnistes, toujours divisés, toujours insultés par les innombrables sectes de la tolérance et du pseudo droit des animaux, montrons-nous solidaires, retrouvons-nous pour montrer notre force, notre amour pour la viande, ainsi que notre fierté de posséder une pigmentation claire, d’aimer les personnes du sexe opposé et d’être des hommes ! »
Ce barbecue sera votre espace sécurisant. Ce barbecue sera l’occasion de ne plus subir la domination des minorités, des femmes et de ceux qui jugent nos assiettes. Ce barbecue sera l’auto-émancipation.
Venez nombreux, c’est gluten not free, vous l’avez bien compris !
FAQ de l’évènement :
Exclure les personnes qui ne répondent pas aux critères de sélections, est-ce de la discrimination ? Non, des réunions similaires ont lieu en France sans avoir de problème avec la justice. Pourquoi pas nous ?
Que peut-on rapporter au pique-nique ? Des protéines animales et les accompagnements qui vont avec.
Pourquoi une réunion non-mixte ? Les femmes ont tendance à se poser au centre des discussions et de créer un contexte au débat vaginocentré. Une réunion non mixte permettra aux hommes de s’exprimer sur leurs discriminations du quotidien, discriminations encouragées par l’état matriarcal de la République.
Qui est l’organisateur de l’évènement ? L’union entre le “collectif pour la promotion des viandes chevalines”, “Osez l’hommisme” et “White Lives Matter”.
Appel à rassemblement sous la forme d’un “troll” mais bien idéologisé, les commentaires haineux n’étaient que surenchère xénophobe, sexiste, discriminante, … et laboratoire de commentaires dissidents antisysteme.
Jean Lagarde l’organisateur de cet appel à rassemblement ouvertement raciste, avait déjà créé un evenement-troll pour sa bande, appel a rassemblement pour un combat / duel / freefight / réunion sportive entre deux petites figures nazies locales … montrant les divisions multiples entre les nationalistes dans le metal.