Pride France affiché sur scène par Nicolas Pilven de Lemovice et Front Des Patriotes FDP pendant le feat. avec Aleksey Levkin de M8l8th et KPN @ Asgardsrei 2016

Décembre 2016 Kiev : Nicolas Pilven figure RAC de Lemovice prend soin d’afficher son étendard siglé de la marque fafwear et promotion des rassemblements RAC clandestins autours de combats clandestin de MMA en partenariat avec BHH en Rhones Alpes entre 2014 et 2016 Pride France sur scène pendant l’hymne RAC collectif avec Aleksey Levkin de M8l8th qui produit la soirée sous l’égide de AZOV, et l’orchestre Rac’NSbm Bjorn Vermine, Snorr Le Porc et Florian Denis de Wolfsangel et Lemovice autours de Peste Noire.

En 2017 les RAC n’ MMA seront concentrés en Savoie sous le nom Hardcore Wave

En 2012 le dossier NEO-NAZIS EN LIMOUSIN alertait déjà sur cette prospective skinhead RAC autours de Lemovice et du groupe de “nationalistes autonomes” (comprendre : les skins fafs tendance Serge Ayoub) appelé Front des Patriotes FDP, fondé en 2002 dés la dissolution de Unité Radicale par Sébastien Legentil skinhead promoteur RAC de Bourges, organisateur de RAC avec Fraction (Hexagone) dés 1994, et toujours producteur de leurs produits dérivés en 2024, leader de Wolfsangel – l’orchestre RAC de KPN – , gérant d’une maison de disque RAC qui met en marché des propositions discographique néonazies labellisées Martel en Tête, … FDP autours des militants de Limoges et de Bourges, dont Loic Delboy, responsable en France du réseau néonazi Blood & Honour, et Nicolas Pilven de Lemovice RAC – l’orchestre RAC de KPN.

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Le groupe la bande a participé, en 2011-2013, aux marches parisiennes organisées le deuxième week-end de mai par Serge Ayoub, dirigeants du groupuscule Troisième Voie, auxquels appartenaient les responsables de la mort du jeune antifasciste Clément Méric.

 


2018 : Tomasz figure dans le jeu de carte des “sept familles de l’extrême-droite”

Le fils cadet : surnommé « Gamin », Szkatulski est un skin néonazi qui a fréquenté la LOSC Army (hools faf lillois) et édité des fanzines d’extrême droite. Après un passage en prison pour avoir agressé un SDF en 2008, il lance début 2010 la marque de vêtements Pride France et s’associe avec les  Russes de White Rex dans l’organisation de concerts RAC et de tournois de MMA clandestins.

Peste Noire: À la Chaise-Dyable (Documentary)

Le 17 février 2016, “Anaon productions” propose une vidéo Documentary promotionnelle de Peste Noire, et de son disque éponyme mis en marché sous le titre “À la Chaise-Dyable” avec un hommage à l’activiste völkisch Dominique Venner qui s’est donné la mort par balle dans la cathédrale Notre Dame en mai 2013.


Des séquences de la vidéo promotionnelle sont mises en scènes dans le décor de l’album, à l’adresse connue de la Mesnie Herlequin en Auvergne.

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L’ancien prieuré attenant à l’église

 

D’autres séquences de la vidéo promotionnelle sont tournées ancien prieuré médiéval attenant à la chapelle de Chirat l’Église.

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Façade de l’une des deux petites ailes médiévales avec parements de granit biseauté et porte en arche

Chez Florian “Ardraos” Denis, figure RAC en tant que membre de Lemovice de Limoges et de Wolfsangel autours de Sébastien Legentil skinhead de Bourges, gérant du label RAC Martel en Tête.

Florian Denis est membre officiel de l’orchestre Kommando Peste Noire.

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Cave du prieuré de Chirat-l’Eglise.

 

Interdiction du groupe d’extrême droite Unité Radicale

Reportage. Paris. Point sur l’interdiction du groupe d’extrême droite Unité radicale. Le ministre de l’Intérieur a lancé la procédure d’interdiction du groupe d’extrême droite Unité Radicale (UR), que fréquentait l’auteur de la tentative d’assassinat contre le président Jacques Chirac le 14 juillet 2002.

Commentaire sur images du site internet du parti, en alternance avec des images d’archives et les interviews de Patrick GAUTIER, président de la Ligue Internationale contre le racisme (LICRA), de Fabrice ROBERT, porte-parole d’Unité radicale et de Jean-Yves CAMUS, spécialiste de l’Extrême Droite.
[Source : documentation France 3]

Le ministre de l’Intérieur a lancé la procédure d’interdiction du groupe d’extrême droite Unité Radicale (UR), que fréquentait l’auteur du coup de feu contre le président Jacques Chirac le 14 juillet. Plusieurs associations sont satisfaites de cette décision.
Sur le site internet de ce groupe on peut lire “merci Maxime”. Depuis l’acte isolé de Maxine Brunerie, Unité Radicale profite de l’engouement médiatique pour exprimer ses idées extrémistes.
Pour le groupe, cette dissolution va les obliger à se constituer en mouvement légal.
Environ 1500 militants font parti de ce mouvement.
Les noms de ces groupes ont changé au cours des dissolutions mais l’activisme est resté le même.
PATRCIK GAUTIER “on a ouvert une porte et maintenant il ne faut plus laisser la porte ouverte. Il faut véritablement annihiler cette propagande qui est une honte pour la démocratie qui est la notre”.
FABRICE ROBERT : “nous allons créer une structure qui sera légale, déclarée…dans quelques semaines un nouveau mouvement va réapparaître”

14 Juillet 2002 : tentative manquée d’assassinat sur le président Chirac, lors du défilé militaire sur les Champs-Élysées. dissolution d’Unité Radicale

Maxime Brunerie, étudiant en BTS de comptabilité-gestion, était un militant d’extrême droite néonazi habitué de la tribune du Kop de Boulogne du PSG.
Il avait l’intention d’assassiner Jacques Chirac afin de s’attirer la célébrité (il avait laissé un message sur le forum de Combat 18 « Regardez la télévision dimanche, la star ce sera moi. Mort au ZOG ! 88! ») puis de se suicider. Ces deux tentatives ont échoué.
Maxime Brunerie était proche du groupuscule Unité radicale (dissous à la suite de l’assassinat raté) et était membre du Mouvement national républicain pour le compte duquel il s’était présenté comme candidat aux élections municipales de 2001 (18e arrondissement de Paris).
Maxime Brunerie a été condamné à dix ans de prison après un examen psychiatrique. Il semblerait après analyse qu’il n’ait pas voulu assassiner Jacques Chirac mais rêvait d’une mort glorieuse, en étant abattu par le GIGN. Lors de son procès, il déclara que Jean-Marie Le Pen aurait été une meilleure cible.
Il a été libéré le lundi 3 août 2009, du Centre de détention de Val-de-Reuil (Eure), à l’issue de sept ans de réclusion.
Il donne une interview à Europe 1 en septembre 2009, déclarant avoir « complètement pété les plombs » en 2002 et souhaiter maintenant aller de l’avant.
En 2011, il publie un récit autobiographique intitulé Une vie ordinaire : je voulais tuer Jacques Chirac, et se dit désormais éloigné de tout militantisme politique.

Après l’attentat raté de juillet 2002 contre le Président Jacques Chirac par Maxime Brunerie, membre du MNR et proche de la nouvelle équipe dirigeante d’Unité radicale constituée après le départ de Christian Bouchet, le mouvement fut dissous par décret pour cause d’idéologie raciste et discriminatoire, antisémitisme, encouragement de la discrimination, de la haine et de la violence.
Les cadres et militants d’Unité radicale se dispersèrent, rejoignant le Réseau radical comme Lionel Placet, Hervé Ryssen et Pierre-Marie Le Diberder, ou créant de nouvelles organisations comme le cercle organisé à Toulouse autour du bulletin Rébellion (fondé par Richard Bessière, Olivier Gnutti et Alexandre Faria), le Front des patriotes à Limoges et Bourges (créé par Sébastien Legentil) et le Bloc identitaire (créé par Fabrice Robert, Philippe Vardon, André-Yves Beck, Richard Roudier, José-Marie Santamaria et Guillaume Luyt).

On retrouvera donc une partie des militants d’Unité radicale au sein des listes de la ligue du sud et de la ligue du midi :
Après les européennes de 2009, le MPF rejoint le Comité de liaison de la majorité présidentielle et quelque temps plus tard, le 28 janvier 2010, Jacques Bompard décide de quitter le parti à cause de ce rapprochemement avec l’UMP. Il présente une liste aux élections régionales de 2010 qui s’appelle la « Ligue du Sud » en référence à la Ligue du Nord en Italie. Cette liste regroupe divers groupes nationalistes et d’extrême droite comme le Bloc identitaire, le Parti de la France, le Mouvement national républicain et d’anciens membres du Front national.