REVUE DE PRESSE : 666≠88 Rassemblements Rac'NSbm clandestins. Figures NSBM völkisch. Stratégie métapolitique fasciste à posture apolitique de façade. Musée des horreurs White Power
Défilé néonazi à Dresde le 11 février 2024, 1200 néonazis réunis dans la capitale régionale de la Saxe. Pour motif, le bombardement de la ville, il y a 79 ans. Afin de vous faire une idée de la démonstration, voici quelques premières images. D’autres galeries de portraits suivront.
Neo-Nazi demonstration in Dresden Around 1,200 neo-Nazis gathered in the Saxon state capital today. The background was the bombing of the city 79 years ago. To get an impression of the scenery, here are a few first pictures. Large series of pictures follows.
Neonazi-Demonstration in Dresden Etwa 1200 Neonazis versammelten sich heute in der sächsischen Landeshauptstadt. Hintergrund bildete die Bombardierung der Stadt vor 79 Jahren.
Um einen Eindruck von der Szenerie zu bekommen, hier ein paar erste Bilder. Große Bilderstrecke folgt. pic.twitter.com/OgJVGIEJBp
Plusieurs néo-nazis suisses ont rejoint l’Ukraine afin de combattre aux côtés des forces loyalistes. Parmi eux figure un genevois : Björn Sigvald.
Les premières traces connues du militantisme néo-nazi de Björn Sigvald sont chez les Hammerskins de Romandie [1].
En 2014, il fonde la Misanthropic Division Schweiz, branche suisse du réseau néo-nazi ukrainien Misanthropic Division, proche du mouvement Azov. Le groupe est composé de membres en provenance de Genève, du Valais, du canton de Vaud et de Saint-Gall dont trois soldats : un sergent-major chef, un sergent-chef et un sergent [2]. C’est Björn Sigvald qui assurait la liaison avec l’Ukraine [3]. Les activités du groupe consistaient à relayer et faire la promotion en Suisse des activités de la Misanthropic Division ukrainienne, ainsi qu’à récolter des fonds pour ses soldats au sein du régiment Azov par la vente de t-shirts. Environ 800 francs auraient été collectés [4].
Les membres de Misanthropic Division Schweiz se sont également rendus personnellement à Kiev avec le groupe de black metal néo-nazi français Peste Noire afin de livrer une cargaison de vêtements militaires [5].
Björn Sigvald (deuxième en partant de la droite) avec Ludovic “Van Alst” alias Famine, le chanteur de Peste Noire (au milieu) et Audrey Silvain [Sylvain], ancienne membre de Peste Noire (deuxième en partant de la gauche).
Quelques mois après son voyage à Kiev, Björn Sigvald rejoint la milice néo-nazie ukrainienne Karpatska Sich [6].
Björn Sigvald (en haut à droite, faisant le salut nazi) avec Karpatska Sich en 2017.
Devenu entre-temps le représentant suisse du mouvement Reconquista [7] : une initiative partie d’Ukraine visant à créer un projet néo-nazi pan-européen uni [8], Björn Sigvald organise le 26 septembre 2015 à Lausanne, une conférence sur l’Ukraine dans laquelle fut invité à parler le néo-nazi français Pascal Lassalle, lui-même à l’origine de la branche française de Reconquista [9].
Image promotionnelle de la conférence en question.
Le 28 août 2017 à Kiev, Björn Sigvald prend part à la première conférence Paneuropa, qui réunit des néo-nazis pro-ukrainiens du monde entier [10]. Sur Facebook, la secrétaire internationale du parti néo-nazi ukrainien, et aile politique du mouvement Azov, Corps National et coordinatrice de Reconquista. Olena Semenyaka postera une photo d’elle avec Björn Sigvald à la conférence Paneuropa avec la description suivante : « Si une personne peut déménager de la Suisse vers l’Ukraine, tout est possible. Merci pour tout, Björn ! Nous attendons une équipe suisse à la prochaine conférence Paneuropa. » [11].
La photo en question.
L’emplacement actuel de Björn Sigvald n’est pas connu, la dernière trace de lui sur Internet remontant à 2019, date durant laquelle il a participé à un camp d’été de Karpatska Sich dans l’Ouest de l’Ukraine [12].
Björn Sigvald (à droite) lors d’un camp d’été de de Karpatska Sich en 2019 avec le terroriste néo-nazi Igor Olegovich Garkavenko (à gauche), ayant passé 9 ans en prison pour avoir bombardé les bureaux de plusieurs organisations politiques et culturelles ukrainiennes ainsi que le centre culturel israélien de la ville de Kharkov.
Si Björn Sigvald est de retour en Suisse, il constitue l’un des néo-nazis les plus dangereux du pays.
Mein Kampf et alcool ne font pas bon ménage. À Besançon, le petit milieu néonazi investit de nouveau les bars, entraînant nuisances et violences. Affichant sans détour leurs opinions haineuses, ses membres jouent des coudes et des poings pour s’imposer, ce qui rappelle la vague d’agressions des années 2012-2013 dans la ville. Certains sont bien identifiés et étaient déjà là à cette époque, beaucoup sont passés par la Légion étrangère et partagent le goût des armes. Une vidéo montre aussi des militants d’extrême droite s’entrainer au combat dans la forêt.
Vendredi 29 novembre, au Shake Pint (anciennement Carpe Diem) place Jean Gigoux dans le quartier Rivotte. Il est 23h30 passées. Grégoire consomme une bière et remarque un groupe qui « détonne et se détache ». Une demi-douzaine d’individus, crânes rasés et look bonehead, sont attablés là. Sans raison apparente, l’un d’eux lance un verre en direction de plusieurs jeunes femmes présentes un peu plus loin.
Elles se sont alors levées, exigeant des explications. Grégoire assiste à un échange surréaliste. « Comment vous appelez-vous ? » demande l’une d’elles. « Moi, c’est Sanglier » répond assurément un quarantenaire de la bande. Un pseudonyme bien connu dans le milieu de l’extrême droite radicale et identitaire, nous y reviendrons. « Et qu’est-ce que tu fais dans la vie ? » « Moi, je suis néonazi ! » La réponse ne convainc guère l’interlocutrice qui réplique : « ce n’est pas un métier, dis plutôt que t’es au RSA. » Un serveur intervient pour éviter la surenchère devant la tension qui montait.
Une autre témoin ayant assisté à la scène raconte : « Ces fachos semblent bien connus par ici, et tout le monde en a tellement peur que personne ne dit rien. » Le responsable du Shake Pint n’a donné aucune suite à nos multiples sollicitations. Il publiera une annonce sur Facebook le lendemain des faits, « condamnant fermement et s’excusant » pour ce qu’il juge être un « incident. » Sanglier n’a pas non plus souhaité répondre à nos sollicitations.
Un regroupement autour de Sanglier ?
Après un retour remarqué dans la capitale comtoise au printemps 2018, le « chef », Sébastien F. dit Sanglier, a dû se mettre quelque temps au vert. Ancien légionnaire, il a été mis en examen et incarcéré le jeudi 17 janvier 2019, accusé d’avoir pris part au saccage de l’Arc de Triomphe à Paris le 1er décembre 2018 dans le cadre du mouvement des « Gilets jaunes ». Il a été blanchi de ces accusations, mais le parquet de Besançon avait ouvert une enquête après la découverte à son domicile de plusieurs fusils, dont un à pompe, des machettes, baïonnettes, poignards et poings américains cloutés. Il y avait aussi un portrait et une photo d’Hitler, des drapeaux nazis et du GUD, une carte de membre de Troisième voie. Libéré courant mai, il avait jusqu’alors fait profil bas.
Depuis la rentrée, d’autres faits sont à signaler. Aldo, assistant d’éducation encarté à gauche, raconte une altercation le 7 novembre au soir. Sortant d’un restaurant, il s’arrête pour saluer une vieille connaissance au Pub de l’Étoile, au bout de la Grande rue, un certain Alexandre M., visiblement alcoolisé et en compagnie de plusieurs personnes affichant leurs sensibilités sur leurs écussons. Le ton monte quand la nature « antifasciste » d’Aldo est révélée par Alexandre M. qui exige « qu’il ne soit pas touché ». L’histoire en restera là. Malgré les apparences, l’épisode n’est pas anodin.
Originaire de Haute-Saône, l’engagement d’Alexandre M. n’a cessé de croître depuis son arrivée il y’a un an dans la ville. Réputé « bavard », l’intéressé a évoqué devant témoins le regroupement des différentes forces « nationalistes » du secteur autour de « Sanglier ». D’après lui plusieurs faits d’armes ont d’ailleurs été commis afin de gagner la confiance du « chef », notamment le saccage de véhicules de supporters algériens lors de la célébration de la victoire de l’équipe algérienne de football à la CAN, ainsi que des tests d’aptitude au combat avec les « Zouaves » de Paris dont il exhibait des vidéos. Se fixeraient-ils un territoire à contrôler ?
Des runes et des soleils noirs
Deux jours après cette rencontre, samedi 9 novembre, trois individus remontent de la cave du Titty Twister dans le quartier Battant en scandant des chants vantant « la France éternelle ». Plusieurs habitués du bar engagent alors la conversation pour en savoir plus. Outre les références musicales, ceux-ci arborent des runes, des « soleils noirs », et un patch du groupe NSBM « Komando Peste noire », cousus sur leurs vêtements. Les clients s’en sont moqués sans agressivité.
L’une des cibles de ces sarcasmes, décrit comme « grand et crâne rasé », s’énerve et invite alors son interlocuteur à « régler cela dehors à un contre un ». C’est « dans un square annexe et à la loyale » que le conflit s’engage. Après un premier coup donné par le « patriote », celui-ci est rapidement corrigé. Une débandade qui provoque la réaction d’un de ses deux amis qui tente un coup par derrière en hurlant « on est du GUD » avant d’être lui aussi maîtrisé.
L’algarade s’arrête là. Y’a-t-il un lien avec le groupe de Sanglier ? Difficile à dire. D’après certains observateurs présents, ces fêtards d’extrême-droite semblent isolés et pourraient être originaires d’en dehors de la cité, voire de la région. Sly’, le propriétaire du bar, a déjà dû faire face à des néonazis. « Sanglier et les siens passaient du temps ici peu après l’ouverture en décembre 2008. Je les ai retrouvés, debout sur les tables, à gueuler des chants nazis et à faire des Sieg heil. J’ai décidé de les bannir, malgré les intimidations qu’ils continuent à faire les rares fois où il passe dans le coin. Pendant des années, j’ai dû gérer cette réputation pourrie. »
« Ils se sont acharnés sur lui, le gars était en sang »
En janvier dernier, c’est devant le Madigans sur la place du Huit-septembre qu’une agression violente avait été perpétrée. Quatre amis en train de prendre un verre voient un homme, décrit comme militaire et probablement antillais, se faire tabasser vers l’Église Saint-Pierre par une dizaine d’individus précédemment attablés un peu plus loin.
Alice, encore choquée, se remémore. « On n’a pas vu les tenants et aboutissants initiaux de cette rixe. Ce que je sais, c’est qu’ils se sont acharnés sur lui. Le gars était en sang, et eux paradaient triomphalement. J’étais scandalisée. Je leur ai hurlé qu’ils n’étaient que des lâches ». Alors qu’insultes et menaces commencent à pleuvoir, le quatuor préfère se mettre à l’abri en gagnant l’intérieur du commerce. « En souhaitant ressortir peu après, les choses se sont emballées sans même avoir le temps de comprendre et de réagir ».
Alice poursuit : « L’un d’entre eux m’a violemment poussée contre une des tables. Un de mes amis, essayant de s’interposer, a alors été secoué et a pris des coups, sans gravité. Mes deux autres compères ont réussi à nous extraire pour nous remettre en sécurité, alors que les filles du groupe adverse ont sorti des bombes lacrymogènes. Heureusement, nous avons finalement pu partir sans autres dommages ». Si aucune personnalité du milieu n’a pu être formellement reconnue, il n’y a pas de doute qu’il s’agissait de militants d’extrême droite avec « leurs look, crânes rasés, bombers, et tatouages, leur façon de procéder, violente et organisée, et le fait qu’eux-mêmes se revendiquaient comme « nationalistes ».
Ces méfaits sont à ajouter à la longue liste des agressions menées par des militants d’extrême droite ces derniers temps, au sein de l’Université de Strasbourg le 12 décembre et dans plusieurs bars du Mans le samedi 14 décembre. Dans la nébuleuse néonazie locale, beaucoup sont passés par la Légion, ils ont en commun l’armée, la violence, le goût des armes et un ultranationalisme assumé. Comme l’attestent de nombreux documents, Philippe T. a par exemple brièvement rejoint le Dombass au sein du régiment Azov, une unité paramilitaire de volontaires d’extrême droite ukrainienne qui a combattu l’insurrection armée pro-russe jusqu’en 2014. Tout récemment, les acolytes se sont filmés dans la campagne autour de Besançon lors d’entraînements collectifs à la baston. À quelles fins ?
Ce week-end, la région lyonnaise va accueillir un concert de black metal néonazi.
Ce samedi 28 janvier, à proximité de Lyon, on attend plus de 400 personnes en provenance des quatre coins de la France pour un concert de la scène National Socialist Black Metal (NSBM).
Sur la page Facebook de l’événement intitulé « Call of terror », les organisateurs restent évasifs et parlent de la « région lyonnaise ». Comme souvent en la matière, ils indiqueront au dernier moment aux participants l’endroit exact où il leur faudra se rendre.
Et les forces de l’ordre disent ne connaître, elles aussi, qu’au dernier moment le lieu précis du rassemblement. C’est ce qui c’était produit pour les tournois de free-fight ou les autres concerts organisés par la mouvance Blood and Honour, qui est encore à la manœuvre pour cette date du 28 janvier.
Blood and Honour : des organisateurs néonazis accueillis par le GUD
A Lyon, nous connaissons bien Blood and Honour, qui tire son nom de la devise des Jeunesses hitlériennes.
Ils organisent essentiellement des concerts de groupes de RAC (Rock Against Communisme). Et aujourd’hui ils s’ouvrent donc à un autre type de musique : le National Socialist Black Metal (NSBM).
Mais très marqué et très suivi par la police, Blood and Honour a, une fois de plus, pris un autre nom, pour cet événement, qui est officiellement organisé par « Call of Terror ».
Les membres lyonnais de Blood and Honour avaient créé un local à Gerland, le « Bunker Korps Lyon » fermé en mai 2011 sur décision de la Ville de Lyon. Sa philosophie pourrait se résumer à « bière, foot et baston », sans rechigner aux bras tendus.
C’est d’ailleurs dans le local du GUD dans le centre de Lyon que deux des quatre groupes ont prévu, ce dimanche, de « rencontrer » leurs fans.
Ouvert fin septembre, « le Pavillon noir » est un lieu dont l’adresse est, elle-aussi, tenue secrète.
Des références explicites au nazisme
Quatre groupes vont se succéder pour ce concert : les Français de Baise Ma Hâche et Peste noire (qu’on pourra retrouver chez le GUD le lendemain), les Finlandais de Goatmoon et les Polonais de Dark Fury.
Concernant les deux groupes hexagonaux, un post de La Horde apporte des éléments pour Peste Noire. On apprend notamment que sa création en 2001 a été associée à une démo intitulée « Aryan Supremacy ».
Son nom ferait référence à la peste bubonique qui décima la population européenne entre 1347 et 1352, et qui donna lieu à de nombreux pogroms anti-juifs. Sur des photos, on voit le leader du groupe, « Famine » faire un salut nazi avec les ultra-nationalistes ukrainiens de Secteur Droit et du régiment Asov, accompagnés des Suisses de la Misanthropic Division.
Baise Ma Hache fait explicitement référence au nazisme ainsi qu’à l’extrême droite française.
Dans un dossier diffusé en juin 2015, à l’occasion d’un concert à Saint-Etienne, des antifascistes stéphanois avait diffusé un dossier sur ce groupe. Le concert avait été annulé par les organisateurs.
Outre un logo qui utilise les symboles des jeunesses hitlériennes (la hache et l’os), Baise Ma Hache reprend intégralement un poème de Robert Brasillach dans une de ses chansons, et c’est sans compter l’hommage fait à Dominique Venner, une autre figure de l’extrême droite radicale.
Demande d’interdiction et appel à la vigilance
Dans un communiqué de presse diffusé ce vendredi, l’association « Agir pour l’égalité », demande l’interdiction de ce type de rassemblement néonazi :
« Après le Ragnard Rock Fest – organisé dans l’Ain l’année dernière avec l’autorisation de la Préfecture alors même que plusieurs groupes appelant ouvertement à la haine raciale étaient programmés – la région Rhône-Alpes serait-elle devenue la nouvelle terre d’accueil des néonazis ? »
L’association a également envoyé un mail à toutes les mairies de la Métropole de Lyon, du Rhône et du Nord Isère pour leur demander d’être vigilantes :
« Agir pour l’égalité appelle les maires des communes à la plus grande vigilance face à la possibilité d’un rassemblement politique néonazi sur leur commune. Nous les invitons à vérifier l’authenticité des réservations faites dans les salles communales et à prendre les mesures nécessaires pour protéger leurs administrés de potentiels dégradations, insultes et actes de violences physiques ».
Généralement, les salles municipales sont en effet réservées pour un simple anniversaire. Ce fut encore le cas pour le dernier concert connu Blood and Honour, il y a un an dans la petite commune iséroise de Torchefelon.
> Mise à jour du 4 février : Le concert s’est finalement déroulé dans la salle des fêtes de la commune de Saint-Genix-sur-Guiers, à 80 km de Lyon, à limite de l’Isère et de la Savoie. Selon divers témoignages, plus de 400 personnes y ont assisté. Le maire de la commune reconnaissait dans les colonnes du Dauphiné s’être fait « grugé » puisque la soirée a été réservée « pour une réunion de motards ».
La stratégie métapolitique NSBM de AZOV est cultivée autours de Aleksey Levkin de M8l8th. C’est vers lui que converge la prospective Rac’Nsbm Misanthropic Division autours de Bjorn Sigvald, membre suisse du gang skinhead territorial et international Hammerskin.
Le KPN – Kommando Peste Noire – Bjorn Sigvald, Baise Ma Hache et Peste Noire = Lemovice = Wolfangel – en affiche les couleurs de gang : sur les maillots et sur les bannières territoriales siglées de symboles de haine exhibés sur leurs photos promotionnelles; d’autant que ce sont aussi des fans qui affichent leurs maillots aux couleurs de M8l8th.
AZOV et le KPN convergent à Lausanne en Suisse pour une conférence organisée par Bjorn, puis à Rungis en novembre 2015 autours d’une Convention internationale et concert RAC avec le GUD, Casa pound, Aube dorée, … entre autres.
En juillet 2016, le Pagan Front, les figures NSBM d’Aube Dorée ukrainiennes de AZOV – accompagnés de 40 ukrainiens affiliés AZOV, Wotanjugend, sous couverture “village médiéval viking” – dominent le rassemblement métapolitique de musique apolitéïque à vitrine folklorique viking “Ragnard Rock Fest” sous une bannière rune d’odal géante et malgré les multiples alertes de fans de musique, articles presse et demandes de la part des associations antiracistes.
Fiché S les individus membres du KPN finiront même jusqu’à se rendre en Ukraine à de multiples reprises dés décembre 2016, malgré les contraintes imposées par les contrôles des Services de Renseignement. AZOV via Aleksey Levkin promoteur NSBM capitalise énormément sur le KPN et les figures NSBM françaises pour développer sa stratégie métapolitique fasciste :
– Asgardrei à kiev : rassemblement NSBM international avec conférences métapolitiques et convergences de militants violents en tant que combattants d’un tournoi de MMA.
– Militant Zone, shop NSBM (détruit par l’assaut russe) et vitrine internationale.
– Production de Peste Noire : disques, vidéos, produits-dérivés, concerts, enregistrements, …
Après l’agression d’Anthony et l’inauguration de Bastion Social du GUD à Clermont, Famine sera bien réfugié deux ans chez AZOV pour fuir la justice française de 2018 à 2020.
Pendant ce temps, prends forme la nouvelle prospective hooligan-identitaire Ouest Casual de AZOV qui émerge autours des Zouaves Paris en affichant aussi son florilège de bannières territoriales haineuse et Marc De Caqueray Valmenier se rendra aussi à Kiev, aussi à Asgardrei pour y afficher une banniere GUD, y poser avec Olena Semnyaka, y afficher maillot aux couleurs de M8l8th, …
La prospective Rac’Nsbm Misanthropic Division de AZOV
et la prospective hooligan-identitaire Ouest Casual de Azov
partagent
– la division en crews locaux
– affichage des couleurs pro-azov
– affichage de bannières territoriales siglées de symboles de haine comme les couleurs de gangs territoriaux
– la prégnance de membres impliqués dans la culture RAC, hooliganisme et sports de combat, des gangs skinhead internationaux a vitrine folklorique.
Misanthropic Division : Prospective NSBM de AZOV autours du Hammerskin suisse “Bjorn Sigvald”
En 2015, le collectif d’information antiraciste stéphanois met en lumière Misanthropic Division, une prospective NSBM de AZOV autours d’un Hammerskin Suisse, dont est membre Baise Ma Hache.
Qu’est-ce que la Misanthropic Division?
Sur son site Internet, disponible en neuf langues, la Misanthropic Division se décrit comme un groupe paramilitaire, racialiste et national-socialiste qui a fait son apparition pendant la révolution du Maïdan, fin 2013. Elle est issue de l’Assemblée sociale-nationale regroupant ultranationalistes et néonazis. Le site précise: «Notre principal ennemi actuellement est la Russie mafieuse et néo-soviétique. Contre l’émergence de cette nouvelle forme de communisme moderne, tous les moyens sont bons.» Son chef, dans une interview au Telegraph, a même déclaré: «Notre mission historique est de conduire la race blanche à une croisade pour sa survie.» Aujourd’hui, la Misanthropic Division est engagée dans le bataillon composé de volontaires d’extrême droite Azov. Ce dernier avait été dénoncé par Amnesty International en août, pour mauvais traitements, extorsions, vols, détentions illégales et de possibles exécutions.
Les mouvements militants de la droite ukrainienne exploitent dès le début du conflit leurs contacts internationaux, afin d’y trouver du soutien pour leur cause. C’est dans ce but qu’ils ont fondé des organisations de soutien, qui contribuent à leur combat avec des ressources financières, politiques et militaires. Une des organisations les plus importantes, la « Misanthropic division » a des sections dans plusieurs pays d’Europe de l’Ouest ainsi qu’en Amérique du Nord. Elle joue en rôle majeur dans le recrutement de combattants à l’étranger [5].
Selon des recherches de Belltower.News, la division Misanthropic recrute des membres de la scène nationale socialiste de black metal. On trouvera ci-après le néo-nazi Hendrik Möbus, condamné pour meurtre, entre autre, Alexey Levkin, meurtrier raciste jugé irresponsable, libéré de l’asile, russe félon réfugié en Unkraine chez AZOV, chanteur du groupe M8l8th et organisateur du festival NSBM Asgardsrei, et Famine, chanteur du groupe de black metal français Peste Noire, qui a été condamné pour meurtre agression. Il existe d’autres liens avec le Mouvement international ainsi qu’au parti d’extrême droite Der III. Voie.[31] La devise de la frénésie de la misanthropie remonte à un album du groupe Branikald, qui, comme M8l8th, vient de la scène russe NSBM.[32
En Suisse romande, une section locale de « Micanthropic Division » (MDS) [6] a déjà été créée au printemps 2014. « Björn Sigvald » est le dirigeant présumé de ce groupement, un néonazi fan de sport de combat depuis sa jeunesse, qui est connu à ce jour seulement sous ce pseudonyme. Björn Vita sert d’exemple du développement des membres de « Misanthropic Division ». À partir de son obsession pour les combats et ses contacts informels en Ukraine, se sont développés des réseaux personnels qui ont finalement débouché sur une participation active sur place.
Björn, le networker
« Björn Sigvald » est actif dans les mouvements d’extrême droite depuis environ dix ans et entretient de nombreux contacts internationaux à différents niveaux de la scène. Il a noué les premiers contacts importants par le biais des Hammerskins suisses. En 2011 il a été admis dans le « Hang-Around-Status » des Hammerskins Romandie [7]. À cette époque et les années qui suivent, il a assisté avec Joël « Pouppi » Moret et d’autres Hammerskins à des concerts et des manifestations de ce mouvement aux frontières de la Suisse et a fait de nouvelles connaissances [8]. Il a notamment rencontré Tomasz Skatulsky, organisateur de combats du milieu d’extrême droite et propriétaire de la marque Pride France [9].
Les premières traces connues du militantisme néo-nazi de Björn Sigvald sont chez les Hammerskins de Romandie [1]. En 2014, il fonde la Misanthropic Division Schweiz, branche suisse du réseau néo-nazi ukrainien Misanthropic Division, proche du mouvement Azov. Le groupe est composé de membres en provenance de Genève, du Valais, du canton de Vaud et de Saint-Gall dont trois soldats : un sergent-major chef, un sergent-chef et un sergent [2]. C’est Björn Sigvald qui assurait la liaison avec l’Ukraine [3]. Les activités du groupe consistaient à relayer et faire la promotion en Suisse des activités de la Misanthropic Division ukrainienne, ainsi qu’à récolter des fonds pour ses soldats au sein du régiment Azov par la vente de t-shirts. Environ 800 francs auraient été collectés [4].
Les membres de Misanthropic Division Schweiz se sont également rendus personnellement à Kiev avec le groupe de black metal néo-nazi français Peste Noire afin de livrer une cargaison de vêtements militaires [5].
Quelques mois après son voyage à Kiev, Björn Sigvald rejoint la milice néo-nazie ukrainienne Karpatska Sich [6].
Devenu entre-temps le représentant suisse du mouvement Reconquista [7] : une initiative partie d’Ukraine visant à créer un projet néo-nazi pan-européen uni [8], Björn Sigvald organise le 26 septembre 2015 à Lausanne, une conférence sur l’Ukraine dans laquelle fut invité à parler le néo-nazi français Pascal Lassalle, lui-même à l’origine de la branche française de Reconquista [9].
Le 28 août 2017 à Kiev, Björn Sigvald prend part à la première conférence Paneuropa, qui réunit des néo-nazis pro-ukrainiens du monde entier [10]. Sur Facebook, la secrétaire internationale du parti néo-nazi ukrainien, et aile politique du mouvement Azov, Corps National et coordinatrice de Reconquista. Olena Semenyaka postera une photo d’elle avec Björn Sigvald à la conférence Paneuropa avec la description suivante : « Si une personne peut déménager de la Suisse vers l’Ukraine, tout est possible. Merci pour tout, Björn ! Nous attendons une équipe suisse à la prochaine conférence Paneuropa. » [11].
Björn Sigvald (à droite) lors d’un camp d’été de de Karpatska Sich en 2019 avec le terroriste néo-nazi Igor Olegovich Garkavenko (à gauche), ayant passé 9 ans en prison pour avoir bombardé les bureaux de plusieurs organisations politiques et culturelles ukrainiennes ainsi que le centre culturel israélien de la ville de Kharkov.
24 juillet 2014 : KPN affiché à la Pride : Here you can watch some video excerpts of a KPN supporter/friend who won his fight at the “MMA BH Hexagone/Pride France” boxing event in June 2014. He entered the ring to the music of PESTE NOIRE’s « La Bêche Et L’épée Contre L’Usurier ». Video of his fight later. Thanks to you Brother.
Björn » Sigvald un néonazi Suisse qui partage aussi son temps entre l’Ukraine et la Suisse et s’est fait tatouer le nom du groupe K.P.N. sur son ventre.
Les premières traces connues du militantisme néo-nazi de Björn Sigvald sont chez les Hammerskins de Romandie [1].
Björn Sigvald (à droite), vraisemblablement en 2013,
avec le Hammerskin valaisan Joël Moret (à gauche)
(source : Indymedia Deutschschweiz).
En 2014, il fonde la Misanthropic Division Schweiz, branche suisse du réseau néo-nazi ukrainien Misanthropic Division, proche du mouvement Azov. Le groupe est composé de membres en provenance de Genève, du Valais, du canton de Vaud et de Saint-Gall dont trois soldats : un sergent-major chef, un sergent-chef et un sergent [2].
C’est Björn Sigvald qui assurait la liaison avec l’Ukraine [3]. Les activités du groupe consistaient à relayer et faire la promotion en Suisse des activités de la Misanthropic Division ukrainienne, ainsi qu’à récolter des fonds pour ses soldats au sein du régiment Azov par la vente de t-shirts. Environ 800 francs suisses auraient été collectés [4].
De la nourriture et des vêtements militaires
envoyés par la Misanthropic Division Schweiz aux soldats en Ukraine
(source : Le Temps).
2015
2015 – banniere MD frankreich et banniere md Baise Ma Hache
(source : Saint-étienne antifa)
Bannière Misanthropic Division Schweiz
Mise-en-marché des maillots aux couleurs Misanthropic Division de AZOV
Bjorn Sigvald à droite, sous la Bannière Pride France,
“Peste Noire, et surtout le chanteur Famine, délivrent avec leur musique une bande-son pour les meurtres commis par les fascistes ukrainiens, partagent les vues de la Misanthropic Division, soutiennent le Régiment ASOV et sont cohérents avec leur antisémitisme.” traduit de l’allemand source : https://linksunten.indymedia.org/fr/node/187861
AZOV à Lausanne
Devenu entre-temps le représentant suisse du mouvement Reconquista [7] : une initiative partie d’Ukraine visant à créer un projet néo-nazi pan-européen uni [8], Björn Sigvald organise le 26 septembre 2015 à Lausanne, une conférence sur l’Ukraine dans laquelle fut invité à parler le néo-nazi français Pascal Lassalle, lui-même à l’origine de la branche française de Reconquista [9].
Novembre 2015 – Convention du GUD à RUNGIS avec AZOV
14 novembre 2015 – Rungis – Convention du GUD
Famine de Peste Noire affiche les couleurs M8l8th pour la photo-souvenir.
Steve Bissuel du GUD porte un maillot rouge. AZOV est également représenté.
Les membres de Misanthropic Division Schweiz se sont également rendus personnellement à Kiev avec le groupe de black metal néo-nazi français Peste Noire afin de livrer une cargaison de vêtements militaires [5].
Levkin & Famine à la veille d’ASGARDSREI 2017 dans l’emblématique Militant Store désormais détruit par la guerre
Kiev 2016 – Kommando Peste Noire Feat. M8l8th et Lemovice avec Aleksey Levkin de AZOV, en survet’ blanc Kery James Ludovic “Famine” Faure”, Nico Lemovice, Bjorn Vermine, … @ Asgardsrei, le plus gros rassemblent Rac’NSbm
Un œil dépasse derrière l’épaule. Le maillot aux couleurs BMH.
Le vocaliste du groupe M8l8Th, Alexei Levkin, est une personnalité dirigeante d’Azov et leader du mouvement de jeunesse néonazie « Wotan Jugend » et ses satellites.
Janvier 2017 : Call of Terror Rassemblement NSBM clandestin
GUD fait promotion NSBM à Lyon :
Rassemblement métapolitique autours du KPN de Peste Noire et de BMH de Savoie.
Quelques mois après son voyage à Kiev, Björn Sigvald rejoint la milice néo-nazie ukrainienne Karpatska Sich [6].
Björn Sigvald (en haut à droite, faisant le salut nazi) avec Karpatska Sich en 2017.
Réunion européenne autours de AZOV à Kiev
Levkin de M8l8th, félon russe réfugié chez AZOV, meurtrier et figure clé de la promotion NSBM
Björn et Semenyaka à la conférence paneuropéenne en avril 2017
« Björn » a ainsi participé à une conférence paneuropéenne en 2017 et entretient différents contacts avec des défenseurs de l’idée paneuropéenne, en particulier avec Olena Semenyaka
Le 28 août 2017 à Kiev, Björn Sigvald prend part à la première conférence Paneuropa, qui réunit des néo-nazis pro-ukrainiens du monde entier [10]. Sur Facebook, la secrétaire internationale du parti néo-nazi ukrainien, et aile politique du mouvement Azov, Corps National et coordinatrice de Reconquista. Olena Semenyaka postera une photo d’elle avec Björn Sigvald à la conférence Paneuropa avec la description suivante : « Si une personne peut déménager de la Suisse vers l’Ukraine, tout est possible. Merci pour tout, Björn ! Nous attendons une équipe suisse à la prochaine conférence Paneuropa. » [11].
Steven Bissuel GUD alongside National Corps’ international secretary Olena Semenyaka at the 1st “Paneuropa” Conference in Kyiv, April 2017
Quelques jours après passage de Steve Bissuel à Kiev, GUD devient Bastion Social.
FTP et Bissuel du Bastion Social du GUD se tripotent les avant-bras en 2017.
kpn à kiev II
Levkin, Bilietsky AZOV en chef // Hendrik Mobus (meurtrier et figure NSBM) Olena Semenyaka de AZOV, et Aleksey Lekin (Meurtrier et figure NSBM)
Levkin développe Militant Zone pour promouvoir ses productions NSBM, et réalise le vidéo-clip de Peste Noire
2018
Le 12 juillet 2018 Anthony se fait fracturer la mâchoire dans un bar par Famine de son vrai nom Ludovic Faure qui pensait taper sur un antifa, le local du Bastion Social doit être inauguré dans les prochains jours.
Inauguration Bastion Social Clermont :
maillot Defend Gaza Marc “Hassin”
Famine casquette M8l8Th.
Tristan Arnaud et Ludovic Faure “Famine” de Peste Noire,
lors de l’inauguration du local BS à Clermont-Ferrand en juillet 2018.
Famine participe à la constitution du Bastion Social Clermont et se fait remarquer suite à l’agression sur Anthony, il se réfugie en Ukraine pendant deux ans chez AZOV.
Famine donne une interview dans le numéro 2 du magazine néofasciste Zentropa mag où il explique ses positions politiques. La peste noire est pour Famine un moyen naturel, écofasciste pour nettoyer le monde contemporain de ses excès et de sa surpopulation.
Graffiti des Zouaves Paris lors de la facheuse manifestation des “gilets jaunes” infiltrée par le white-bloc Ouest Casual en décembre 2018
Décembre 2018 – Peste Noire s’affiche en Gilet-Jaune
pour interpréter un hymne du Rock Identitaire Français, à Kiev
KPN à Asgardrei pour la 3e année consécutive, Peste Noire est encore une fois à l’affiche Asgardsrei en décembre 2018, le plus grand rassemblement NSBM qui a lieu en Ukraine à l’initiative de AZOV.
Ludovic Faure séjourne en Ukraine où il fréquente les néonazis du Bataillon Azov et fait ses petites affaires avec Militant Zone le site de vente par correspondance de Tee-shirt ou disques de la scène National Socialist Black Métal géré par AZOV.
2.d.g. Levkin, Ludovic Faure, Björn en Kiew
Björn, Levkin et Faure « Militant Zone-Store », magasin de vêtements NSBM de AZOV au centre de Kiev.
gud en sommeil ?
gud affiché à asgardsrei par ouest casual
Sur celle-ci, on peut voir que la personne qui porte le drapeau du GUD sur ses épaules (la forme blanche au centre) effectue elle aussi des saluts hitlériens lors du passage du groupe français "Baise Ma Hache". (vidéo originale : https://t.co/0X0IvV6Bl7) pic.twitter.com/AEU10Fodp2
Premièrement, sur cette autre photo du championnat de kick-boxing, on voit Marc "Hassin" tenant le drapeau du GUD, le même brandit lors du festival. pic.twitter.com/nyMeyqDxmg
Depuis des militants d’extrême-droite refont parler d’eux ces derniers temps, pour suivre les agissements de l’extrême-droite à Clermont-Ferrand il est préférable d’aller sur le site médiacoop.fr.
L’emplacement actuel de Björn Sigvald n’est pas connu, la dernière trace de lui sur Internet remontant à 2019, date durant laquelle il a participé à un camp d’été de Karpatska Sich dans l’Ouest de l’Ukraine [12].
2023
RAC turbonazi à Simone Veil
Ouest Casual est au centre
de la promotion du rassemblement autours de la musique faf
Fafleaks streetpress
affichage bannière azov, banniére gud, sur scène
+ fraction salut de kunen
+ tanguy jean eudes gannat FTP Alvarium
+ Fabrice Robert de la Soupe au Cochon Unité Radicale Bloc Identitaire …ETC.
c9m 2023 @ espace simone veil de st-cyr l’école militaire
BSK VDL OUEST CASUAL AZOV
[5/10] Selon plusieurs témoins directs, l’auteur principal de ces actes se nomme Nicolas Bidoli. Passé par le « Front Comtois » et les JNR de Serge Ayoub, cet adepte prolifique de la scène NSBM s’était déjà illustré pour son amour des ratonnades et des soleils noirs. pic.twitter.com/HejGV94K6W
— Toufik-de-Planoise (@Toufik2Planoise) May 20, 2023
NSBM CASUAL
ou Rac’NSbm ?
En décembre 2023, le visuel promotionnel de la cinquième édition du rassemblement clandestin autours de figures RAC et NSBM intitulé Call of Terror ainsi que la proposition “- Graveland 🇵🇱 – SPQR 🇮🇹 – Kataxu 🇵🇱 – Leibwächter 🏴☠️“
sont affiché par le canal Telegram Ouest Casual.
Famine s’affiche avec Björn Sigvald, Hammer Skins en portant les couleurs AZOV et la bannière Misanthropic Division, pendant un salut le bras levé et tendu bien droit au milieu de ses 4 autres compagnons lors de la pose pour la photo revendicative.