Christophe Lindeneher, 28 ans, jeune passionné de black metal de Rambouillet (Yvelines), meurt d’un coup de couteau lors du rituel völkisch du solstice 2009

un fait divers survenu dans la nuit de samedi à dimanche dernier dans la Sarthe. La bannière Terre & Peuple d’Ile-de-France y organisait en effet son solstice d’été sous la houlette de Laurent Leclercq, militant identitaire sur Dreux. Il semble qu’une altercation ait éclaté entre l’organisateur et de jeunes participants et que Laurent Leclercq, sans doute humilié par l’un d’entre eux, soit parti chercher un couteau de chasse et soit revenu poignarder le fautif qui est mort sur le coup. Cette altercation ne nous surprend guère tant ce type de « fête » supposée identitaire est généralement l’occasion de se défouler pour les participants, qui en profitent pour s’enivrer et communier dans la nostalgie nazie. Le coup de sang de Laurent Leclercq ne vient donc que mener ce type de manifestation à son aboutissement tant le rassemblement de sociopathes peut difficilement donner autre chose.https://reflexes.samizdat.net/wp-content/uploads/2014/11/bandeauREFLEXes.jpg

Laurent Leclercq, responsable de l’organisation, s’était montré agressif avec la victime à qui il reprochait d’écouter de la musique trop fort et de ne pas être un vrai “païen”.

https://fr.metapedia.org/m/images/f/ff/Christophelindeneher.jpgChristophe Lindeneher, un habitant de Rambouillet, a été trouvé la mort, ce week-end, lors d’une fête identitaire dans la Sarthe. Son meurtrier présumé a été mis en examen hier. Agé de 28 ans et père d’un petit garçon de 2 ans, Christophe participait à la fête du solstice d’été à Saint-Denis-des-Coudrais, dans la Sarthe. Ce rassemblement était organisé par l’association de la droite identitaire Terre et Peuple, dont la majeure partie des adhérents sont originaires des Yvelines. Christophe Lindeneher en était d’ailleurs l’un des membres.

Les faits se sont déroulés entre 5 heures et 6 heures du matin, dans la nuit de samedi à dimanche. Christophe se trouve au milieu du campement où dorment les fêtards. Lui continue à faire du bruit et à passer de la musique. Ce qui irrite Laurent Leclercq, l’organisateur de la manifestation. Cet homme de 38 ans a été, jusqu’à l’an dernier, conseiller municipal à Dreux (Eure-et-Loir), d’abord sous l’étiquette Front national, puis MNR et, enfin, « élu identitaire ».

Le ton monte. L’ancien conseiller municipal plante un couteau de chasse dans le dos de Christophe. Blessé au thorax, le père de famille décédera des suites de ses blessures, bien que l’auteur du coup de couteau ait appelé les secours. Placé en garde à vue, Laurent Leclercq reconnaît les faits. Mais il dit avoir agi en légitime défense.

Laurent Leclercq, ex-conseiller municipal MNR de Dreux (Eure-et-Loir), est le « chef de bannière » de l’antenne régionale de cette association inscrite dans la mouvance « identitaire » mais qui se réclame essentiellement culturelle.

Tué parce qu’il faisait du bruit

Ultradroite : un mort lors d’un solstice qui tourne mal

« Christophe est tombé face contre terre »

Sarthe. Coup de couteau mortel au solstice d’été : 15 ans de prison requis

VIDEO FRANCE 3 : ” … une fête champêtre …

https://www.bfmtv.com/police-justice/un-ex-elu-d-extreme-droite-condamne-a-12-ans-de-prison_AN-201211080082.html

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/08/97001-20121108FILWWW00725-un-ex-elu-d-extreme-droite-condamne.php

Le 22 juin 2009, lors d'un solstice d'été organisé par la bannière d'Ile-de-France de Terre et peuple, dans une propriété lui appartenant à Saint-Denis-des-Coudrais (Sarthe), il assassina, d'un coup de couteau de chasse dans le dos, le militant nationaliste Christophe Lindeneher, 28 ans.
Le 8 novembre 2012, il a été condamné à 12 ans de prisons pour son acte.
https://fr.metapedia.org/wiki/Laurent_Leclercq

 

Christophe Lindeneher est un militant identitaire, assassiné le 21 juin 2009.

Agé de 28 ans et père d'un enfant de 3 ans qu'il élevait seul, Christophe Lindeneher a été assassiné par Laurent Leclercq d'un coup de couteau de chasse dans le dos, dans la nuit du 20 au 21 juin 2009, vers 4 heures du matin, à Saint-Denis-des-Coudrais (Sarthe), lors d'un rassemblement identitaire, organisé par la bannière d'Ile-de-France du mouvement Terre et peuple.

Sur sa page Myspace, Christophe Lindeneher se présentait ainsi : "Je suis un homme entier, fier, mais assez ouvert. J'ai une passion pour la musique, qui est un besoin vital pour moi (goth, ebm, indus, neo folk, darkwave, trance, techno, rock, usw...), les forêts et les montagnes, la fête, ma famille, mes amis. (...) J'aimerais rencontrer des personnes cultivées, rares, attachées à notre grande patrie européenne."

Lors du procès de son assassin qui se déroula en novembre 2012, selon la presse, l'avocat de celui-ci décrivit Christophe Lindeneher ainsi : "lors de la fête de l’association Terre et Peuple organisée ce soir-là par Laurent Leclercq, Christophe Lindeneher auraient fait preuve « d’une violence inouïe. Ils étaient ivres d’alcool et de musique black metal, satanique. Christophe Lindeneher est une furie, un gothique. Et vous savez quoi ? Monsieur Lindeneher avait une tête de mort à sa ceinture cette nuit-là, et il est provocateur et bagarreur. »".
https://fr.metapedia.org/wiki/Christophe_Lindeneher

Blessed In Sin / Orthanc / Finis Gloria Dei / Sigillum Diabolicum 08/12/2007 Lyon’s Hall, Lyon

http://www.lahordenoire-metal.com/media/flyers-concerts/blessed-in-sin-08-12-07.jpg

http://www.lahordenoire-metal.com/live-report/concert-metal-2007/blessed-in-sin-orthanc-finis-gloria-dei-sigillum-diabolicum.html

Cette ” fête des lumière païennes ” se voulait un écho à la célèbre ” fête des lumières ” de Lyon ce même jour, ce qui rappelle le sens oublié de cette fête attirant avant tout finalement le jeune français moyen moderne donc athée (toujours dans l’air du temps…), puisque cette fête est à la base une commémoration de la préservation de la Peste d’une partie de Lyon par la Vierge. Mais cette soirée organisée par Orthanc se présentait surtout comme un événement black metal avec la présence de membres du ” Concilium ” de la célèbre scène black metal toulonnaise à savoir de Seigneur Voland, Kristallnacht et Blessed In Sin dont les membres ont beaucoup fait parler d’eux entre 1996 et 1997. Les médias se plaisent d’ailleurs toujours aujourd’hui à ressortir ces histoires et de fait cette soirée revêtait peut-être malgré elle une coloration ” nsbm ” qui attira un public consistant, notamment venu du Nord de la France (Tours, etc), faisant figure d’événements puisque les concerts du Concilium se déroulent plutôt dans un cadre privé évitant ainsi tout problème d’annulation ou de parasitage. Le Lyon’s Hall se révélait être le lieu idéal une fois encore pour une telle affiche underground. On peut dire que cette soirée n’a d’ailleurs pas pris de tours « ns » et ce par un règlement explicite sur les billets, signalant que toute provocation serait punie. Ça aurait été en effet bien bête de compromettre toute organisation de concert sulfureux à l’avenir. D’ailleurs comme j’aurai l’occasion d’y revenir, c’est bien plus la réputation sulfureuse de ses membres qui donnait cette coloration ” ns ” puisque dans le contenu on ne peut pas dire qu’il y ait eu quoi que ce soit dans les groupes tant attendus de ” ns “. N’oublions pas d’ailleurs que LF a mis un terme à Kristallnacht pour prendre ses distances avec le nsbm.

Laurent Franchet (dit “Hades”, “LF” ou “Lenrauth”)[1][2]
16/02/2004 Condamnations à de la prison ferme pour menaces de mort, dans la revue Wotan, à l’encontre notamment d’Anne Sinclair et de Patrick Gaubert:

HEMMOROIDZ OV GOD, initialement programmé et comportant en ses rangs le Marechal Glaurung d’Orthanc ne jouera finalement pas. La raison en étant selon les échos que j’ai pu entendre, que la strip-teaseuse n’était pas présente ! Il s’agit en effet initialement d’un black metal à l’esprit assez rock n’roll.

C’est donc Sigillum Diabolicum de Clermont-Ferrand, que j’avais raté lors de son ouverture de la soirée avec Peste Noire en juin, qui assurera donc le premier concert de ce soir. Malgré un style visuel assez décousu, avec un bassiste uniquement vêtu d’un kilt et pieds nus, un guitariste chanteur typique black metal en noir avec t-shirt Nargaroth et un autre guitariste avec un style peut-être plus d’assaut. L’unité musicale est cependant bien là : un black metal très classique mais efficace. C’est avec une grande surprise que se termina leur prestation par la montée sur scène d’un invité au chant et à la guitare pour une reprise de Chevrotine, l’une des références du rac metal. Dans le pur style typique du groupe et donc très différent de Sigillum Diabolicum, le chant criard se transforme donc en chant viril et guerrier avec le morceau L’épée à la main qui enthousiasma énormément le public qui connaissait les paroles. Je ne saurais dire s’il s’agissait d’un membre de Chevrotine, ou d’un simple ami dans la scène Rac puisque les membres de Sigillum Diabolicum joueraient occasionnellement au sein de formations Rac.

En effet, Ardraos, guitariste et vocaliste de Sigillum Diabolicum est une figure RAC qui pulse les hymnes néonazis des groupes Wolfangel et Lemovice, activistes des mouvances skinhead proches des gangs Blood and Honour, Combat 18, Hammerskins, JNR, 3e Voie, Front des Patriotes, ...etc.
De nos jours,  Ardraos et les musiciens de Lemovice et Wolfangel sont affichés comme l'orchestre "historique" de Peste Noire.

Sigillum Diabolicum - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Sigillum Diabolicum - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Sigillum Diabolicum - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Puis les membres du Concilium envahissent la scène pour la représentation de Finis Gloria Dei. Les cinq membres sont loin d’être des inconnus, comportant le trio originaire de Funeral, le groupe pre-Kristallnacht (devenu projet solo ensuite) et la plupart des membres de Seigneur Voland, avec ce soir LF (Funeral, Kristallnacht, Seigneur Voland, Desolation Triumphalis) à la guitare, Xaphan au chant (Funeral, Seigneur Voland),

Anthony Mignoni (dit “Xaphan”)[1][2]
Condamnations à de la prison ferme pour menaces de mort, dans la revue Wotan, à l’encontre notamment d’Anne Sinclair et de Patrick Gaubert

Condamnation, par la cour d’assises de Colmar, à vingt ans de réclusion criminelle de David Oberdorf pour avoir assassiné de trente-trois coups de couteau un prêtre catholique, le 19 décembre 1996, à Kingersheim (Haut-Rhin). David Oberdorf voulait “s’élever au rang d’Anthony Mignoni”, qui l’avait initié au satanisme.

Condamnations à de la prison ferme pour des membres qui se sont livrés à une profanation sataniste, à Toulon, dans la nuit du 8 au 9 juin 1996: Anthony Mignoni[1], Christophe Magnoni[1], Émilie Dervillers et Laurence Scharples.

Black Christ à la guitare (Funeral, Blessed in Sin)

Christophe Magnoni (dit “Black Christ”)[1][2]

Condamnations à de la prison ferme pour menaces de mort, dans la revue Wotan, à l’encontre notamment d’Anne Sinclair et de Patrick Gaubert

Condamnations à de la prison ferme pour des membres qui se sont livrés à une profanation sataniste, à Toulon, dans la nuit du 8 au 9 juin 1996: Anthony Mignoni[1], Christophe Magnoni[1], Émilie Dervillers et Laurence Scharples.

et Hayras à la basse (Seigneur Voland, Blessed in Sin et son excellent projet solo Hayras).

Bref le meilleur de la scène black française underground. Cela va sans dire qu’on est bien loin des concerts black metal stars qui passent au Transbordeur avec leur coté aseptisé, et loin également peut-être des mises en scène certes charismatiques d’un Gorgoroth tellement programmées et soignées. Ici, place à l’authenticité, un véritable début de show après balances, réglages et décors effectifs, un changement de guitare pour LF lors d’un morceau qui revient non équipé de la sangle, ou les petits problèmes avec la projection du film n’entament en rien la qualité de cette authentique prestation de black metal, avec maquillages et look loin du cirque des gros groupes. C’est d’ailleurs ici un style de black bien différent du son typique Kristallnacht / Seigneur Voland. Leur premier album, sorti chez Aura Mystique, Goat : father of a new flesh, propose un black metal cru, primitif, teinté de thrash au concept purement satanique et instinctif cette fois-ci, s’influençant de vieux groupes comme Beherit, Blasphemy (dont LF portait un t-shirt à son honneur) ou Bestial Summoning. Très franchement, je préfère leurs autres projets mais je dois avouer que j’ai bien apprécié la prestation, mieux que sur le CD. Je soulignerai notamment l’exécution du très bon Behind the rooting sun of human desolation. Le côté cru crée une atmosphère plus parlante sur scène, à mon avis, et c’est d’ailleurs une très bonne idée qui y contribue que de projeter un film en fond, pratique que l’on voit plutôt dans les prestations d’indus. Il s’agit en fait des travaux cinématographiques réalisés par Xaphan, sous le nom de Baron Saturne (qui tire son nom d’un personnage d’une nouvelle de l’excellent Villiers de l’Isle-Adam) où l’on peut voir des images blasphématoire, par exemple avec une sœur (ou plutôt une luciférienne s’habillant en sœur) en train de se faire pénétrer. Des images de cérémonies blasphématoires mêlant sexe violence et satanisme mais également des montages comme certaines images prises entre autres de l’excellent film expérimental de 1991 Begotten. Ou encore des images de l’enfer de Bosch sur le morceau du même nom. Une bonne prestation authentique et crûe, bien loin de parfois pitoyable groupes old school.

Finis Gloria Dei - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Finis Gloria Dei - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Finis Gloria Dei - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Finis Gloria Dei - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Finis Gloria Dei - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Finis Gloria Dei et Blessed In Sin ayant des membres en commun, la prestation d’Orthanc s’impose entre les deux. Et c’est avec surprise qu’on découvre, après une intro de musique classique intronisant les musiciens, pendant laquelle le Maréchal reste fièrement debout devant sa batterie, que le groupe jouera sous forme de duo, à savoir donc le Maréchal à la batterie et parfois au chant et Hrafnagud, habituellement bassiste, qui ce soir se chargera de la guitare et du chant et jouera le rôle de deux musiciens passant d’un micro à l’autre. Je ne sais pas si c’est le show de Nuit Noire en juin qui leur a montré la possibilité de jouer en duo et sans basse. Mais il faut l’avouer, comme l’ensemble du public présent ce soir l’a aussi remarqué, qu’ils ont vraiment bien assuré et je pense qu’on peut les féliciter. Leur ” pure french black metal ” se révèle d’ailleurs de qualité. Et on retrouve bien un peu le son de la scène toulonnaise dans les guitares. En somme du bon black avec une touche rac notamment dans le chant, toujours plus présente dan leur musique, et très bien mariée, une très bonne évolution. On saluera, tout comme le public, l’excellente reprise de Stahl Blitzt Kalt du Absurd deuxième époque (la meilleure) extraite de Totenlieder (2003), chantée en allemand comme il se doit. Orthanc a en fait joué avec Absurd lors d’un festival en Roumanie cet été. D’ailleurs, avec leur mélange de rac et de black, Orthanc pourrait devenir les Absurd français. L’avenir le dira puisqu’en plus de 10 ans avec une pause et pas mal de changements de line-up, le groupe mené par le Maréchal n’a pas trop de compositions à son actif, malgré une prestation consistante avec notamment Nos paradis perdus. Mais on ne saurait que l’encourager dans sa voix actuelle.

Orthanc - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Orthanc - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Orthanc - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Orthanc - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Orthanc - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

La tête d’affiche est sans conteste Blessed In Sin, qui existe depuis 1993, comme le rappellera à la fin le chanteur, ayant toujours tourné autour de la fratrie de Over Lord Nasty Metatheos au chant

David Magnoni (dit “Overlord Nasty Metatheos”)[1][2]
Condamnations à de la prison ferme pour menaces de mort, dans la revue Wotan, à l’encontre notamment d’Anne Sinclair et de Patrick Gaubert

et de Black Christ à la guitare, et qui a fait coulé beaucoup d’encre.

Christophe Magnoni (dit “Black Christ”)[1][2]  

Condamnations à de la prison ferme pour menaces de mort, dans la revue Wotan, à l’encontre notamment d’Anne Sinclair et de Patrick Gaubert 

Condamnations à de la prison ferme pour des membres qui se sont livrés à une profanation sataniste, à Toulon, dans la nuit du 8 au 9 juin 1996: Anthony Mignoni[1], Christophe Magnoni[1], Émilie Dervillers et Laurence Scharples.

On en verra notamment des extraits de la presse métallique avec une certaine mise à dos, puisque Blessed In Sin a aussi eu la bonne idée d’agrémenter sa prestation de films en fond ainsi que d’une étrange statue grecque sur la scène. Là aussi ceux qui s’attendaient à trouver du NS seront déçus. Blessed In Sin, à l’image de la pochette de Honor the anus of Mary (morceau non joué ce soir), c’est avant tout un univers fait de lubricité et de blasphèmes et d’une fustigation du judeo-christiannisme dans cette optique. Ainsi, après des images de guerriers grecs semble-t-il, on a eu droit à des scènes pornographiques antiques faites notamment de cunnilingus ou encore à la scène théâtrale libertine du film Eyes Wide Shut. Les images prennent plus tard un côté plus mystique ou ésotérique, un clip évoquant également une emprise franc-maçonnique. Sur la fin, il s’agira d’un hommage aux premières années troubles du black metal, un hommage notamment à Euronymous dont Metatheos portait un t-shirt à son effigie et à la polémique anti-Burzum qui a suivi. Musicalement là aussi, il ne faut pas s’attendre à du black rentre-dedans ou raw. Blessed In Sin, comme il l’a montré entre autres par ses deux albums Melancholia et Par le sang du Christ, c’est avant tout du black avec des influences heavy, thrash et un côté atmosphérique (d’ailleurs peut-être un peu trop simple). De la scène du Concilium, c’est le groupe le plus ancien et le plus metal si je puis dire. On peut en fait y ressentir une influence très nette du style de black metal pratiqué par Rotting Christ. Je pense qu’une partie du public non connaisseur, c’est un peu vidée sur la fin, du fait que Blessed In Sin ne fait pas dans le black violent ou malsain. La prestation en elle-même a d’ailleurs un côté plus festif, là où Finis Gloria Dei ne fait pas dans la communication. Blessed In Sin en est bien plus friand. Metatheos communique énormément avec le public, peut-être trop, soulignant à de nombreuses reprises qu’on était le meilleur public, et c’est certain que le public de ce soir était un public black metal et pas le métalleux de base en sortie. Mais peut-être qu’il en fait un peu trop avec des ” allez Lyon, allez Lyon ! ” qui donnent un coté un peu festif. Cela vient peut-être d’une certaine sociabilité du Sud, pour décupler l’ensemble du public après une soirée bien remplie, et une prestation très consistante d’une durée de 1h30, avec rappel offert d’un titre déjà joué en notre honneur. Les membres du Concilium étant présents ce soir, j’ai cependant pensé que ça aurait pu être une occasion formidable de jouer quelques hymnes de Seigneur Voland ou Kristallnacht pour clôturer en beauté cette très bonne soirée.

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Blessed in Sin - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Blessed in Sin - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Blessed in Sin - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

 

Blessed in Sin - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Blessed in Sin - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Blessed in Sin - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

 

Blessed in Sin - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Blessed in Sin - Lyon's Hall, 8 décembre 2007

Destruction de l’église en Bretagne et black metal. Les incendiaires criminels sont des amis du profanateur de Toulon et figure NSBM Anthony Mignoni

Ronan Cariou et Amandine Tatin sont, notamment, soupçonnés d'avoir provoqué, dans la nuit du 29 au 30 janvier, l'incendie criminel qui a entièrement détruit la chapelle de Saint-Guen, à Saint-Tugdual Ronan Cariou et Amandine Tatin sont, notamment, soupçonnés d’avoir provoqué, dans la nuit du 29 au 30 janvier, l’incendie criminel qui a entièrement détruit la chapelle de Saint-Guen, à Saint-Tugdual (56), après en avoir sorti des statues et les avoir déposées, la tête en bas, dans le cimetière attenant à l’édifice. (Photo archives François Destoc)

Que se cache-t-il derrière Ronan Cariou et Amandine Tatin, ce jeune couple soupçonné d’avoir profané et dégradé chapelles et cimetières, en janvier et février derniers, en Bretagne ? Les indices laissés par Amandine mènent à d’inquiétantes fréquentations, au carrefour du satanisme, de l’idéologie néonazie et de la musique black metal. D’un côté, l’image de ce jeune couple très amoureux qui se lance dans la vie active. De l’autre, le squelette d’une chapelle du XVI e siècle aux murs noircis se dressant au sommet d’une colline. Ou encore l’image de ce crâne, arraché à la dépouille d’un homme mort il y a plus de 50 ans, dans un caveau, près de Nantes. Saisissant contraste. Qu’est ce qui a poussé Amandine Tatin, 21 ans, et Ronan Cariou, 28 ans, sur la route des cimetières et églises de la région de Quimperlé et de Nantes ? Le couple a reconnu plus de six profanations. Toutes portent la marque du diable : les chiffres « 666 », des croix et pentagrammes inversés. Difficile de ne pas penser à un cycle initiatique. D’autant que, comme les rituels sataniques l’exigent, des actes sexuels ont bien eu lieu sur certains des sites profanés. Amandine et Ronan ont, en tout cas, filmé tous les « exploits » de leur triste périple. La vidéo, avec des livres, photos et des objets de culte dérobés sur les différents sites, est l’une des nombreuses pièces à conviction saisies par les enquêteurs.

Un étrange message

Troublantes, aussi, ces étranges inscriptions dans la chapelle de Guiscriff, dans le Morbihan. Des « runes » : des caractères aux vertus prétendument magiques, empruntés au plus ancien système d’écriture nordique. Un message qui, une fois décodé, évoque « le passage vers une autre dimension », « la lumière » et « le réveil après un long sommeil ». Encore plus déconcertant, les dates auxquelles les faits bretons ont été commis correspondent exactement à des dates clés du calendrier satanique : nuits précédant la nouvelle lune et fin d’un des quatre sabbats annuels; celui du « porteur de lumière », symbole du feu : Lucifer. Satanisme ? Amandine nie farouchement. Ces inscriptions ne seraient qu’un habillage folklorique, sans signification réelle. Pourquoi s’en prendre, alors, exclusivement à des symboles religieux ? Ces questions agacent Amandine. Son avocat les balaie d’une phrase : « S’ils avaient été dans le 93, ils auraient brûlé des voitures ». La jeune femme, qui craignait ces « mauvaises interprétations », a réponse à tout. Elle possède un drapeau nazi ? « Ce n’est pas cet emblème qu’il faut voir », répond-elle, renvoyant ces interlocuteurs vers les symboles de bon augure, d’équilibre ou solaire que désignait, « bien avant la croix gammée nazie », ce signe païen.

Coup de foudre à l’Afpa de Rennes

L’ethnologie passionne Amandine. Tout spécialement l’odinisme, cette « religion » dominante au nord de l’Europe avant la conversion des tribus au christianisme. La jeune femme a arrêté ses études en fin de classe de 3 e . C’est à cette même époque qu’elle a quitté le très chaotique foyer parental, à Toulon. Ensuite ? Foyers d’accueil, petits boulots, dont un passage dans une boutique de jeux de rôle. L’an dernier, selon son oncle, elle suit une formation en menuiserie dans le Var. Moins d’un an plus tard, elle arrive à Rennes pour suivre une nouvelle formation à l’Afpa. C’est là qu’elle rencontre Ronan. Le jeune homme, titulaire d’un BTS agricole, prépare sa reconversion à la plomberie. Avec succès. Quelques mois plus tard, il décroche un CDI dans une petite entreprise, à Concarneau. Le couple ne se quitte plus. Il emménage à 30 km de la « cité des thoniers » et ses loyers « trop chers ». A Saint-Thurien, bourg de 867 âmes perdu au-dessus de Quimperlé.

« J’ai pété les plombs »

Pour Amandine, c’est la clé de l’affaire. Loin de tout, en plein hiver, attendant chaque jour le retour de son compagnon, elle aurait « pété les plombs ». Et quand on lui fait comprendre que la réponse est un peu courte, la jeune femme s’énerve. D’ailleurs, elle ne comprend pas pourquoi l’instruction dure « si longtemps ». Les faits sont si simples… Son avocat, M e Daniel, les résume ainsi : « Ce ne sont pas des adorateurs de satan. Ce sont des gamins qui ont, enfin, pris conscience de la gravité de leurs bêtises. Aujourd’hui, ils en ont honte et ils regrettent ». Amandine se dit prête à payer la note : prison et indemnisation salée. « Que voulez-vous de plus ? », s’étonnait-elle encore récemment.

Profanations à Toulon meurtre en Alsace

Dans sa cellule de la maison d’arrêt de Rennes, la jeune femme est tourmentée. Elle ne tient surtout pas à ce qu’on fouille dans sa vie. A Toulon notamment, d’où elle est originaire. Que pourrait-on y trouver ? Ses liens avec un dénommé Mignoni. Anthony Mignoni, aujourd’hui âgé de 31 ans, condamné à trois ans de prison ferme en 1996. Il avait participé à la profanation d’une tombe au cours de laquelle le cadavre d’une septuagénaire avait été exhumé et transpercé à l’aide d’un crucifix inversé. C’est le même Anthony Mignoni que l’on retrouve en Alsace, la même année, mêlé à l’assassinat d’un prêtre tué de 33 coups de couteau. Le meurtrier a tout juste 18 ans. Il s’appelle David Oberdorf. Au cours de son procès, en 2001, celui-ci déclare avoir voulu « s’élever au rang d’Anthony Mignoni », son maître. Celui qui l’a initié au satanisme. La mère de David Oberdorf témoigne aussi : « Anthony Mignoni était nocif. Il disait qu’il fallait tuer les juifs, les chrétiens. J’interceptais des cassettes et les lettres qu’il envoyait à David. Il voulait qu’il brûle une église ». Il lui avait également demandé de voler un crâne dans un cimetière… Blanchi par l’accusé, Anthony Mignoni sera juste entendu comme témoin. David Oberdorf, lui, sera condamné à 25 ans de réclusion criminelle.

La piste néonazie

Le Toulonnais fait encore parler de lui en 2004. Il est condamné à de la prison avec sursis pour « diffusion d’une revue exhortant à la haine raciale et l’antisémitisme, apologie de crimes contre l’humanité » et de nouvelles profanations de sépultures commises en 1997.

Autre contact : celui de Varg Vikernes, pionnier du courant musical black metal, unique membre du groupe Burzum. Ce Norvégien âgé de 33 ans purge actuellement une peine de 21 années de réclusion pour avoir poignardé de 23 coups de couteau, en août 1993, le leader d’un autre groupe de black metal (Mayhem). Les deux hommes appartenaient à « l’Inner Black Circle ». Une organisation sataniste terroriste à l’origine de l’incendie volontaire de huit églises en Norvège, et qui en aurait inspiré plusieurs dizaines d’autres, ainsi que des meurtres et des suicides, dans les pays voisins. Aujourd’hui, Varg Vikernes s’est tourné vers l’odinisme et l’idéologie néonazie. Confrontée à ces nouveaux éléments, Amandine aurait nié toute influence néonazie. Ses relations avec Mignoni et les autres ne seraient « qu’ exclusivement musicales » (*). Elle-même musicienne (guitare basse), elle aurait proposé ses services au groupe de black metal toulonnais, Blessed in Sin (Bénis dans le péché). Encore un hasard malheureux : deux de ses membres, les frères Magnoni, ont été condamnés pour les profanations de Toulon et diffusion de fanzines néonazis. Amandine aurait été ébranlée par ce tournant de l’instruction. La jeune femme, jugée très intelligente, « a perdu de sa superbe », selon une source proche de l’enquête. Elle ne s’exprime plus avec un fort accent allemand, comme lors de sa première audition. Son compagnon a également paru déstabilisé. Visiblement, il semblait découvrir ces liens. Peut-être sera-t-il amené à réfléchir aux circonstances de sa rencontre avec Amandine. Pourquoi est-elle venue en Bretagne ? Venait-elle en mission, pour implanter un réseau dans la région ? Des investigations sont en cours.

Procès en sorcellerie ?

L’avocat de la jeune femme conteste ce scénario. « Ce n’est pas parce qu’Amandine aime certains groupes de black metal qu’elle partage la philosophie de leurs membres. Tous ceux qui apprécient Baudelaire n’approuvent pas l’usage des drogues, raille M e Daniel. Que cherche-t-on ? Les procès en sorcellerie n’existent plus ! Et pénalement, cela n’apporte rien aux charges retenues contre elle. » Étrange Amandine. Quand il quitte précipitamment Saint-Thurien, début février, alors que la série de profanations fait la une des médias, le couple organise, malgré tout, son départ dans les règles. L’agence est prévenue, l’employeur de Ronan aussi. Officiellement, le couple rencontre de gros soucis financiers. Il rejoint le domicile des parents de Ronan, près de Nantes. En moins d’une semaine, Amandine s’inscrit en intérim. Elle trouve même un travail. Et quand elle est interpellée, son premier coup de fil est pour… son employeur. Pour le prévenir qu’elle ne pourra pas venir ! Troublant pour une jeune femme censée être manipulatrice et adepte du diable.

Macabre « lune de miel »

Pour l’heure, en prison, Amandine et Ronan s’écrivent tous les jours. Plusieurs fois par jour. Tous les deux portent le même pendentif : un marteau de Thor. Dans la mythologie nordique, c’est un symbole de protection. Un signe que l’on traçait au-dessus des couples qui venaient de s’unir par les liens du mariage. Pour Amandine, c’est aussi la marque de sa « haine des religions ». Subjugué par sa compagne, mal dans sa peau, Ronan n’aurait fait que la suivre. C’est du moins ce qu’estiment certains membres de la famille du jeune homme. Certains soirs, le couple parcourait jusqu’à 300 km pour repérer les cimetières et les chapelles où ils allaient ensuite frapper. « Ou je mettais fin à mes jours ou j’extériorisais cette violence que j’avais en moi », a expliqué Ronan aux enquêteurs. Pour lui, cette affaire est une histoire d’amour. Ce périple macabre dans les cimetières et les églises, c’était un peu leur « voyage de noces ». La « lune de miel » de deux paumés.

(*) Le black metal a sa branche « politique » : le National socialist black metal. Un courant ultra-minoritaire qui, lui, n’hésite pas à passer à l’action. Comme Vikernes, Mignoni et consorts.

Salle Wagram, la « Maison de l’identité » refuge de l’extrême droite

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LES DÉÇUS du Front national et du Mouvement national républicain ont désormais un refuge : la Maison de l’identité, qui a réuni, samedi 9 novembre à la Salle Wagram, à Paris, plusieurs centaines de sympathisants autour du thème de « La survie de l’intégrité physique et culturelle des peuples européens ». Cette nouvelle structure ne souhaite pas se constituer en mouvement politique. « L’électoralisme nous a broyés, elle a usé nos militants », a déclaré Gilles Pennelle, conseiller régional (ex-MNR) de la Haute-Normandie et porte-parole de la Maison de l’identité.

Une vingtaine d’exposants proposaient des livres d’extrême droite. Dans la foule, on comptait des gens de tous âges. Près des buvettes s’étaient rassemblés des jeunes au crâne rasé portant des tee-shirts noirs avec l’inscription « Blood and Honour », un mouvement skinhead ultraviolent qui se réfère aux Waffen-SS. C’est sur son site Internet que Maxime Brunerie avait laissé un message avant de tirer, le 14 juillet, en direction de Jacques Chirac.

Parmi les intervenants, Pierre Vial, président de Terre et Peuple, une association militant pour une grande Europe, ethnique et païenne, qui a quitté le FN en 1999 pour le MNR avant de prendre ses distances avec le parti de Bruno Mégret. La foule l’a acclamé lorsqu’il a lancé : « Nous sommes en guerre. De quoi sommes-nous coupables ? De quoi êtes-vous coupables ? D’être blancs ! »

M. Pennelle a appelé les auditeurs à se porter « candidats à la mairie dans les petits villages » et « à rejoindre les associations locales de défense d’un monument ou d’un quartier » pour défendre « les idées identitaires ». Il a précisé que la première campagne de la Maison de l’identité visait à empêcher l’adhésion de « la Turquie musulmane » à l’Union européenne. « Si nous ne faisons rien, «ils» s’installeront dans nos cathédrales, «ils» coucheront avec vos filles », a-t-il clamé à plusieurs reprises. Un concert du groupe de rock identitaire français « In Memoriam » a conclu la journée. […]

Le meurtre satanique – la mort d’un étudiant

Der Satansmord – Tod eines Schülers est un documentaire de l’ARD dans la série télévisée The Great Criminal Cases de la réalisatrice Ulrike Baur d’une longueur de 45 minutes. Le documentaire, qui a été le 31. La première diffusion en mai 2001 concerne l’affaire du meurtre de Sondershausen, qui avait été commis par trois jeunes de Sandro Beyer, alors âgé de 15 ans. Les auteurs, Hendrik Möbus, Sebastian Schauseil et Andreas K. sont les fondateurs de la bande Absurd de la NSBM. En raison des intérêts des membres, la loi a été présentée dans les médias comme « sataniste » motivée, mais n’avait rien à voir avec le satanisme.

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Le film documente principalement le meurtre de Sandro Beyer de Sondershausen. Il montre la ligne de conduite exacte et les procès des trois auteurs. En outre, le film révèle ce que Hendrik Môbus a fait pendant son temps libre. Il a échangé des films d’horreur à revêtement noir, dont certains ont été indexés ou saisis dans tout le pays par le BPjS. Dans le film, les sentiments des autres sont également abordés sur le meurtre. Hendrik Munbus ne décrit pas le meurtre de Sandro Beyer comme un meurtre satanique, mais comme un sauvetage d’autres personnes de Sandro (dans une interview avec le néo-nazi américain William Luther Pierce, qui a fondé l’Alliance nationale et lancé la campagne Free Hendrik Möbus), [1]et a nié tout lien avec le satanisme[2]. Le juge responsable a également déclaré :

« Il s’agissait à certains égards d’un meurtre satanique en raison de ce contexte, mais l’exécution de l’acte n’avait pas le moins du monde à voir avec un rituel ou un acte satanique. Tout fond rituel manque, la préparation est manquante, il n’y a pas de gradation…».Juge J. Schuppner[3

L’amie de Hendrik Möbus a déclaré au meurtre de son ancienne amie qu’elle ne faisait pas confiance à M. Möbus et à son changement idéologique :

« Cela m’a déjà surpris personnellement. Bien que le nazisme et le satanisme ne soient peut-être pas si différents. Donc au moins dans mes yeux. Parce qu’ils sont à la fois très inhumains et ont une pensée très élitiste, et c’est aussi ce que Hendrik correspond. Il a toujours voulu être quelque chose de spécial, et il a également dit de lui-même qu’il avait des tendances élitistes, et ainsi j’explique sa tendance néonazi. “Christina, Hendrik Möbus’ alors petite amie[4

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Alors que Möbus s’est enfui aux États-Unis après un nouvel acte d’accusation, Schauseil (aujourd’hui à Halgadom) et K. ont commencé une nouvelle vie dans une autre ville. Il est considéré comme le représentant le plus connu de la NSBM en Allemagne.

Fullmoon – United Aryan Evil

Principal

En 1997, Rob Darken, le leader de Graveland participe à la proposition musicale Fullmoon – Temple of Aryan Evil. Disque collectionné toujours ré-édité en k7, cd, vynil, …

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1995 – la police inquiète le TTF, Temple of Fullmoon, le cercle  regroupant musiciens black metal polonais et imagerie nazi, à l’image du Inner Circle norvégien.

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Le temple de Fullmoon (TTF – The Temple of Fullmoon) n’existe plus parce qu’il était trop dangereux. Les membres ont commencé à avoir des problèmes avec la police. 1995 n’a pas été une bonne année. Lors de la réunion du Temple de Fullmoon à Szklarska Poreba la police nous a arrêtés. Nous avons perdu beaucoup de ressources très importants tels que les publications etc… énorme source d’information pour la police pour la suite. En raison de cet incident TTF a été dissous. A cette époque, beaucoup de gens qui étaient trop faibles pour faire face à ces problèmes ont quittés la mouvance, d’autres se sont dissociées de nous. Mais ceux qui sont restés dans la mouvance, malgré toutes les difficultés et les dangers, maintenant sont des gens forts et très précieux pour les mouvements neopagan dans les deux aspects: culturels et politiques. Aujourd’hui la situation est bien meilleure et plus facile mais nous devons être prudents. Maintenant la mouvance polonaise est unie par des idées païennes. Des groupes comme North, Peruncit, Venedae, Iuvenes et les hordes NSBM comme Capricornus, Thor’s Hammer, Dark Fury, Thunderbolt, Fullmoon, Veles œuvrent pour le retour du paganisme. –

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Inspiré par le Cercle intérieur norvégien, le groupe The Temple of the Fullmoon, dont les fondateurs comprenaient Nergal (Behemoth), Blasphemous (Veles) et Venom (Xantotol) étaient [6]en Pologne.[7][sic!]satanische[8]InfernumTempête noire, minuit et temple de Pagan. Après la rupture avec Behemoth, l’organisation a pris un changement d’extrémisme de droite.

« Ensemble, nous pouvons détruire ce système maudit – la démocratie et le christianisme. »
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6 juin 1992 : Varg Vikernes incendie de l’église en bois de Fantoft

https://youtu.be/CYJ6H2kKbFE

La stavkirke de Fantoft (norvégien : Fantoft stavkirke) est une église en bois debout située à Fantoft, Bergen, Norvège. Le mot stavkirke vient du norvégien « stav » pour pieu et « kirke » pour église. Les stavkirker sont entièrement construites en bois, elles ont d’ailleurs pour traduction française « églises en bois debout ».

La stavkirke de Fantoft fut tout d’abord construite vers 1150 à Fortun, près du Sognefjord (L’église en bois debout de Fortun), mais a été transférée à Fantoft en 18831 et reconstituée à la manière de l’église en bois debout de Borgund. Elle a été incendiée et entièrement détruite le 6 juin 1992 par des membres de l’Inner Circle lié au black metal. L’un des incendiaires présumés, Varg Vikernes2, soutient que cette date a en fait été choisie pour commémorer le pillage de Lindisfarne par les Vikings du Hordaland le 6 juin 793, qui est souvent considéré comme le véritable début de l’ère viking.[réf. nécessaire]

L’église a été reconstruite à l’identique en 1997 (La nouvelle stavkirke de Fantoft, Fantoft nye stavkirke), et est depuis protégée par des grillages et des alarmes. Le coût de la reconstruction n’a pas été dévoilé par les propriétaires de l’édifice, seule stavkirke privée parmi celles incendiées en Norvège.

L’église se trouve à quelques centaines de mètres de la Résidence universitaire de Fantoft.

https://i.discogs.com/d6MIE5pi-_T6R3pkSyUn95hHhPYTUXxCHvc6TYq2KW8/rs:fit/g:sm/q:90/h:600/w:600/czM6Ly9kaXNjb2dz/LWRhdGFiYXNlLWlt/YWdlcy9SLTM4NDYw/NDMtMTM0NjY4Mzkz/Mi00NjIzLmpwZWc.jpeg

Une photographie de  charpente calcinée de l’église de Fantoft est choisie pour illustrer la couverture de la pochette d’éditions de l’enregistrement Aske  et devenu “culte” de Burzum feat. Samoth de Emperor à la basse, diffusé en disques, vinyls, cd, cassettes, … à l’échelle mondiale depuis 1992, puis en mp3 et en streaming. Existe aussi en T-shirt et autres produits dérivés : briquets dés 1993, …etc.

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“tourisme culturel” 2010

 

hommage musical 2021