REVUE DE PRESSE : 666≠88 Rassemblements Rac'NSbm clandestins. Figures NSBM völkisch. Stratégie métapolitique fasciste à posture apolitique de façade. Musée des horreurs White Power
s’autoproclamant ‘Légions Noires’ en l’honneur des membres de la ‘mafia’ norvégienne Darkthrone et Burzum qui étaient supposément prêts à terroriser les chrétiens quelques années auparavant1.
Mütiilation, Vlad Tepes et Belketre en sont les seuls membres, mais
Torgeist et Moëvrot sont des projets perrallèles des membres des BL… mais n’en font pas partis…
Meyhna’ch (de son vrai nom William Roussel, 17 février 1976) fut un membre des Légions Noires. Son projet (solo) principal est Mütiilation, créé en 1991. Il est aussi à l’origine du projet, également solo, Satanicum Tenebrae. En 1996, il fut exclu des Légions Noires pour des problèmes d’addiction aux drogues dures. Sa résidence principale semble se situer à Grabels, dans l’Hérault. Ce serait un manoir ayant appartenu aux parents de Willy, et qui aurait servi aux membres des Légions Noires à enregistrer la plupart de leurs albums. Il fut vocaliste dans Gestapo 666 et actuellement dans Hell Militia.
David Magnoni (dit “Overlord Nasty Metatheos”)[1][2]
Laurent Franchet (dit “Hades”, “LF” ou “Lenrauth”)[1][2]
2001
06/04
Condamnation, par la cour d’assises de Colmar, à vingt ans de réclusion criminelle de David Oberdorf pour avoir assassiné de trente-trois coups de couteau un prêtre catholique, le 19 décembre 1996, à Kingersheim (Haut-Rhin). David Oberdorf voulait “s’élever au rang d’Anthony Mignoni”, qui l’avait initié au satanisme.
1998
11/02
Interpellation à Londres, par Scotland Yard, d’Hervé Guttuso.
1998
14/01
Interpellations à Rouen de Ronald Robin et Cyril Dieupart (dit “Malkira Eskhanth” ou “Mal’Eskhanth”)[3], fondateurs de la secte sataniste “Ad Majorem Satanae Gloriam”.
1997
18/12
Interpellation d’Éric Monnier (responsable en France depuis le départ d’Hervé Guttuso à Londres en 1995[4]).
1997
20/10
Condamnations à de la prison ferme pour des membres qui se sont livrés à une profanation sataniste, à Toulon, dans la nuit du 8 au 9 juin 1996: Anthony Mignoni[1], Christophe Magnoni[1], Émilie Dervillers et Laurence Scharples.
1993
00/06
Premier numéro de Terreur d’Élite[5], “voix indépendante et radicale des nationaux-socialistes francophones”. Création des Charlemagne Hammer Skins (CHS) par Hervé Guttuso (ex-PNFE), à son retour des États-Unis d’Amérique.
1988
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Création à Dallas (États-Unis d’Amérique) des Hammerskins.
Tous droits réservés Laurent de Boissieu pour France-politique.fr
Membres (composition variable) de groupes de black metal: “Blessed in Sin” (depuis 1993), “Finis Gloria Dei” (depuis 2003), “Seigneur Voland” (2000-2004), “Funeral” (1994-1996) puis “Kristallnacht” (1996-2002), “Bloody Ritual” (1991-1994: Christophe Magnoni et David Magnoni).
Membres de la secte sataniste “Ordre sacré de l’émeraude”.
Membres de groupes de black metal: “Osculum Infame” (depuis 1991) et “Chemin de Haine” (depuis 1994); également actif avec les Toulonnais au sein de “Desolation Triumphalis” (avec Laurent Franchet et “Epsilon Xul”) et “Kristallnacht”.
Hervé Guttuso est hébergé à Londres par Charlie et Steve Sargent, de “Combat 18”.
Terreur d’Élite deviendra en 1995 Wotan (Will of the Aryan Nation), publié depuis Londres.
Finis Gloria Dei est formé en 20031 par Xaphan (Seigneur Voland – Funeral). Le groupe est formé par les membres des groupes Blessed in Sin, Seigneur Voland, Kristallnacht, et Desolation Triumphalis2. La même année, en novembre, le groupe enregistre et publie une démo intitulée In Tenebris3. Elle fait participer Xaphan au chant, Black Christ à la six cordes et Lenrauth aux fûts3.
En 2006, le groupe publie son premier album studio intitulé Goat : Father of the New Flesh4,5,6. En 2008, le groupe participe au concert Black Metal Is Rising IV aux côtés de groupes tels que Balrog et Aosoth à Paris
L’héroïne du documentaire, Karole, une skinhead girl française proche du SHARP, est suivie dans une tournée à la rencontre des skins.
Le documentaire relate l’origine du mouvement dans les années 60, quand il apparaît en Angleterre avec l’arrivée du ska de Jamaïque. À cette époque les skins ne sont pas politisés et s’affirment juste comme rebelles et membres de la classe ouvrière. Bien que majoritairement blancs, les skinheads, comme l’ensemble de la population britannique comptent une importante minorité noire en leur sein . Puis le film montre la déviance de certains à la fin des années 70 avec la reformation du groupe Skrewdriver de Ian Stuart, faisant l’apologie du nationalisme puis du nazisme.
Le réalisateur part ensuite à la rencontre de skins, d’extrême-droite, d’extrême-gauche et apolitiques, dans une tournée en France, Suisse, Angleterre, Suède, Allemagne et Pologne.
Il s’attarde ensuite sur l’apparition des skins antifascistes, les SHARP puis les RASH. Il aborde ensuite la radicalisation des skins nazis, avec la formation de Blood and Honour et sa déviance terroriste avec Combat 18.
Il part ensuite à la rencontre de néonazis à Dallas. Les interviewés prônent ouvertement l’extermination des noirs, des musulmans et des juifs pour protéger la race blanche. Ceux-ci font étalage de leur arsenal d’armes.
Il part donc tourner son documentaire à Montréal, auprès de skins apolitiques qui souffrent de la “logique de guerre” dans laquelle sont entrés les skins antifascistes. Le documentaire devient alors à charge contre les antifas, accusés de détruire la culture skin traditionnelle. Les skins traditionnels rencontrés se disent accusés par les redskins de sympathiser parfois avec les « fafs » lors de concerts…
Le documentaire se termine à Las Vegas sur les traces de deux skins militants antiracistes, un noir et un blanc, Lin Newborn “Spit” et Dan Shersty, assassinés le 4 juillet 1998 dans un guet-apens tendus par des naziskins en plein désert. On apprend que les néo-nazis impliqués dans ce meurtre ont disparu de Las Vegas après cette affaire, mais y sont revenus par la suite. Le réalisateur finit son documentaire par une référence à la bible: « sacrifice symbolique, meurtres fratricides, je me rappelle la Bible et l’histoire d’Abel et Caïn, les deux frères et la haine qui pousse l’autre à l’effacer, […], comme dans la Bible, ici, les fils de Caïn sont de retour alors que les anti-racistes n’ont pas eu de descendance.»
Ce documentaire est le seul en français qui tente de retracer l’histoire du mouvement skinhead et toutes ses composantes.
L’idée de ce film est né de nombreuses protestations épistolaires de skinheads antiracistes Français et Allemands reçus par Daniel Schweitzer, lui reprochant son précédent reportage ” Skin or die” jugé incomplet car uniquement consacrés aux skinheads d’extrême droite.
Pour autant, malgré la volonté initiale de replacer l’histoire des Skinheads dans une perspective plus large, il a reçu de nombreuses critiques de nombreux skins antiracistes. Daniel Schweitzer a été accusé de mettre dos à dos antifascistes et néonazis comme deux facettes d’une même mouvance, en limitant sa vision à un affrontement idéologique, il lui a été de plus reproché de donner, une fois de plus, la parole aux groupes néonazis les plus virulents.
« Aryan Supremacy » est le titre de la première proposition de Peste-Noire »
L’oeuvre proposée est immonde et Neige de Alcest y pulse effectivement ces hymnes NSBM intemporels.
La cassette-démo en référence au suprématisme aryen est déclinée en plusieurs versions, et au moins deux différentes incarnations jumelles :– La version élitiste de 14 copies, le chiffre 14 faisant référence aux « 14 words », les « 14 mots » slogan des suprématistes blancs et des ultranationalistes radicaux, avec un logo Peste Noire avec la lettre T stylisée en croix inversée satanique, et la lettre O telle une croix celtique identitaire.
– Ou la version NSbm ornée de symboles white power & co, croix gammée / swastika / roue solaire / croix celtique, … mais sous l’étiquette de groupe occulte « Dor Daedeloth ». Les titres proposés :
« Royaume d’Occident, Les camps de la mort, Gisant dans la putréfaction, Aryan Supremacy. »
Extrait des paroles traduites : « Tuons-les tous / Défendons notre honneur / Ne laissons pas cette racaille corrompre notre nation / Non à l’égalité / Combat contre lajudéo-chrétienté »
ou encore, « Les camps de la mort », volonté génocidaire ciblée sans détour : « … Avant de quitter cette terre / Je veux leur mort / Un putain de pur génocide / Pour la vengeance ultime … »
L’oeuvre proposée est immonde et Neige de Alcest y pulse effectivement ces hymnes NSBM intemporels qui sont ré-édités et toujours diffusés.
Peste Noire réédite ses titres tirés de “Aryan Supremacy” sur le disque 2002 intitulé “Mémoires Païenne” en collaboration avec le groupe NSBM français “Sombre Chemin”, membre du Pagan-Front également fanatique de l’idéologie-en-musique au point d’intégrer une croix celtique, dans son logo.
La même année 2002, un déporté décharné prisonnier d’un camp d’extermination nazi illustre « Macabre Transcendance… » produit et mis en marché par le label promoteur NSBM français Drakkar prods.
LES DÉÇUS du Front national et du Mouvement national républicain ont désormais un refuge : la Maison de l’identité, qui a réuni, samedi 9 novembre à la Salle Wagram, à Paris, plusieurs centaines de sympathisants autour du thème de « La survie de l’intégrité physique et culturelle des peuples européens ». Cette nouvelle structure ne souhaite pas se constituer en mouvement politique. « L’électoralisme nous a broyés, elle a usé nos militants », a déclaré Gilles Pennelle, conseiller régional (ex-MNR) de la Haute-Normandie et porte-parole de la Maison de l’identité.
Une vingtaine d’exposants proposaient des livres d’extrême droite. Dans la foule, on comptait des gens de tous âges. Près des buvettes s’étaient rassemblés des jeunes au crâne rasé portant des tee-shirts noirs avec l’inscription « Blood and Honour », un mouvement skinhead ultraviolent qui se réfère aux Waffen-SS. C’est sur son site Internet que Maxime Brunerie avait laissé un message avant de tirer, le 14 juillet, en direction de Jacques Chirac.
Parmi les intervenants, Pierre Vial, président de Terre et Peuple, une association militant pour une grande Europe, ethnique et païenne, qui a quitté le FN en 1999 pour le MNR avant de prendre ses distances avec le parti de Bruno Mégret. La foule l’a acclamé lorsqu’il a lancé : « Nous sommes en guerre. De quoi sommes-nous coupables ? De quoi êtes-vous coupables ? D’être blancs ! »
M. Pennelle a appelé les auditeurs à se porter « candidats à la mairie dans les petits villages » et « à rejoindre les associations locales de défense d’un monument ou d’un quartier » pour défendre « les idées identitaires ». Il a précisé que la première campagne de la Maison de l’identité visait à empêcher l’adhésion de « la Turquie musulmane » à l’Union européenne. « Si nous ne faisons rien, «ils» s’installeront dans nos cathédrales, «ils» coucheront avec vos filles », a-t-il clamé à plusieurs reprises. Un concert du groupe de rock identitaire français « In Memoriam » a conclu la journée. […]
Reportage. Paris. Point sur l’interdiction du groupe d’extrême droite Unité radicale. Le ministre de l’Intérieur a lancé la procédure d’interdiction du groupe d’extrême droite Unité Radicale (UR), que fréquentait l’auteur de la tentative d’assassinat contre le président Jacques Chirac le 14 juillet 2002.
Commentaire sur images du site internet du parti, en alternance avec des images d’archives et les interviews de Patrick GAUTIER, président de la Ligue Internationale contre le racisme (LICRA), de Fabrice ROBERT, porte-parole d’Unité radicale et de Jean-Yves CAMUS, spécialiste de l’Extrême Droite.
[Source : documentation France 3]
Le ministre de l’Intérieur a lancé la procédure d’interdiction du groupe d’extrême droite Unité Radicale (UR), que fréquentait l’auteur du coup de feu contre le président Jacques Chirac le 14 juillet. Plusieurs associations sont satisfaites de cette décision.
Sur le site internet de ce groupe on peut lire “merci Maxime”. Depuis l’acte isolé de Maxine Brunerie, Unité Radicale profite de l’engouement médiatique pour exprimer ses idées extrémistes.
Pour le groupe, cette dissolution va les obliger à se constituer en mouvement légal.
Environ 1500 militants font parti de ce mouvement.
Les noms de ces groupes ont changé au cours des dissolutions mais l’activisme est resté le même.
PATRCIK GAUTIER “on a ouvert une porte et maintenant il ne faut plus laisser la porte ouverte. Il faut véritablement annihiler cette propagande qui est une honte pour la démocratie qui est la notre”.
FABRICE ROBERT : “nous allons créer une structure qui sera légale, déclarée…dans quelques semaines un nouveau mouvement va réapparaître”
Maxime Brunerie, étudiant en BTS de comptabilité-gestion, était un militant d’extrême droite néonazi habitué de la tribune du Kop de Boulogne du PSG.
Il avait l’intention d’assassiner Jacques Chirac afin de s’attirer la célébrité (il avait laissé un message sur le forum de Combat 18 « Regardez la télévision dimanche, la star ce sera moi. Mort au ZOG ! 88! ») puis de se suicider. Ces deux tentatives ont échoué.
Maxime Brunerie était proche du groupuscule Unité radicale (dissous à la suite de l’assassinat raté) et était membre du Mouvement national républicain pour le compte duquel il s’était présenté comme candidat aux élections municipales de 2001 (18e arrondissement de Paris).
Maxime Brunerie a été condamné à dix ans de prison après un examen psychiatrique. Il semblerait après analyse qu’il n’ait pas voulu assassiner Jacques Chirac mais rêvait d’une mort glorieuse, en étant abattu par le GIGN. Lors de son procès, il déclara que Jean-Marie Le Pen aurait été une meilleure cible.
Il a été libéré le lundi 3 août 2009, du Centre de détention de Val-de-Reuil (Eure), à l’issue de sept ans de réclusion.
Il donne une interview à Europe 1 en septembre 2009, déclarant avoir « complètement pété les plombs » en 2002 et souhaiter maintenant aller de l’avant.
En 2011, il publie un récit autobiographique intitulé Une vie ordinaire : je voulais tuer Jacques Chirac, et se dit désormais éloigné de tout militantisme politique.
Après l’attentat raté de juillet 2002 contre le Président Jacques Chirac par Maxime Brunerie, membre du MNR et proche de la nouvelle équipe dirigeante d’Unité radicale constituée après le départ de Christian Bouchet, le mouvement fut dissous par décret pour cause d’idéologie raciste et discriminatoire, antisémitisme, encouragement de la discrimination, de la haine et de la violence.
Les cadres et militants d’Unité radicale se dispersèrent, rejoignant le Réseau radical comme Lionel Placet, Hervé Ryssen et Pierre-Marie Le Diberder, ou créant de nouvelles organisations comme le cercle organisé à Toulouse autour du bulletin Rébellion (fondé par Richard Bessière, Olivier Gnutti et Alexandre Faria), le Front des patriotes à Limoges et Bourges (créé par Sébastien Legentil) et le Bloc identitaire (créé par Fabrice Robert, Philippe Vardon, André-Yves Beck, Richard Roudier, José-Marie Santamaria et Guillaume Luyt).
On retrouvera donc une partie des militants d’Unité radicale au sein des listes de la ligue du sud et de la ligue du midi :
Après les européennes de 2009, le MPF rejoint le Comité de liaison de la majorité présidentielle et quelque temps plus tard, le 28 janvier 2010, Jacques Bompard décide de quitter le parti à cause de ce rapprochemement avec l’UMP. Il présente une liste aux élections régionales de 2010 qui s’appelle la « Ligue du Sud » en référence à la Ligue du Nord en Italie. Cette liste regroupe divers groupes nationalistes et d’extrême droite comme le Bloc identitaire, le Parti de la France, le Mouvement national républicain et d’anciens membres du Front national.
2001
Introduction Première Partie : Le « motardisme », une véritable micro-culture
1. Les origines du « mouvement »
A. Le « mythe fondateur » d’Hollister
– La naissance du « un-pourcentisme »
– Une origine militaire
B. Des références communes
– le culte de la moto
– la fraternité
– le machisme
– la violence
2. Rites, langages et symboles
A. Signes et insignes
– les « couleurs »
– les autres insignes
B. FTW : Une volonté délibérée de choquer
– la référence au satanisme et au nazisme
– l’initiation des nouveaux membres
3. Une organisation rigide
A. Une hiérarchie militaire
– des rôles et des fonctions bien définis à l’intérieur des
bandes
– les différents statuts des groupes
B. Des lois internes à respecter
– le « règlement intérieur »
– la protection de la bande
– la « structure média »
Deuxième Partie : les gangs de motards, une organisation criminelle internationale
1. Une présence internationale
A. Leur base principale : l’Amérique du Nord
– la Californie et le reste des U.S.A.
– les « Quatre Grandes »
– les ennemis publics numéro 1 au Canada
B. Une expansion internationale
– l’Europe en ligne de mire…
– la situation particulière de la Scandinavie
– les relations avec d’autres organisations criminelles
2. La situation en France
A. Hells Angels contre Bandidos / Outlaws
– implantation et activités
– l’importance des petites bandes
B. Une activité légale importante
– les nombreux « services annexes aux spectacles »
– l’organisation du « Free-Wheels »
Conclusion
– la mobilisation des services de répression
Der Satansmord – Tod eines Schülers est un documentaire de l’ARD dans la série télévisée The Great Criminal Cases de la réalisatrice Ulrike Baur d’une longueur de 45 minutes. Le documentaire, qui a été le 31. La première diffusion en mai 2001 concerne l’affaire du meurtre de Sondershausen, qui avait été commis par trois jeunes de Sandro Beyer, alors âgé de 15 ans. Les auteurs, Hendrik Möbus, Sebastian Schauseil et Andreas K. sont les fondateurs de la bande Absurd de la NSBM. En raison des intérêts des membres, la loi a été présentée dans les médias comme « sataniste » motivée, mais n’avait rien à voir avec le satanisme.
Le film documente principalement le meurtre de Sandro Beyer de Sondershausen. Il montre la ligne de conduite exacte et les procès des trois auteurs. En outre, le film révèle ce que Hendrik Môbus a fait pendant son temps libre. Il a échangé des films d’horreur à revêtement noir, dont certains ont été indexés ou saisis dans tout le pays par le BPjS. Dans le film, les sentiments des autres sont également abordés sur le meurtre. Hendrik Munbus ne décrit pas le meurtre de Sandro Beyer comme un meurtre satanique, mais comme un sauvetage d’autres personnes de Sandro (dans une interview avec le néo-nazi américain William Luther Pierce, qui a fondé l’Alliance nationale et lancé la campagne Free Hendrik Möbus), [1]et a nié tout lien avec le satanisme[2]. Le juge responsable a également déclaré :
« Il s’agissait à certains égards d’un meurtre satanique en raison de ce contexte, mais l’exécution de l’acte n’avait pas le moins du monde à voir avec un rituel ou un acte satanique. Tout fond rituel manque, la préparation est manquante, il n’y a pas de gradation…».– Juge J. Schuppner[3
L’amie de Hendrik Möbus a déclaré au meurtre de son ancienne amie qu’elle ne faisait pas confiance à M. Möbus et à son changement idéologique :
« Cela m’a déjà surpris personnellement. Bien que le nazisme et le satanisme ne soient peut-être pas si différents. Donc au moins dans mes yeux. Parce qu’ils sont à la fois très inhumains et ont une pensée très élitiste, et c’est aussi ce que Hendrik correspond. Il a toujours voulu être quelque chose de spécial, et il a également dit de lui-même qu’il avait des tendances élitistes, et ainsi j’explique sa tendance néonazi. “– Christina, Hendrik Möbus’ alors petite amie[4
Alors que Möbus s’est enfui aux États-Unis après un nouvel acte d’accusation, Schauseil (aujourd’hui à Halgadom) et K. ont commencé une nouvelle vie dans une autre ville. Il est considéré comme le représentant le plus connu de la NSBM en Allemagne.