♫ RAP Live : Kroc Blanc et Jean-Marie Le Pen @ Rungis – 2017

La journée de Synthèse nationale, dont l’intitulé exact est “Journée nationale et identitaire”, aura lieu pour la onzième fois cette année. Comme l’année passée la journée se déroulera à l’Espace Jean Monnet de Rungis.

Le programme de la journée est assez riche en événements. De nombreux écrivains seront notamment présents pour dédicacer leurs ouvrages.

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Le Bastion social

Outre les nombreux stands de livres proposés par les auteurs et les éditeurs présents, plusieurs artisans d’arts proposeront leurs productions.

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Serge Ayoub qu’un certain Valls voulait faire taire

De nombreux intervenants représentants différentes sensibilités de la droite nationale et identitaire hexagonale prendront la parole durant la journée. Ce sera notamment le cas de Thomas Joly (Parti de la France), Roger Holeindre, Vincent Vauclin (La dissidence) ou encore Alain Escada (Civitas) et bien d’autres.

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Jean-Marie Le Pen est également attendu à cette manifestation. Il était déjà venu  l’an passé.

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Plusieurs intermèdes musicaux sont également à l’ordre du jour.
On pourra notamment citer la venue de

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Kroc Blanc

le rappeur nationaliste qui s’était fait connaître pour sa chanson Jean-Marie Le Pen. Le clip vidéo regroupe plus de 790 000 vues sur la plateforme Youtube.

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Roland Hélie remercie Kroc blanc et Christoff pour leur magnifique concert
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Les personnes moins amatrices de rap apprécieront certainement les prestations du Chœur Montjoie Saint-Denis.

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Dr Merlin enchante son public

Un espace restauration et bar sera à la disposition des visiteurs.

La journée nationale et identitaire est l’un des rares rendez-vous annuel franciliens pour croiser écrivains, leaders politiques et artistes de la “famille” nationaliste.

La journée est organisée par Synthèse nationale, une revue politique bimestrielle. Elle édite également les Cahiers d’histoire du nationalisme. Depuis la saison dernière elle anime, une émission sur Radio Libertés intitulée Synthèse. Pour retrouver les derniers podcast de l’émission : http://ndpeure-et-loir.hautetfort.com 

Informations pratiques :

Journée nationale et identitaire

Dimanche 1er octobre de 11h00 à 18h00

Espace Jean Monnet

47 rue des Solets

94150 Rungis

Frais d’admission : 10 euros

Plus d’informations: http://synthesenationale.hautetfort.com/11-la-11e-jpournee-nationale-et-identitaire/

Pour réserver son billet en ligne : http://synthese-editions.com/home/132-xie-jni-billet.html

Britain first était dimanche à la journée de Synthèse nationale à Rungis

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LA 11e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE EN IMAGES (1)

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Carl Lang converse avec Jean-Marie Le Pen

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Thomas Joly avec Pierre Vial

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Roland Hélie, Alban d’Arguin et Gabriele Adinolfi

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Pendant le discours d’Alain Escada

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Une assemblée attentive et enthousiaste

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La fin du discours de Jean-Marie Le Pen

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Kroc blanc et Christoff en concert

14 Juillet 2002 : tentative manquée d’assassinat sur le président Chirac, lors du défilé militaire sur les Champs-Élysées. dissolution d’Unité Radicale

Maxime Brunerie, étudiant en BTS de comptabilité-gestion, était un militant d’extrême droite néonazi habitué de la tribune du Kop de Boulogne du PSG.
Il avait l’intention d’assassiner Jacques Chirac afin de s’attirer la célébrité (il avait laissé un message sur le forum de Combat 18 « Regardez la télévision dimanche, la star ce sera moi. Mort au ZOG ! 88! ») puis de se suicider. Ces deux tentatives ont échoué.
Maxime Brunerie était proche du groupuscule Unité radicale (dissous à la suite de l’assassinat raté) et était membre du Mouvement national républicain pour le compte duquel il s’était présenté comme candidat aux élections municipales de 2001 (18e arrondissement de Paris).
Maxime Brunerie a été condamné à dix ans de prison après un examen psychiatrique. Il semblerait après analyse qu’il n’ait pas voulu assassiner Jacques Chirac mais rêvait d’une mort glorieuse, en étant abattu par le GIGN. Lors de son procès, il déclara que Jean-Marie Le Pen aurait été une meilleure cible.
Il a été libéré le lundi 3 août 2009, du Centre de détention de Val-de-Reuil (Eure), à l’issue de sept ans de réclusion.
Il donne une interview à Europe 1 en septembre 2009, déclarant avoir « complètement pété les plombs » en 2002 et souhaiter maintenant aller de l’avant.
En 2011, il publie un récit autobiographique intitulé Une vie ordinaire : je voulais tuer Jacques Chirac, et se dit désormais éloigné de tout militantisme politique.

Après l’attentat raté de juillet 2002 contre le Président Jacques Chirac par Maxime Brunerie, membre du MNR et proche de la nouvelle équipe dirigeante d’Unité radicale constituée après le départ de Christian Bouchet, le mouvement fut dissous par décret pour cause d’idéologie raciste et discriminatoire, antisémitisme, encouragement de la discrimination, de la haine et de la violence.
Les cadres et militants d’Unité radicale se dispersèrent, rejoignant le Réseau radical comme Lionel Placet, Hervé Ryssen et Pierre-Marie Le Diberder, ou créant de nouvelles organisations comme le cercle organisé à Toulouse autour du bulletin Rébellion (fondé par Richard Bessière, Olivier Gnutti et Alexandre Faria), le Front des patriotes à Limoges et Bourges (créé par Sébastien Legentil) et le Bloc identitaire (créé par Fabrice Robert, Philippe Vardon, André-Yves Beck, Richard Roudier, José-Marie Santamaria et Guillaume Luyt).

On retrouvera donc une partie des militants d’Unité radicale au sein des listes de la ligue du sud et de la ligue du midi :
Après les européennes de 2009, le MPF rejoint le Comité de liaison de la majorité présidentielle et quelque temps plus tard, le 28 janvier 2010, Jacques Bompard décide de quitter le parti à cause de ce rapprochemement avec l’UMP. Il présente une liste aux élections régionales de 2010 qui s’appelle la « Ligue du Sud » en référence à la Ligue du Nord en Italie. Cette liste regroupe divers groupes nationalistes et d’extrême droite comme le Bloc identitaire, le Parti de la France, le Mouvement national républicain et d’anciens membres du Front national.