Mouvance d’ultradroite : 39 membres placés en garde à vue à Paris, dont une vingtaine fichés S

Au lendemain de l’interpellation de 39 membres de l’ultradroite à Paris, dont une vingtaine de fichés S, 38 d’entre eux ont été libérés dimanche avec une décision de classement sans suite, a appris Le Parisien de source judiciaire. Une seule garde à vue a été prolongée : celle de Marc de Cacqueray-Valmenier, ex-leader du groupuscule « Zouaves Paris », dissous en 2022.

Ces militants avaient été interpellés samedi aux alentours de 16 heures, à la sortie du cimetière de Charonne, où ils venaient de rendre hommage à l’écrivain d’extrême droite Robert Brasillach, condamné à mort à la Libération pour des faits de collaboration.

Avant d’être interpellés, ces militants avaient été aperçus à proximité de la manifestation syndicale contre l’extrême droite sur la place de la République. Au moins deux d’entre eux étaient munis de béquilles, pouvant être considérées comme des armes par destination, indiquait une source proche du dossier à l’AFP.

Au lendemain de leur interpellation par les policiers de la Brav-M, tous ces membres de l’ultradroite ont été libérés. Tous sauf un : Marc de Cacqueray-Valmenier.

Âgé de 24 ans, ce jeune homme a déjà été condamné et incarcéré ces dernières années, notamment pour l’attaque, en groupe, d’un bar réputé « antifa » le Saint-Sauveur, à Paris, en 2020. Issu d’une famille d’une longue lignée d’aristocrates, est actuellement mis en examen et placé sous contrôle judiciaire dans l’affaire de l’agression de militants de SOS Racisme lors d’un meeting d’Éric Zemmour, président du mouvement d’extrême droite Reconquête, en décembre 2021.

Sur son compte Instagram, il s’était vanté d’être allé combattre à l’automne 2020 au Nagorny-Karabakh aux côtés des Arméniens chrétiens contre les Azerbaïdjanais musulmans.

 


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Des policiers de la Brav-M ont interpellé 39 personnes à la sortie d’un cimetière parisien où elles rendaient hommage à l’écrivain collaborationniste Robert Brasillach fusillé à la Libération.

Un total de 39 membres d’ultradroite, dont une vingtaine de fichés S, ont été interpellés et placés en garde à vue samedi 10 février à Paris, dans un contexte de menace accrue de cette mouvance. Ils étaient entendus pour «participation à un groupement en vue de commettre des dégradations», selon le parquet.

C’est vers 16 heures qu’ils ont été cueillis par des policiers de la Brav-M, à la sortie du cimetière de Charonne, dans le XXe arrondissement de la capitale. Ils venaient de rendre hommage à l’écrivain d’extrême droite Robert Brasillach, condamné à mort et fusillé à la Libération pour des faits de collaboration.

Interdiction de se rendre à Paris

Parmi eux figurent des personnalités bien connues de la mouvance d’ultradroite, dont l’ancien chef du groupuscule dissous les Zouaves, Marc de Cacqueray-Valmenier, ou Gabriel Loustau (fils d’Axel), une figure du GUD.

Marc de Caqueray-Valmenier, 24 ans, a déjà été condamné et incarcéré ces dernières années. Il est actuellement mis en examen et placé sous contrôle judiciaire dans l’affaire de l’agression de militants de SOS Racisme lors d’un meeting d’Eric Zemmour, président du mouvement d’extrême droite Reconquête, en décembre 2021. Sur son compte Instagram, il s’est vanté d’être allé combattre à l’automne 2020 au Nagorny-Karabakh aux côtés des Arméniens chrétiens contre les Azerbaïdjanais musulmans.

 

Avant d’être interpellés, ces militants avaient été vus à proximité d’une manifestation syndicale contre l’extrême droite qui se déroulait dans la capitale, place de la République. Certains avaient pour interdiction de se rendre à Paris et au moins deux d’entre eux étaient munis de béquilles, pouvant être considérées comme des armes par destination, a précisé la source proche du dossier.

En novembre 2023, 13 personnes, dont 7 fichées S d’ultradroite, avaient déjà été interpellées à Paris pour des tags de croix gammées au sol dans le XVIIIe arrondissement de la capitale. Deux d’entre eux avaient été mis en examen pour apologie publique de crime ou délit, six autres pour refus de remettre aux autorités judiciaires le code de leur téléphone portable.

«Résurgence très préoccupante»

En réaction, le gouvernement a dissous plusieurs groupuscules d’ultradroite ces derniers mois. Dernier en date, l’association d’ultradroite lilloise la Citadelle, qui s’était vu interdire l’organisation d’une soirée intitulée «Qu’ils retournent en Afrique» en février 2023. Elle a été dissoute mercredi en Conseil des ministres.

En décembre, un autre groupuscule, la Division Martel, avait été dissous après une manifestation aux allures d’expédition punitive à Romans-sur-Isère (Drôme), en réaction à la mort d’un jeune homme, Thomas, à Crépol.

L’ex-directeur général de la sécurité intérieure (DGSI), Nicolas Lerner, désormais à la tête de la DGSE, avait alerté en juillet sur «la résurgence très préoccupante» des actions violentes de l’ultradroite depuis le printemps 2023, dans un entretien au journal le Monde. Depuis 2017, 10 projets d’attentats inspirés par la mouvance d’ultradroite ont été déjoués, selon les autorités.


  • ça buzze

 


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NSBM bonus track :  Noël en Taule de brasillach version NSBM par Baise ma Hache

Cité immersive Viking en bord de Seine : la mairie de Rouen embarrassée par un projet financé par la droite “catho tradi”

Dans les cartons depuis plusieurs mois, le projet de la « Cité immersive Viking » qui devrait occuper dès le printemps prochain le hangar 105 bis sur les quais rive gauche, vient d’être officiellement lancé à Rouen. Financé par un fonds d’investissement catholique créé par le très traditionaliste homme d’affaires Pierre-Edouard Stérin, proche de la famille de Villiers et du Puy-du-Fou, ce projet n’est pas sans faire grincer certaines dents au sein de l’équipe municipale.

promotion victimaire=identitaire

Gérant de l’échoppe de promotion NSBM qui labellise les marchandises et les produits dérivés de ses projets auto-produits, Ludovic Faure – nom de scène “famine” – est spécialiste de l’auto-promotion victimaire=identitaire, il affiche bien son exil en Ukraine et ses “soucis à la pelle” “en 2018 coincé en ukraine” pour promouvoir un mix inédit d’une de ses proposition en chansonnette rappée, sous le nom de Peste Noire

En effet : 2018, Famine agresse sauvagement une victime au prétexte de l’avoir confondu avec un antifa …

Nouvelle victime du Bastion Social à Clermont-Ferrand, Anthony, double fracture de la mâchoire

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Agression commise à la veille de l’inauguration du Bastion Social Clermont avec Marc de Cacqueray Valmenier et Tristan Arnaud.
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Famine se réfugie deux ans auprès de Alexey Levkin, meurtrier russe félon lui aussi réfugié chez azov, pour affaires : ils y produiront des clips, des enregistrements, des concerts, des produits dérivés, des marchandises à porter, … dont le disque de peste noire qui affiche l’imagerie KKK.

La justice demandera des comptes a Famine à son retour en 2020, puis a son procès pour agression commise en juillet 2018, en mai 2021.

https://mediacoop.fr/25/05/2021/proces-de-famine-chanteur-neo-nazi-au-tribunal-de-clermont-ferrand/

Vocaliste faf de Néo-metal russe : Slaughter to Prevail en concert à Paris le 31 janvier [MàJ] Cabaret Sauvage annulé, re-localisé au BATACLAN

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“Pas woke” un militant reconquête s’essaye à la musique [MàJ] Musique du décapiteur de Pennsylvanie

 


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Alexis Issaurat, skinhead de Nice, extradé de Bosnie-Herzégovine

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Estelle Redpill et Alexis Issaurat

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Epona que Morandini souhaite embrasser chante dans Northen Impakt, RAC identitaire français

Le tweet évoque “hatecore”, c’est compréhensible, mais il faut préciser que Northern Impakt est plutôt RAC Identitaire Français / chansonnettes, haine en musique mais pas précisément “hateCORE”, pour nuancer.


[11:55] Live : chant des Lansquenets par Le Coeur Montjoie St-Denis feat. Jean-Marie Le Pen, et le Pdf dont Epona.

 


 


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Le Parti De la France : une histoire de déjà vu…

 


https://lahorde.samizdat.net/le-parti-de-la-france-une-histoire-de-deja-vu-2-les-jeunes
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Epona, au premier rang du Premier Mai du Front national (A) et avec ses amies du FNJ (B), chanteuse du groupe Northmen Impact (C), était aussi là le 9 mai (D) et dans le cortège des Caryatides le 10 mai.

[…] Le cortège était ouvert par Epona, chanteuse du laborieux groupe de RIF Northmen Impakt, dont certains membres, comme le guitariste Bruno Hirout, sont des militants du Parti de la France. Tout naturellement, nous l’avons recroisé le lendemain à la manif nationaliste l’Œuvre française, dans les rangs de Caryatides ; mais Epona était sur tous les fronts en ce mois de mai, puisque nous l’avions également aperçu le Premier mai 2015 dans le cortège FNJ à Paris (avec un petit passage sur la tribune !)… La Horde

 


  • Nothern Impakt RAC identitaire français depuis 2005 : Une douzaine de chansons, pas de disque notable, pas de concert notable

Balaclava clad neo-Nazis arrested after storming train

Six membres d’un groupe une bande néonazi ont été arrêtés après que des dizaines d’hommes portant des cagoules noires et brandissant des drapeaux australiens lors d’un raid sur un train de Sydney.

Le groupe d’une soixantaine d’hommes cagoulés a été vu à la gare d’Artarmon vers 11 h 30 le vendredi.

Après avoir embarqué dans un train en direction de la CDB, le groupe a été arrêté à la gare de North Sydney par plus de 20 policiers.


La police de North Sydney a arrêté un groupe d’hommes encagoulés battant le drapeau australien qui avaient envahi un train. Photo de Brent Lewin/AAP PHOTOS
 

« Les miliciens sont montés à bord en un groupe d’environ 61 miliciens répartis dans quelques wagons », a déclaré la police de la Nouvelle-Galles du Sud dans un communiqué vendredi.

Les passagers qui n’étaient pas impliqués dans le groupe ont été évacués.

La police a déclaré que le groupe dissimulait le visage et portait des boucliers et un drapeau.

Le dirigeant néo-nazi australien Thomas Sewell faisait partie de la foule arrêtée par la police.

Le dirigeant autoproclamé  du National Socialist Network, agé de 30 ans, a été filmé en train d’être appréhendé par des agents avec un ordre juridique lui interdisant d’assister à tous les événements de la Journée de l’Australie à Sydney.

La vidéo, mise en ligne pour la première fois par Sewell sur son chat crypté vendredi après-midi, circulait largement sur les médias sociaux.

« On vous sert un ordre de sécurité publique », explique un officier dans la vidéo à Sewell.

« Je pense que votre présence dans la zone du gouvernement local de la ville de Sydney représente un risque sérieux pour la sécurité publique », ajoute l’agent.

«Cela se fonde sur vos liens idéologiques, y compris vos associés, votre présence antérieure et vos incidents d’ordre public motivés par des raisons idéologiques, votre histoire criminelle d’agression de membres du public et votre objectif d’intimider et de provoquer des personnes.»

Sewell est alors sommé de rester en dehors de la zone du gouvernement local de Sydney City ou de n’importe quel endroit où un événement de la Journée australienne est prévu jusqu’à 23h59 vendredi.

« Nous n’avons donc pas le droit de célébrer la Journée de l’Australie ? » Sewell demande à l’officier.

 

Le Premier ministre de la Nouvelle-Galles du Sud, Chris Minns, a répondu en disant que « les gens normaux ne célèbrent pas la Journée de l’Australie avec une cagoule » dans une déclaration vendredi.

« En raison d’un grand travail de la police, des millions d’Australiens ont pu se réjouir et se réunir sans une confrontation potentiellement laide.

« Il n’y a absolument aucune tolérance à l’égard de ce comportement », a déclaré M. Minns.

Six personnes ont été arrêtées et emmenées au poste de police de Chatswood, où elles aident la police à enquêter.

55 autres hommes ont reçu des avis d’infraction à la Rail Infruningement pour comportement offensant.

Deux hommes ont depuis été libérés et ont émis des avis d’infraction pour comportement offensant.

L’opération de police s’est achevée vers 17 heures.

Sewell, qui a défendu le droit du groupe d’assister aux événements en tant qu’« Australiens blancs fiers », a précédemment admis avoir attaqué un groupe de randonneurs dans un parc d’État victorien en mai 2021.

Il faisait partie d’un groupe de membres du National Socialist Network d’extrême droite et du Mouvement australien européen qui s’est mis sur un groupe d’amis à la randonnée dans le parc d’État de la cathédrale.

Vendredi matin, Sewell a posté une photo d’une statue récemment vandalisée du capitaine Cook à X, anciennement connu sous le nom de Twitter.

« Le lendemain de notre fête nationale, la racaille anti-Blanc a ôté lâchement une statue de l’un des plus grands fils de la race anglo-saxonne – Capitaine Cook », écrivait-il.

« Nous répondrons, et le monde saura, qu’il y a des hommes blancs dans ce pays qui méritent encore d’être appelés « Australien ».