Imperium – Film 2016

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Ragussis a basé son histoire sur les expériences de l’agent du FBI Michael German , qui a passé un an sous couverture avec des suprémacistes blancs. German a écrit un livre basé sur son expérience intitulé Thinking Like a Terrorist: Insights of a Former FBI Undercover Agent , et après que Ragussis ait lu le livre, il a contacté German pour l’aider à créer Imperium. Ensemble, ils ont ensuite proposé l’histoire de base du film. [4]

Imperium a été généralement bien accueilli.
Le site Web d’agrégateur de critiques Rotten Tomatoes attribue au film une cote d’approbation de 84%, basée sur 76 critiques, avec une note moyenne de 6,50/10. Le consensus critique du site se lit comme suit : “Le troublant Imperium propose des thèmes troublants d’actualité et une distribution talentueuse dirigée par Daniel Radcliffe en tant qu’agent infiltré du FBI infiltrant un cercle de suprémacistes blancs.” [10]
Sur Metacritic , qui attribue une note normalisée, le film a un score de 68 sur 100, basé sur 17 critiques, indiquant “des critiques généralement favorables”. [11]
Le film était le choix des critiques du New York Times . [12]
Le Los Angeles Times l’a qualifié de “impressionnant dimensionnel… tendu, captivant et dérangeant” [13] . Le magazine 
Slant l’a qualifié de “cinéma politique audacieux” [14]
et Entertainment Weekly a déclaré que le film était “un thriller tendu et effrayant.. . Radcliffe est brillant.” [15]

Nate Foster est un jeune agent spécial du FBI qui travaille à découvrir des complots terroristes hautement classifiés . Après le vol de césium 137 importé illégalement , Nate est recruté par Angela Zamparo, une autre agente spéciale du FBI, qui soupçonne l’implication de groupes suprématistes blancs .

Grâce aux relations de Zamparo, Foster est présenté à un petit groupe de néo-nazis dirigé par Vince Sargent, un dirigeant local qui connaît leur principal suspect, l’animateur de radio Alt-Right Talk Dallas Wolf. Wolf, figure de proue du mouvement pour sa rhétorique incendiaire, rassemble un rassemblement des groupes les plus importants et les plus influents du nord-est. Avec les présentations de Sargent, Foster devient insinué dans le mouvement et rencontre Andrew Blackwell, le chef d’une milice suprémaciste blanche de premier plan, tout en attirant l’attention de Wolf en le convainquant qu’il peut financer une expansion de son émission de radio. Foster se lie également d’amitié avec Gerry Conway, un ingénieur col blanc et père de famille, également suprémaciste blanc.

Après avoir gagné la confiance de Blackwell en le sauvant lors d’une attaque contre un rassemblement du pouvoir blanc par Antifa , Foster est amené dans un complexe militaire rudimentaire exploité par la milice d’Andrew. Là, Blackwell révèle qu’il a des plans pour le réseau d’eau municipal de Washington, DC et prépare une attaque.

Le FBI commence à soupçonner que Wolf et Blackwell travaillent ensemble après que Foster ait rencontré Wolf chez lui et découvre que sa maison déclenche le compteur Geiger de Foster . Foster tente de s’intégrer dans une éventuelle intrigue en proposant à Wolf un investissement financier conséquent.

Au lieu de cela, Wolf devient hostile et signale Foster au FBI. Il est révélé qu’il se considère comme un simple artiste, ne croit pas vraiment en la cause et a subi une radiothérapie pour un cancer de la prostate , qui a été enregistré par le compteur Geiger. Pendant ce temps, Blackwell est également rejeté comme une menace possible, car il semble utiliser les plans du réseau d’eau de DC comme un moyen d’attirer des recrues potentielles avec la promesse de participer à une attaque terroriste imminente. Sans autre piste, l’affaire est classée par le supérieur de Foster et Zamparo. Irrité d’avoir gaspillé ses efforts, Foster se prépare à faire quitter la ville par son identité de couverture.

Foster rencontre Conway pour faire ses derniers adieux. Sentant son véritable sentiment d’inutilité, Conway confie à Foster son appartenance à une cellule terroriste nationale. Il est révélé que Conway et ses alliés sont en possession du césium et complotent pour faire exploser une bombe sale . Avec l’introduction de Conway, Foster rejoint le groupe en tant que fournisseur de l’explosif ( TATP ). Bien que sa couverture soit presque soufflée à plusieurs reprises par les terroristes paranoïaques, Foster parvient à localiser le césium dans la maison de Conway, conduisant le FBI à arrêter et à arrêter les terroristes avant qu’ils ne puissent exécuter le complot. Satisfait d’avoir fait une différence, Foster rend une dernière visite à Johnny, un adolescent et ancien membre du gang de Sargent qui ne croit plus en la cause.

https://youtu.be/OWjAa4ctFGc

Aube Dorée : Une Affaire Personnelle – Film documentaire

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La réalisatrice Angélique Kourounis a enquêté pendant plusieurs années sur le parti grec Aube Dorée, pour en faire un documentaire d’auteure sur l’ascension et les failles d’un rassemblement néo-nazi.

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2010, les effets de la crise économique et des cures d’austérité s’abattent sur la Grèce et le pays est dans une situation extrême : appauvrissement, chômage, beaucoup de Grecs sont à la rue ou sont obligés de quitter le pays. Des manifestations éclatent dans les rues de la capitale et des grandes villes, on parle de 20.000 entre 2010 et 2012, des manifestations qui se font violentes et ont un parfum de guerre civile. C’est un climat idéal pour un parti comme Aube Dorée, qui surfe sur la vague de la crise en pointant du doigt l’Europe et les étrangers. Alors que le parti ne faisait guère plus de 0,2% des voix jusqu’alors, les Grecs mènent 18 de leurs représentants à la Vouli, le Parlement grec, c’est l’effroi. Le parti qui ne dit pas son nom est en fait un parti populiste, extrémiste, nationaliste, raciste et même néo-nazi.

Sans s’en rendre compte, la presse banalise les interventions du parti et légitimise le mouvement. Mais durant les manifestations, les agressions se multiplient et sont souvent menées par les membres du parti. Le tournant viendra de l’assassinat du jeune rappeur Pávlos Fýssas par un cadre d’Aube Dorée, c’est à ce moment que la presse et le peuple se rendent compte du caractère de l’organisation. Suite à ça, des arrestations des dirigeants d’Aube Dorée ont lieu sous le motif de participation à une organisation criminelle.

Angélique Kourounis (qui a d’ailleurs travaillé pour la RTBF) est une journaliste grecque inquiète, son mari est juif, un de ses fils est gay, l’autre anarchiste, elle est féministe : sa famille pourrait-elle survivre dans un pays où Aube Dorée est partiellement au pouvoir ? Son enquête résulte de plusieurs années d’investigation et “Aube Dorée : Une Affaire Personnelle” est sont troisième film sur le parti néo-nazi. Obligatoirement subjectif, le film retrace d’un point de vue humain le côté néfaste et nauséabond du populisme.

Le documentaire “Aube Dorée : Une Affaire Personnelle” est disponible sur Vimeo dans plusieurs langues.

Le Bout Du Tunnel – Laurent Jacqua, Grand Corps Malade, Ibrahim Maalouf, Animalsons

https://imgsrc.cineserie.com/2015/04/undefined_6742d860a6ac4f35a87c731085d7c9cc.jpg?ver=19 Décembre ’84, Il tient la main de sa copine pour défier l’hiverLa nuit part pour être belle, Mais elle se transforme vite en triste fait diversIls se croient seuls au monde dans les ruelles, Mais à l’évidence ils ne le sont plusDeux Skinheads en manque d’embrouilles et d’adrénaline viennent leur tomber dessusUne gifle pour éloigner la fille, Les mecs le rouent de coups à deux contre unLe visage contre le bitume glacé voyant la mort arriver il se sent contraintDe sortir son arme car il est tout sauf un enfant de cœurL’un des Skins meurt sur le coup et l’autre hurle encore sa douleur
Tout est allé si vite mais pourquoi ces mecs se sont retrouvés sur son chemin?La douleur physique n’est rien quand il la compare à la peur du lendemainIl s’est rendu au matin plaidant la légitime défense corporelleIl est jugé en quelques mois en prends 10 ans de réclusion criminelleIl pense souvent à eux, il rêve tout le temps à elleIl a beau regarder très loin il ne voit pas le bout du tunnelIl découvre le cauchemar, l’humiliation, les matelas crades,Les pieds enchaînés lors des transferts, et les bagarres lors des promenades,Et alors qu’il subit depuis plus d’un an le système carcéral,Une terrible nouvelle vient ajouter sa voix à la triste chorale,

Laurent Jacqua passe 25 ans en prison : le premier motif de son incarcération est un homicide par arme à feu lors d’une rixe contre des skinheads2en 1984, au cours de laquelle il tue d’un coup de revolver3 Olivier « Turlut » Berton, âgé de 16 ans, et atteint à la colonne vertébrale Iman Zarandifar (chanteur du groupe de oi! Evil Skins), qui restera paralysé4. En prison, il apprend que sa compagne toxicomane lui a transmis le sida5.

Après plusieurs évasions (en 1990 et 1994)6 et périodes d’isolement, il crée, rédige et illustre le blog Vue sur la prison. Dès sa sortie de prison le 12 janvier 2010, il est embauché à Act Up-Paris comme coordinateur de la commission prison et milite activement pour les prisonniers, notamment les prisonniers malades. Il organise des visites dans des établissements pénitentiaires, mène une action soutenue de plaidoyer, intervient pour faire appliquer la loi Kouchner de 2002, qui permet théoriquement de suspendre les peines des personnes incarcérées les plus malades.

Son deuxième livre J’ai mis le feu à la prison paraît en juin 2010.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Jacqua

En 2013 Grand Corps Malade lui dédie un morceau de son album Funambule, Le Bout du tunnel, où il raconte en slam son parcours7. En 2015, Mehdi Idir en réalise un court-métrage8.
Filmé en noir et blanc et en caméra subjective, le court métrage est interprété par Izia Higelin, Kyan Khojandi, Nicolas Duvauchelle, Richard Bohringer, et il obtient le prix de la meilleure fiction à l’Urban Film Festival de Paris4.

Grand Corps Malade « Le Bout du Tunnel »
Texte : Grand Corps Malade
Musique : Ibrahim Maalouf
Arrangements : Clément Animalsons & Ibrahim Maalouf

Un Français – Extrait de film : Scène du meurtre raciste par empoisonnement à la soude.

https://img.over-blog-kiwi.com/1/05/31/59/20150610/ob_fba520_068738.jpgLe film raconte, sur une période de 19 ans (de 1994 à 2013), l’histoire de Marco (Alban Lenoir) et de ses acolytes, Braguette (Samuel Jouy), Grand-Guy (Paul Hamy) et Marvin (Olivier Chenille). Ils sont ce que l’on appelle des skinheads et passent leurs journées à cogner des noirs et des Arabes, à se battre contre des punks et des redskins, et à coller des affiches de l’extrême-droite. Mais peu à peu, au fil des années, Marco se remet en question et décide de se repentir, de devenir quelqu’un de bien et d’abandonner cette haine et ce mépris. On va alors suivre le parcours d’un homme essayant par tous les moyens d’abandonner la colère, la violence et la bêtise qui le rongent pendant qu’autour de lui, à l’inverse, la société se radicalise de plus en plus et plusieurs personnes de son entourage, notamment sa petite amie et un de ses amis, tous deux décidés à garder leurs idéaux racistes, xénophobes, islamophobes, homophobes…, ne le reconnaissent plus.

Un Français – Film de fiction inspiré de faits réels et d’individus connus.

Régis Kerhuel
bassiste du groupe Evil Skins 
et militant des Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR) 
du militant néo-nazi Serge Ayoub dont il est le second supposé, 
est arrêté en 1998 
et condamné en octobre 2000 à vingt ans de réclusion criminelle 
pour sa participation au meurtre de James Dindoyal au Havre, le 18 juin 19903. 
Il est libéré en 2010 après avoir effectué la moitié de sa peine4,5,6. 
Il décède le 8 août 2019, à l'age de 54 ans7.

 

Originaire de la région parisienne et du Havre, le groupe se forme en 1983. Nommé dans un premier temps Zyklon B, il est d'abord composé d'Iman Zarandifar (alias Sniff ou Fesni) au chant, William Deligny (alias P'tit Willy) à la guitare, Régis Kerhuel (1965-2019)1 à la basse et Cornette à la batterie. 

Au début des années 1980, Sniff et P'tit Willy rencontrent Madskin (qui a des notions de basse) et Cornette, skinheads du Havre avec qui ils décident de monter un groupe de rock anti-communiste.
En 1984, à la sortie d'un bar-concert, à Paris, dans le quartier festif d'Oberkampf, une bagarre oppose le chanteur, Sniff, à Laurent Jacqua, un jeune de 17 ans. Sniff est blessé d'un coup de revolver : il est atteint à la colonne vertébrale et restera paralysé. À la suite de cet événement, le chanteur continue malgré tout au sein des Evil Skins, chantant désormais en chaise roulante.
En 1986, ils publient leur premier 45 tours Docteur Skinhead sur leur label Intensive Produc., qui fera connaître le groupe dans le milieu skinhead. Pour leur premier concert, ils assistent à une scène ouverte et prennent d'assaut la scène, expulsent les musiciens en train de jouer, prennent leurs instruments et jouent. C'est la photo qu'il y a sur le premier 45 tours des Evil Skins.
L'année suivante sort l'album intitulé Une force, une cause, un combat sur le label Evil Records (réalisé par Rock-O-Rama Records). Parmi les titres les plus connus du groupe, peuvent être mentionnés : La Zyklon Army, Bêtes et méchants, Paris by Night, Marcel ne regrette rien, Vivre pour frapper, Docteur Skinhead, Le Poisseux, Un amour perdu et Luxembourg.

Le guitariste du groupe William Deligny, quant à lui, se considère comme un repenti et est à présent moine Vaishnava dans une communauté hindoue8. Auteur de livres religieux, il ouvre en 2003 un centre, puis un monastère, à Rouen. En 2013, Il témoigne dans le cadre de l'affaire Clément Méric9.

À l’Est de l’Enfer

Film Documentaire 2014

Immersion dans le black metal indonésien :

Surabaya, Indonésie, labyrinthe de fer et de béton.
Au coeur du chaos urbain, toute une jeune génération se rassemble et réinvente le Black Metal, mêlant les codes occidentaux aux croyances magiques.
À travers le parcours de trois membres de cette scène, nous découvrons une musique vivante, cathartique, à la fois blasphématoire et sacrée.

https://fb.watch/l5Hge5Q3oM/

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Burzum au cinéma : Heaven Knows What / Mad Love in New York – Film 2014

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Burzum figure dans la bande-originale du film Heaven Knows What / mad love in New York de 2014

https://www.imdb.com/title/tt3687186/soundtrack/

Heaven Knows What est un drame psychologique de 2014 réalisé par Ben et Joshua Safdie et écrit par Ronald Bronstein et Joshua Safdie. Le film met en vedette Arielle Holmes , Buddy Duress , Ron Braunstein , Eleonore Hendricks , Caleb Landry Jones et Yuri Pleskun. Le film est sorti le 29 mai 2015 par RADiUS-TWC . Il est basé sur Mad Love à New York , les mémoires non publiées de Holmes sur sa vie en tant qu’héroïnomane sans-abri vivant dans les rues de New York, où elle a été découverte par le réalisateur Josh Safdie, qui l’a encouragée à écrire les mémoires. [4]

Le film est dédié à Ilya Leontyev, l’ancien petit ami d’Arielle Holmes (interprété dans le film par Caleb Landry Jones ) qui a été retrouvé mort après une overdose de drogue à Central Park en avril 2015. [5]

Harley, une héroïnomane sans-abri à New York, vient d’être larguée par un autre toxicomane sans-abri nommé Ilya pour une infidélité récente, et il refuse d’avoir quoi que ce soit à voir avec elle. Désespérée de le reconquérir, Harley demande à Ilya s’il l’aimerait si elle mourait, et il dit froidement oui. Après avoir acheté des lames de rasoir avec de l’argent gagné en mendiant et encouragé par Ilya, Harley se tranche un poignet avant qu’Ilya ne panique et appelle une ambulance. Harley est admies dans un hôpital psychiatrique.

Après sa libération, Harley rencontre son ami, Mike, un trafiquant de drogue de bas niveau, et un autre homme qu’elle a rencontré plus tôt nommé Skully. Cependant, agacée par le harcèlement de Skully, Harley le chasse bientôt. Elle passe son temps à s’écraser avec Mike et à l’utiliser comme source d’héroïne. Finalement, Ilya et Mike se battent dans un parc sous les yeux de Harley, et Ilya blesse la main de Mike. Alors qu’il se remet de sa blessure, Harley avoue à Mike qu’elle aime toujours Ilya, ce qui pousse Mike à la quitter frustrée.

Une nuit, Harley reçoit un appel téléphonique; Ilya est inconscient dans un fast-food suite à une overdose de drogue. Harley s’y précipite et fait revivre Ilya, les obligeant à se réconcilier passionnément. Ils montent ensuite dans un bus pour Miami. Pendant que Harley dort, Ilya descend seul du bus et entre dans une maison vacante. La nuit, la bougie près de son lit provoque un incendie et Ilya meurt après avoir été enveloppé de flammes.

Harley se réveille dans le bus et remarque qu’Ilya n’est pas là. Dévastée, elle descend du bus et retourne à New York. Elle se rend dans un autre restaurant de restauration rapide, où Mike raconte l’histoire d’une bagarre dans laquelle il était. Harley s’assoit silencieusement avec Mike et ses amis pendant qu’il raconte son histoire.


Heaven Knows What a reçu des critiques positives de la part des critiques. Sur Rotten Tomatoes , le film a une note de 87%, basée sur 68 critiques, avec une note de 7,4/10. Le consensus critique du site se lit comme suit : “Épuisant et gratifiant dans une égale mesure, Heaven Knows What frappe fort – et sert de puissante carte de visite pour sa captivante star, Arielle Holmes.” [8] Sur Metacritic , le film a un score de 75 sur 100, basé sur 22 critiques, indiquant “des critiques généralement favorables”. [9]

Kenji Fujishima de Slant Magazine a décrit le film comme “l’une des représentations cinématographiques les plus déchirantes de la toxicomanie de mémoire récente, reposant moins sur des gadgets formels que sur une observation attentive du comportement”. [10] Jordan Hoffman de The Guardian lui a attribué 5 étoiles sur 5 et a loué la performance d’Arielle Holmes, en disant: “Alors que son accent rappelle Linda Manz , son énergie rappelle Gena Rowlands dans le meilleur des films de Cassavetes .” [11] L’affiche de film conçue par Sarah Holmes et Shiri Eshel pour Market Reactive, a été nommée par IndieWire comme l’une des 15 meilleures affiches de films indépendants de 2015. [12] Elle a été appelée par IndieWirel’un des 25 meilleurs films de cette année. [13]

David Rooney de The Hollywood Reporter a noté que “[parmi] les qualités les plus impressionnantes du film se trouve l’utilisation audacieuse de la musique par les frères Safdie – principalement les versions électroniques de Debussy d’ Isao Tomita , mais aussi un peu de Tangerine Dream et James Dashow ainsi que du hardstyle et du black metal.” [14] Nicolas Rapold du New York Times a commenté que “[le] directeur de la photographie, Sean Price Williams, orchestre habilement des gros plans persistants et des longs plans dans la rue, qui sont magnifiquement entrelacés dans le montage de Ronald Bronstein et Benny Safdi.” [15]

Il a remporté le Grand Prix et le prix du meilleur réalisateur au 27e Festival international du film de Tokyo . [2]

https://en.wikipedia.org/wiki/Heaven_Knows_What